Posté en tant qu’invité par TRILLES Xavier:
Merci pour les précisions, je pensais en effet qu’il était tout simplement inerdit de décoller du Mt Blanc.
Posté en tant qu’invité par TRILLES Xavier:
Merci pour les précisions, je pensais en effet qu’il était tout simplement inerdit de décoller du Mt Blanc.
Posté en tant qu’invité par TRILLES Xavier:
Hello,
Je suis plutôt d’accord avec toi (manche à air, reco de l’atterro…) quand c’est possible, mais cela peut aussi donner un faux sentiment de sécurité et par la même engendrer une certaine panique lors d’un atterro improvisé sans repères (en fait il y a presque toujours des repères mais il faut apprendre à les voir (feuilles, herbes, fumée, confluence de vallée, vitesse près du sol, etc…)).
D’après moi, le paralpiniste doit aussi et surtout être capable de voler progressivement de plus en plus en autonomie au fur et à mesure qu’il se perfectionne, et de pouvoir se vacher un peu près n’importe où et apprendre à lire l’aérologie depuis le ciel.
On peut s’entraîner sur des sites standard que l’on connaît bien (aérologie, etc…) en reposant un peu partout sur les crêtes alentours, puis redecoller : en résumé sortir des sentiers battus tout en restant dans son jardin et sous la surveillance des potes au cas où…Cela permet d’effectuer en peu de temps beaucoup d’atterros et de décos très variés, de voir l’orientation des brises selon le relief /le vent sur une zone très restreinte, bref d’accumuler beaucoup d’expérience (jamais assez de toute façon) en peu de temps.
En tout cas le plus important, il faut y aller progressivement et ne pas hésiter à demander des conseils aux pilotes locaux les plus avisés et compétents.
Enfin voilà, c’est mon avis.
Bons vols.
Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:
En vol montagne, il faut effectivement être capable d’improviser en sécurité un atterro dans des endroits non reconnus à l’avance.
Mais il ne faut pas surestimer la diffiulté des vols en haute montagne.
Comme je l’ai déjà dit, lorsqu’on part en montagne avec une voile sur le dos, on est d’abord alpiniste avant d’être parapentiste et on suit donc les mêmes horaires que les alpinistes, c’est-à-dire que l’on quitte le refuge en pleine nuit et que l’on arrive au sommet tôt le matin.
Comme on a fait attention au bulletijn météo et que l’on envisage de tels vols les jours où il y a des conditions anticycloniques avec vent faible en altitude, les vols se font en géénral tôt le matin en conditions calmes (avant que les brises de vallée, parfois fortes, ne s’installent) et les vols sont pour la plupart du temps tranquilles et sans problème (aspect psychologique mis à part, au vu des centaines et centaines de mètres de gaz que l’on a sous les pieds).
Ces vols sont très souvent plus faciles et moins techniques que beaucoup de vols sur site en milieu de journée.
A+ et bons vols.
Marc
Posté en tant qu’invité par TRILLES Xavier:
Ouai,
Pas faux non plus.
Posté en tant qu’invité par TRILLES Xavier:
Hello,
Un peu de pub en plus pour le site internet et de vol de Vercorin (Valais), c’est chez moi : www.parapente-club-vercorin.ch.
L’école du coin : www.aerocentre.ch organise aussi des vols montagne encadrés par un guide et accessible à des presque débutants (weismmies, Bishorn).
Viendez-tous.
Posté en tant qu’invité par Raoul Volfoni:
Marc Lassalle a écrit:
les vols se font
en géénral tôt le matin en conditions calmes (avant que les
brises de vallée, parfois fortes, ne s’installent) et les vols
sont pour la plupart du temps tranquilles et sans problème
(aspect psychologique mis à part, au vu des centaines et
centaines de mètres de gaz que l’on a sous les pieds).
Ces vols sont très souvent plus faciles et moins techniques que
beaucoup de vols sur site en milieu de journée.
Je renchéris sur le fait qu’il ne faut pas surestimer la difficulte des vols montagne. Par contre, pour quelqu’un habitué à voler sur site en thermiques ou en soaring, il faut savoir aussi s’adapter à d’autres conditions plus typiques de la haute montagne:
Savoir décoller proprement par vent nul voire leger descendant (c’est souvent le cas quand on decolle tot le matin, ou sur glacier). Donc savoir decoller en courant comme il faut et en chargeant bien la voile -> pente ecole par vent nul ou leger cul, au minimum.
Maitriser le déco face à la voile, en cas de vent un poil plus fort que prévu.
Pouvoir changer de trajectoire dans les secondes qui suivent le déco, pour decoller face au vent et passer un collet pour rejoindre la bonne vallée.
Oublier ses habitudes de site, style « la brise est forcément montante ». Tot le matin, il n’est pas rare de devoir poser vers le haut, dans la brise encore descendante, plutot que vers la vallée… J’ai un ou deux souvenirs de posés « banzaï » pour m’etre laissé guider par les habitudes !
Et savoir renoncer, bien sur !
Voila, voila… Observation des conditions,
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Vincent:
Alors cet essai ? (ultralite 23 / 25)
Qu’en est-il ?
Vincent
Posté en tant qu’invité par Dady:
Une voile trés sympa: la walluna de chez nervures, légére, performante, sure, agréable, seul ic le démélage pas facile…
Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:
Cette voile a été citée plusieurs fois dans les différents messages de ce post.
Elle s’appelle en fait Valluna et existe en 2 versions :
Il s’agit d’une excellente voile, mais c’est une voile dite « intermédiaire ».
A cause de son allongement (supérieur à 5), elle est destinée à des pilotes ayant déjà une bonne expérence du parapente et en aucun cas à des pilotes peu ou pas expérimentés.
A+ Marc
Posté en tant qu’invité par bipbip:
J’ai une sellete Sup’air de 1996 sans poche dorsale (type radicale mais avec un plateau) et un sac Sup’air light ce qui passe tres bien pour des vols rando a la journee par contre pour les vols bivouac (avec duvet, rechauds, gamelles), le poids du sac sur les epaules rend rapidement le vol penible. Est ce que ca se passe mieux avec des sellettes type RADICALE ? (quel est la capacite de la poche ?), est ce que vous avez d’autres methodes pour accrocher votre sac ? (rappel de charge sur les maillons ?)
Laurent
Posté en tant qu’invité par bipbip:
ooops,
Est ce que ca se passe mieux avec des sellettes de type ALTIPLUME (quel est la capacite de la poche ?)
Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:
Il est clair que les sellettes « Radicale » ou « Altiplume » ne sont pas destinées à un usage « bivouac » (trop peu de rangement disponible).
Je sais que les marques « Nervures » et « Sup’Air » (mais d’autres marques le font aussi sans doute) proposent à présent des sellettes et/ou des sacs justement conçus pour les « vols bivouac » alliant légèreté et volumes de rangement significatifs.
Il faudrait aller consulter leurs sites pour avoir plus de précisions sur ces matériels.
A+ Marc
Posté en tant qu’invité par Olivier:
Patrick
je réagis suite à ton avis : je ne rajoute pas le parapente à la montagne. Etant vieux montagnard, devenu parapentiste, sans trop lâcher la montagne, je peux témoigner que le danger, pas comparable certes, n’est pas supérieur. Si tu es un parapentiste aussi « sage » que montagnard, la descente en volant est souvent plus sure que la descente à pied, tout en reconnaissant que la descente avec le parapente en plus pour cause de non vol n’est pas le top.
Je trouve plutôt que le vol « gagné » par l"ascension d’un sommet est d’une grande élégance. Un exemple de plaisir pur est la traversée des dômes de Miage avec redescente par la voie des airs : le silence et le vent dans le casque, avec la vue de la vallée est un plaisir indiscible. patrick a écrit:
Bonjour
Je ne suis pas parapentiste mais alpiniste et je me permet
juste d’ajouter une petite information complémentaire
concernant les voiles ultralight.Vous parlez beaucoup de lla derniére OZONE. Néanmoins sachez
que les premiers a avoir testé le tissu utilisé dans les voiles
ultralight (le skytex 27) sont Nervures.
Je suis trés bien placé pour le dire car c’est moi qui ai
developpé le tissu en collaboration avec Nervures. Depuis ils
ont sortis d’autres voiles que la KENYA qui si je me souviens
bien n’est pas fabriqué avec ce skytex 27 mais un intermédiare
entre le skytex 40 et le skytex 27. Ils ont été les pionniers
dans les voiles légéres et personnellement si je devais choisir
une voile montagne je partirai plutot avec Nervures. En plus
ils sont français et fabrique en france.Ceci ne remet absolument pas en cause la qualité de OZONE trés
pointu sur la qualité de ces voiles mais aussi de GIN avec sa
yéti.Ne vous insurgez pas de mon message, je ne connais pas les vols
de parapente, j’ai beaucoup appris de toutes ces marques sitées
(je les connais toutes), et ils m’ont tous demandé pourquoi je
ne redescendais pas en parapente. J’ai juste une femme et 4
enfants, j’ai la chance de pratiquer l’alpinisme bien que ma
femme (montagnarde elle aussi) soit inquiéte à chaque fois que
je part alors si en plus il fallait rajouter le
perapente…
Vous comprenez j’espére. Si besoin d’info supplémentaires
n’hésitez pas.
Posté en tant qu’invité par Tom:
Merci à tous pour vos conseils, j’ai vraiment trouvé ce que je cherchais et j’ai été bien orienté grace à vos suggestions et remarques.
J’ai fait un stage initiation à Samoens ( équipe très sympa et super formateurs!) et une journée supplémentaire ce qui m’a permis d’obtenir le brevet initial, je pense acquerir mon matériel prochainement et faire un stage perf avec. Une question pour les habitués de vol montagne : le poids du sac ne vous gene t-il pas pour piloter avec une sellette ultraligth type radicale ou evrest ? Avez vous des astuces pour ramener le poids sur les elevateurs ?
Cette activité est vraiment sympa, j’ai hate de poursuivre ma progression !
Bon vols à tous et à bientôt dans les airs.
Tom
Posté en tant qu’invité par Michel:
Tom a écrit:
J’ai fait un stage initiation à Samoens ( équipe très sympa et
super formateurs!) et une journée supplémentaire ce qui m’a
permis d’obtenir le brevet initial
hum ?
heu, attends voir, qu’appelles-tu « brevet initial » ???
parce que le brevet de pilote au bout de 5 jours (stage init’) + 1 …
Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:
J’effectue tous mes vols en haute montagne avec une sellette « Radicale » et avec le sac sur le dos et je n’ai jamais ressenti la moindre gêne en vol.
Il suffit de bien tendre les bretelles de la sellette pour rester facilement bien droit sans être tiré en arrière.
Par contre je sais qu’il existe des systèmes pour décharger le dos en laissant pendre le sac sous la sellette.
Lorsque j’ai volé avec le guide parapentiste Zébulon, c’est cette méthode qu’il utilisait, mais je nai pas bien regardé comment il installait son sac, il ne l’avait pas sur le dos pendant le vol.
A+ Marc
Posté en tant qu’invité par Tom:
J’entends par brevet initial le premier niveau tamponné par les écoles, il s’agit d’effectuer un vol seul sur un site déja pratiqué, par une aérologie calme sans assistance technique (pas de radio en l’occurence).Ceci s’explique par le fait que j’ai eu la chance de faire 11 grands vols pendant mon stage et 5 de plus pendant la journée supplémentaire.
Le brevet de pilote auquel tu fais allusion permet de voler sans assistance sur différents sites par une aérologie variée. Ce brevet cloture généralement le deuxième stage de perfectionnement de la majorité des écoles et il précède le brevet de pilote confirmé.
Je n’ai pas sauté trois classes d’un coup !
Merci à toi pour tes bons conseils, l’equipe de Pégase est vraiment extra.
A bientôt !
tom
Posté en tant qu’invité par possible:
c possible
Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:
Excuse-moi, mais je ne comprends pas ton message ???
Marc
Posté en tant qu’invité par helene:
Coucou Marc !
J’ai lu presque tous tes messages à propos du parapente qui m’ont passionée J’aurais trois questions à te poser si tu as encore la patience (mais tu as l’air passioné par ton sujet)
J’ai déjà fait deux stages de parapente (et donc plusieurs grands vols). Ce qui m’inquiètre en parapente comme en ski de rando c’est la connaissance du terrain (si je puis dire dans le cas du parapente !!!) c’est à dire l’aérologie : savoir « décrypter » les vents comme on décrypte une pente qu’on pense peut-être avalancheuse.
Ayant pratiqué pendant longtemps l’alpinisme et ayant eu un accident en ski de fond j’ai un genou arthritique. Il ne tient plus guère. J’en bave dans les descentes ! Alors j’ai pensé faire les descentes … en parapente ! Hé hé !! Mais quid des atterrissages Je sais qu’on peut atterrir en douceur mais n’est-ce pas prendre des risques en ce qui me concerne
Pourrais-tu me donner les coordonnées de ton guide Zébulon Un guide parapentiste ça ne court pas les rues Est-il sympa A quel endroit exerce-t-il
Grand grand merci d’avance
Ps : Plus de point d’interrog ni de virgule sur mon clavier excuse