Appareil photo

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Je suis a la recherche d’un appareill photo reflex qui tient les froids important. On m’a parlŽ du Nikon FM3. Il est completement manuel si necessaire, mais on peut le mettre sur automatique en conditions normales, mais il n’est pas auto-focus… . Je ne sais pas ce que vous en pensez… Peut-etre j’en demande trop.

Que me conseilleriez-vous comme objectif (pour les paysage et les portraits « en action ») ?

Merci

Posté en tant qu’invité par Marc:

Hello,

j’ai trouvé intéressant les conseils que l’on trouve sur http://www.cs.berkeley.edu/~qtluong/photography/35mm/.
Le seul appareil qui fonctionnera toujours par grand froid, c’est celui qui fonctionne sans piles, mais là, tu peux oublier l’autofocus… Je crois que je le Nikon FM2 est de ceux-là.
Si tu es sur Lausanne, va demander conseil chez Photo-Grancy, tout au bout du Bvd. de Grancy, direction Genève. Ils vendent des fois ce genre d’appareils d’occasion.

Pour les objectifs, je pense qu’on peut faire des chouettes paysages avec un 200mm comme avec un 15mm. Par contre, pour l’action, plus tu as une grande focale, plus ça bouge vite et moins de profondeur de champs tu as a disposition. Sans auto-focus, ça sera difficile de faire réussir les photos. Donc plutôt un grand angle pour ce genre de photos, mais il faut être beaucoup plus proche du sujet, ce qui n’est pas toujours facile…
Un dernier conseil: attention aux zooms 35-70 bon marchés, le résultat est souvent décevant.

A+, Marc

Posté en tant qu’invité par Michel:

c’est combien un froid « important » pour toi?

Posté en tant qu’invité par Eric:

J’utilise mon Canon EOS 500N jusque vers ~-20°C (estimation). Si ce n’est les piles qui n’aiment pas trop à la longue, le reste va bien.

Objectif passe-partout = zoom 24-85mm en diamètre 67mm. Un 200 serait bienvenue, mais ça commence à faire beaucoup de matos à emporter.

Reproche que l’on pourrait faire = l’encombrement de l’ensemble, mais quand on aime… Je l’ai toujours sur la ceinture du sac à la montée.

Posté en tant qu’invité par Eric34:

Pareil, mes EOS successifs ont toujours bien marché au froid jusqu’à -20°C, mais j’ai toujours une pile neuve de rechange au chaud sous la veste.
Sinon l’EOS 5 (plus fabriqué) avait un chouette accessoire, un boitier pile externe que l’on pouvait garder au chaud, et relié au boitier par un fil torsadé genre téléphone … l’arme absolu pour le grand froid peut etre ?
Objectif ? ca depend de ce que tu veux porter… Le minimum est un zoom 28-70 ou 24-85, en se rappelant que ce genre de zoom est surtout bon vers f8 ou f11: idéal pour le paysage, moins pour l’action. Sinon, on peut y ajouter un tres grand angle (20 ou 17, mais coposition delicate) et un teleobjectif (200 ou 300 mm)… Et pour la photo d’action, beaucoup de pellicule car ya du dechet !

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Froid, ca veut dire -20, -30.

Un photographe (a Lausanne, mais rue centrale) avec qui j’ai parle m’a assuré que le nikon F90X tiendrait facilement ces temperatures quitte a mettre un jeux de piles dans la poches. Et on peut vite les changer (j’ai vu le faire). Mais le truc du EOS 5 d’Eric parait genial…

pour l’objectif, je me demande si je ne vais pas acheter un bon 28mm ou 35mm, plutot qu’un zoom.

En tout cas merci pour vos informations !

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Ah oui, j’oubliais, parait-il que par grand froid, le FM3A ou le FM2 marche mais on n’a plus rien pour regler, donc la photo ratera presque a coup sur…

ah la la c’est pas facile tout ca. En tout cas merci !

Posté en tant qu’invité par dom:

salut Maurice,
deuxième tentative de réponse, ah les joies de l’informatique !!
donc, je disais (hier) que, comme ce que tu semblais chercher (au début de ton périple), c’était un appareil à obturateur mécanique, le Nikon n’est pas mal, d’autant que tu pourrais trouver de très bonnes optiques; chez Canon, il y avait le F1 que tu pourrais peut-être encore trouver en occasion; Pentax aussi a(vait) un boîtier mécanique de mémoire et, pour rêver, il y a encore les leica M et R.
Côté optiques, tu obtiendras une meilleure qualité d’image avec des focales fixes qu’avec un zoom, au détriment de la manipulation en cas de changement d’objectifs, et du poids.
En ce qui me concerne, j’utilise un 28 mm pour les paysages, parce que c’est la focale la plus courte qui me semble donner le moins de déformations visibles (en-dessous, c’est rigolo comme effet pendant 10 images, puis on se lasse un peu; je ne mettrais donc pas ça dans les priorités). Pour les détails, les portraits et les personnages, un 100 mm est parfait. L’ensemble des deux permet de couvrir (presque) toutes les situations rencontrées en voyage. Si tu souhaites faire des photos d’action comme tu dis, il faut ajouter un 200-280 mm (éviter le doubleur de focale, c’est rien qque de la m …), mais comme dit Marc, il est nécessaire d’avoir une certaine habitude de ce type d’objectif pour ne pas être déçu des résultats.
Si tu souhaites pouvoir faire des photos dans des faibles conditions de luminosité sans flash, il convient d’opter pour une grande ouverture (plus lourd et plus cher).
Il est utile de prévoir un fltre UV par objectif (pour le protéger des griffes surtout).
Par grand froid, il ne me semble pas que l’auto-focus et un boîtier électronique soit une très bonne idée; ça peut marcher, mais quand c’est bloqué, c’est bloqué et ça arrive toujours quand y faut pas; bon, mais ça c’est un débat de conviction.
Par contre, avec un boîtier mécanique, tu peux réussir tes photos même sans exposimètre (pour répondre à ta dernière remarque). En gros, une photo, c’est trois petites choses : une sensibilité de film, une ouverture et une vitesse (la distance, tu règles à l’oeil). Si tu as un appareil mécanique, il suffit que tu règles les 3 et tu réussiras ta photo même sans cellule : la sensibilité du film, tu connais, si tu augmentes la vitesse d’un cran, tu ouvres le diaphragme d’un cran supplémentaire, c’est aussi bête que cela. Si tu t’orientes vers ce genre de solution, je peux te passer des exemples. De toute façon, il faut savoir que dans la neige, les conditions de luminosité sont telles que la fiabilité des exposimètres n’est pas totale.
Bonnes photos.
Dominique

Posté en tant qu’invité par Marc:

Hello,

si tu augmentes la vitesse d’un cran, tu ouvres le diaphragme
d’un cran supplémentaire, c’est aussi bête que cela. Si tu
Hum, mais comment tu sais que pour un film 100asa, il te faudra tel diaph. avec tel vitesse ? Cela dépend de si tu photographies de la neige à midi ou un lever de lune… Si tu n’as pas de piles, tu n’as pas non plus d’exposimètre. Ou il y en existe qui fonctionnent sans piles ?

t’orientes vers ce genre de solution, je peux te passer des
exemples.
Là, ça m’intéresse !

De toute façon, il faut savoir que dans la neige, les conditions
de luminosité sont telles que la fiabilité des exposimètres n’est
pas totale.
Il faut juste savoir que sur ces vieux manuels, l’exposimètre cherchera à avoir un ensemble équilibré équivalent à un gris 18%. Donc une photo de neige, qui, a priori, a une dominante blanche très lumineuse dans d’ensemble, sera toujours sous-exposée.
On voit très bien ça dans cette photo, par exemple: la neige est grise.
Il suffit dans ce cas, de surexposer de 1-2 stops, avec un film diapo. Avec les flims nég., c’est un autre problème, car les labos grand public corrigent les erreurs d’exposition au développement, donc la neige sera à nouveau grise, malgré l’effort pour la « blanchir ».
Sur les petits automatiques, sauf erreur, c’est aussi le même système, mais sur les reflex modernes (avec piles !), il y a des systèmes beaucoup plus élaborés qui gèrent mieux l’exposition.

A+, Marc

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Cher Dominique,

Merci pour ta reponse fouillee et interessante. Outre les remarques deja faites par Marc (sur l’exposition notamment). Je voulais faire un petit commentaire a propos des Leica : j’en avais trouve un (un R3) d’occasion pour pas trop cher (le reve quoi). Et bien figure-toi qu’a partir de -2 degre, il se BLOQUE, mais alors definitivement. La seule manière que j’ai trouvee etait de pousser la manette de profondeur de champ qui declenchait l’obturateur. Total : des photos un peu floue, trop tard si c’est en situation avec une luminosité jamais comme je voulais.
L’objectif (un Tamron 28-70, pas excellent je le concede) n’est pas a mettre en cause : j’ai fait l’essai par -18 sans l’objectif : l’appareil bloque. Comble du comble : le testeur de pile marchait parfaitement ! On m’a dit plus tard que c’etait probablement la graisse qui se figeait. Je l’ai fait reviser : pas plus de succes !
Du coup, je l’ai rendu au vendeur qui me l’a vendu. Et maintenant, je me mefie des appareils mecaniques. Peut-etre c’est une erreur, et que c’etait seulement ce modele.

De plus : experience faite il y a deux semaines, il est quand meme assez laborieux de sortir un appareil par grand froid sur une arete, de faire des reglages, un pour le diaphragme, un pour la vitesse et un pour la nettete, surtout que le vent n’arrangeait rien les choses. Alors qu’un electronique te fait tout cela en une fraction de seconde !!
Bien sur, je suis plutot debutant dans le domaine, mais je t’explique pas la debatue que j’ai eue, car avec les gants c’etait hors de question de regler quoi que ce soit !!!

Enfin, un ami va me preter un F90X ce week-end et je pars en course. Je te redis si ca t’interesse

Posté en tant qu’invité par dom:

bonjour Marc et Maurice,
je ne veux pas lancer une polémique de plus sur skirando en ces temps houleux me semble t’il (est-ce par manque de neige ?) mais permettez-moi de détailler le fait que, en cas de perte de l’alimentation par pile de l’exposimètre, il est possible de réussir ses photos avec un appareil mécanique (pas à tous les coups, j’en conviens, et avec un peu d’habitude) en, suivant la base suivante :
pour un 100 asa, focale 50 mm :
bonne luminosité (sans réflexion), 125ème, f:8
lumière vive (pas de neige), 250ème, f:8
s’il y a de la neige, 500ème, f:8
par temps couvert ou brumeux mais de jour, 60ème, f:2.8
Sachant en plus que chaque fois qu’on double la sensibilité (exprimée en asa) du film (50-100-200-400-800 …), on ferme d’un diaphragme (2.8-4-5.6-8-12-16-22-…) ou on double la vitesse (30-60-125-250-500-1000-…)(ce qui correspond en principe à un cran de la molette de réglage), l’affaire est dans le sac.
bon, je conviens que c’est du « allalouche », qu’il faut s’habituer à son appareil et prendre des repères de lumière, mais, en tenant compte de la latitude qu’offrent la plupart des émulsions actuelles (jusquà deux diaphragmes), cela permet de se sortir de situations délicates et, avec de l’habitude, tu ranges l’appareil préréglé au fond de ton anorak et zou, plus besoin de faire trop de manip dans la bise hivernale …
Pour répondre aux remarques de Marc concernant la neige à midi et la pleine lune, les reflex modernes ne permettent pas nécessairement une meilleure mesure globale d’une grande étendue de neige par exemple, à cause de la très forte réflexion occasionnée par le fond, même en prenant une mesure de lumière de manière matricielle; ce qui est vrai, c’est que lorsque l’exposimètre permet une mesure locale sur un sujet et sa seule lumière réfléchie, la photo dudit sujet sera, en principe, correctemment exposée. Mais, il existe des appareils mécaniques qui permettent aussi ce type de mesure.
Dans ton exemple, il me semble qu’avec une ouverture de deux diaphragmes supplémentaires, tu vas perdre tous les détails de la neige, mais, bon, c’est une idée, sans plus.
De mémoire, mais je me trompe peut-être, le R3 n’a pas été fabriqué très longtemps, mais un Tamrom sur un Leica, sacrilège !! Ce qui fait la force de Leica, c’est quand même les optiques, que diable !!
Là-dessus, et pour vous faire rire, je dois vous dire que depuis deux ans j’utilise, pour la rando à skis (vu ma grande fainéantise), un olympus mju 35 mm, f:2.8, moins de 200g avec les piles, qualités d’optique très bonnes; il est autour de mon cou, au chaud dans ma polaire et n’a pas le temps de se bloquer par grand froid, et c’est tout ça de gagné pour le chocolat dans le sac …
Bisous à tous deux

Dominique

Posté en tant qu’invité par Luc D.:

Il est tropicalisé ton mju ?!?

Posté en tant qu’invité par dom:

pourquoi ? parce qu’il fait chaud et humide dans la polaire ? non, il est « tous temps » et bien emballé dans une housse matelassée pour mini portable.

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Merci pour le bisou, je t’en fait aussi un (a moins que tu n’aime pas les barbus).

Pour le tamron sur le Leica, je sais, c’est mal, je l’f’rai plus, promis…

Pour les courses vraiment engagee, j’ai aussi un petit appareil, mais quand meme on est assez limite…

A+

Posté en tant qu’invité par Toto:

Hello Maurice,
Je débarque peut-être un peu avec mes gros souliers de non-pro en photographie, mais bon, pour ce qui est de la photo en conditions très froides, je n’ai eu que d’excellents résultats en haute altitude l’hiver passé avec un sony cybershot (dsc-p1) à 3mio de pixels, zoom optique 3x, autofocus, etc - l’appareil est suffisamment compact pour le garder au chaud dans une poche de la veste et toujours prêt à l’emploi quelle que soit la température grâce à des batteries rechargeables longue durée - ok, j’imagine que c’est plutôt limité en matière d’objectif et de focale, toujours est-il que je n’ai vraiment pas eu à avoir honte de mes clichés par rapport à ceux pris par des appareils argentiques réputés plus évolués!
Voilà, désolé d’intervenir dans ce débat d’experts…je voulais juste donner le point de vue du simple amateur qui pourra, le cas échéant, être utile à d’autres amateurs!
Cordialement,
Toto
Maurice a écrit:

Cher Dominique,

Merci pour ta reponse fouillee et interessante. Outre les
remarques deja faites par Marc (sur l’exposition notamment).
Je voulais faire un petit commentaire a propos des Leica :
j’en avais trouve un (un R3) d’occasion pour pas trop cher
(le reve quoi). Et bien figure-toi qu’a partir de -2 degre,
il se BLOQUE, mais alors definitivement. La seule manière que
j’ai trouvee etait de pousser la manette de profondeur de
champ qui declenchait l’obturateur. Total : des photos un peu
floue, trop tard si c’est en situation avec une luminosité
jamais comme je voulais.
L’objectif (un Tamron 28-70, pas excellent je le concede)
n’est pas a mettre en cause : j’ai fait l’essai par -18 sans
l’objectif : l’appareil bloque. Comble du comble : le testeur
de pile marchait parfaitement ! On m’a dit plus tard que
c’etait probablement la graisse qui se figeait. Je l’ai fait
reviser : pas plus de succes !
Du coup, je l’ai rendu au vendeur qui me l’a vendu. Et
maintenant, je me mefie des appareils mecaniques. Peut-etre
c’est une erreur, et que c’etait seulement ce modele.

De plus : experience faite il y a deux semaines, il est quand
meme assez laborieux de sortir un appareil par grand froid
sur une arete, de faire des reglages, un pour le diaphragme,
un pour la vitesse et un pour la nettete, surtout que le vent
n’arrangeait rien les choses. Alors qu’un electronique te
fait tout cela en une fraction de seconde !!
Bien sur, je suis plutot debutant dans le domaine, mais je
t’explique pas la debatue que j’ai eue, car avec les gants
c’etait hors de question de regler quoi que ce soit !!!

Enfin, un ami va me preter un F90X ce week-end et je pars en
course. Je te redis si ca t’interesse

Posté en tant qu’invité par Luc D.:

C’est vrai que le numérique ouvre une nouvelle ère de la photo et des aspects bien pratiques.
(Si peu de mécanique et de chimie …)

Néanmoins je ne pense pas que les fans de diapositives vont faire la transition aujourd’hui. Définition et rendu obligent.
Personnellement, je vois le numérique d’aujourd’hui comme un appoint bien agréable, mais pour combien de temps ?!? zat is…

Posté en tant qu’invité par dom:

en plus de ces judicieuses remarques et si je me rappelle bien le point de départ de la discussion, on parlait de perte de batteries, et de ce point de vue, le digital, c’est très boooffff; déjà que ça consomme un maximum en temps normal, alors au froid ???

Posté en tant qu’invité par Maurice:

Ta remarque n’est pas stupide du tout. J’y ai effectivement pense. Mais outre le probleme de l’alimentation, il y vraiment le probleme du rendu : sur un ecran d’ordinateur ca passe pas trop mal. Mais en impression, il faut vraiment dire que c’est pas terroche, a moins d’avoir une imprimante super pro avec du papier couché (tres cher) et encore, il y a un monstre probleme de couleur (surtout le noir et les couleurs sombres).

Je sais qu’ils ont fait pas mal de progres et je pense qu’a moyen termes on aura des resultats epoustoufflant et pas trop cher. Mais il faudra attendre et resoudre une bonne fois pour toute le probleme de l’alimentation (les piles a combustibles, me parraissent etre l’option de demain, on nous les promet deja bientot pour les portables…)

A+

Maurice

Posté en tant qu’invité par Michel:

c’est effectivement un des gros pb du numériques me semble-t-il! quant aux piles a combustibles (je bosse dans ce domaine), plutot a considerer comme la solution… d’après-demain! On est pas si près d’une commercialisation grand public.
Pour revenir a une des questions initiales de Maurice quant aux objectifs, si tu fais de la foto papier et si tu les fait developper dans une boutique « classique » de foto où ils utilisent des machines qui font ça « à la chaine », quelque soit la qualité de ton appreil et des tes objectifs, le facteur limitant (en terme de qulité) sera le travail de la machine qui va te faire de la jolie neige jaune et des parois violettes!
Ca fait quelques années que je fait de la foto (en amateur) mais je suis passé aux dias depuis 6 mois et je regrette de ne pas l’avoir fait avant. Le rendu des couleurs est beaucoup plus proche de la realité. Enfin, c’est mon opinion. La foto papier doit avoir aussi ses partisans. C’est un peu comme pour les topos… :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par dom:

of course, God save the … slide !!

pssstt : le top du top, c’est d’avoir un copain qu’a un beau scanner à dias et d’imprimer soi-même ses noeuvres, sur du beau papier bien cher, j’en conviens, mais c’est tellement plus beau …