ARVA vérification et réglage de la fréquence

C’est bien pour cela que je poste ici.

Tu réponds à ma deuxième question. La vérif du DVA par le constructeur n’est pas qu’un business. Merci.

J’aime pas trop le jugement négatif habituel sur C2C…
1/ Nous avons un niveau de transparence à 100% sur les risques que nous prenons avec mon compagnon de cordée.
2/ Si je pose la question, c’est que ça fait 2 ans que j’ai le DVA acheté à un encadrant CAF qui le faisait vérifier.
3/ Faire démonter et analyser mon DVA par un mec qui s’occupe de cartes électroniques aéro en longueur de journée, j’estime que c’est pas de la bricole. Sinon, ne prend plus l’avion.

Edit: Mais je comprends ta réponse. Juste elle manque un peu de diplomatie et de connaissance de ma pratique.

Quand le mec démonte ses cartes aéro il a les procédures et les notices indiquant éventuellement les précautions spécifiques de montage/démontage à prendre pour l’équipement en question. Il ne dispose pas des mêmes infos pour ton DVA (ne serait ce que par exemple un joint liquide spécifique à utiliser au remontage (pour l’exemple uniquement, je n’ai pas d’infos là dessus) qui pourrait avoir un impact sur l’étanchéité du plastique spécifique utilisé pour le boitier et entrainer un dysfonctionnement à terme de l’appareil. C’est ce genre de cas qui est à la base d’une bonne partie de l’accidentologie industrielle.
PS: l’aéro joue aussi particulièrement sur la redondance des systèmes. En matière de fiabilité il vaut mieux qu’un DVA ait les stats d’une pièce de bagnole que celles d’un avion :wink:)

Quand au jugement négatif habituel sur C2C, face à quelqu’un que je ne connais pas et qui écrit « les valeurs sont à 2x la tolérance autorisée, ma mesure n’est pas propre mais c’est pas grave. », je préfère passer pour un méchant que laisser entendre que ça pourrait être un raisonnement juste.

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Un équipement qui tombe en panne, c’est aussi extrêmement cher pour l’opérateur (impossibilité de prendre des passagers, voire avion cloué au sol), du coup les fabricants sont aussi très poussés à diminuer le MTBF.
Maintenant, on arrive a des MTBF (Mean Time Between Failures) de l’ordre du demi million d’heures sur les cartes électroniques.
Sur une voiture, à 100km/h de vitesse moyenne, ça ferai du 50 million de km!

Le Barryvox S à un mode ou tu peux effectuer une mesure de la qualité du signal d’un autre appareil. Il indique la fréquence et les durée de l’impulsion, puis si tout est dans la norme.