Alpinisme et ecologie

Posté en tant qu’invité par claudio:

Bonjour,

je suis assez d’accord avec la réaction de JCG.

La manière qu’a strider de définir des « profils » écolos est tout à fait de notre époque, malheureusement : c’est le règne de l’étiquetage, du marketing politique. Qu’il y ait du vrai dans cette typologie n’a qu’un sens secondaire. Le but c’est de s’extraire du lot.

Et ça marche : cette typologie est bien réfléchie, construite ; mais surtout sûre d’elle-même, contente d’elle-même… Elle apporte le contentement de soi à son auteur.

On retrouve cette posture dans tous les magazines de droite comme de gauche, et dans bon nombre d’« essais politiques » vendus chez Relay (champion du genre : Alain Minc).

salut à tous

claudio,
écologiste convaincu (si ce n’est primaire) et imparfait (« hypocrite » si j’ai bien compris)

Que cettepapy_ours a écrit:

y a pas mal de vrai dans la « classification » des écolos de
strider

faudrait pas croire que tout le monde il est beau et tout le
monde il est gentil chez tous les écolos

et inversément, faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain

mais ce n’est pas l’aggressivité du 1er message de JCG qui va y
aider !

Posté en tant qu’invité par claudio:

strider a écrit:

Le conflit n’apporte rien de
bon.

la politique, ce n’est que cela. La démocratie est - devrait être - précisément un système permettant de les réguler par le débat et le vote. Du moins entre citoyens libres, égaux et responsables. Or ça ne se passe pas comme ça, et il faut admettre que beaucoup de choses adviennent par d’autres voies - et les démocraties réelles s’en accomodent : sans grèves, manifestations, actions parfois violentes, etc., qui te dit qu’on ne travaillerait pas 14 heures par jour 6 jours par semaine, que les femmes auraient le droit de disposer d’elles-mêmes et que la France ne serait pas couvertes de réacteurs SuperPhenix ?

claudio