Et aussi, combien à monter.
Alpinistes : besoin de vous pour une étude sur vos attentes en refuge
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C’est comme l’électricité. On veut le beurre, l’argent du beurre et la crémière en prime.
Ce refuge était en effet une ancienne cabane de chantier. D’après mes souvenirs, il devait être « remplacé » ou complété par un nouveau refuge, construit un peu en amont du lac du Pavé. Bon, certes, j’ai cru que le chantier était terminé,alors que la construction est en cours…
Il n’en demeure pas moins qu’il ne me semble pas raisonnable d’équiper les refuges de douches accessibles aux clients (notamment, dans un environnement « haute montagne » comme le Sélé) alors qu’on constate une raréfaction des ressources en eau au point de provoquer la fermeture de refuges par endroits.
Concernant les toilettes, une chasse d’eau consomme et le constat (très simple à faire) est que le Club Alpin Suisse a équipé bon nombre de ses refuges de toilettes sèches depuis longtemps. La FFCAM n’a pas retenu cette option, sans doute pour certaines raisons (coûts ?). Je n’irais bien entendu pas jusqu’à la solution suisse qui consiste à vendre l’eau potable héliportée en bouteilles à « ouatemille »…
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Pour les refuges proches de glaciers ça fond tellement que j’ai l’impression qu’ils n’ont pas encore ce problème.
Oui, pour l’instant, ça donne de gros volumes d’eau pour ces refuges. Le gestionnaire doit néanmoins anticiper pour ceux qui dépendent de névés ou de glaciers menacés de disparition d’ici dix à quinze ans.
Ben si justement ! Ca pousse les gens à monter leur eau potable.
Par contre ceux qui acceptent/peuvent payer l’eau en bouteille à ouatemille génèrent une bouteille plastique de déchet par litre consommé, c’est n’importe quoi…
On dirait qu’ils ont copié les toilettes des Crabioules 
Ce qui mavait rendue malade aussi c’était de voir la vaisselle jetable.en plastoque utilisée dans les refuges ou l’eau est rare… tous ces déchets…
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