Posté en tant qu’invité par Phill:
Coureur à pied (en plaine : la région nantaise) et pratiquant la montagne aussi souvent que possible (le plus souvent les Pyrénées, mais aussi les Alpes), je m’interroge sur la fiabilité de l’affirmation selon laquelle séjourner en altitude amène l’organisme à fabriquer des globules rouges, pour compenser la raréfaction de l’oxygène, ce qui aurait pour conséquence, une fois redescendu « au niveau de la mer » d’améliorer les performances.
Qu’en est-il exactement ? Sans être un compétiteur acharné, j’aimerais qu’on satisfasse ma curiosité :
- le phénomène est-il réel ?
- dans l’affirmative, à partir de combien de temps passé en altitude et à partir de quelle altitude peu-il être constaté et sensible ? Une fois redescendu, combien de temps l’individu en garde-t-il le bénéfice ? L’effet décroît-il rapidement …etc ?
Voilà, si quelqu’un peut m’en dire plus, je suis preneur de toute explication.
Merci.
[%sig%]