Alex Megos: 1er 9a à vue à 19 ans ! Que penser de cette performance?

Alexander Megos, grimpeur Allemand né en 1993, est connu pour avoir réalisé le premier 9a à vue, le 24 mars 2013, à 19 ans, Estado critico au secteur El Pati à Siurana. Mieux qu’Adam Ondra (8c+ à vue).

http://escalade9.wifeo.com/alex-megos.php

Que penser de cette performance hors du commun qui repousse un peu plus les limites du possible en grimpe ? La voie faut-elle vraiment 9a ? Est-ce vrai, que les poulies et les tendons des doigts deviennent plus résistantes qu’à la normale qu’en on commence l’escalade hyper tôt, genre à 5 ans ? que les très jeunes grimpeurs ne fabriquent pas ou peu d’acide lactique ?

http://www.kairn.com/fr/escalade/88370/premier-9a-a-vue-de-l-histoire-de-l-escalade-par-alex-megos.html

Posté en tant qu’invité par kikouyou:

Maitre kikouyou pense :" Il est dopé comme tous les grimpeurs de 9 . On ne peut pas gagner" le tour" de grimpe de 9 , sans être dopé. Puis il triche , il met les dégaines avant. Que de mauvais exemples pour les plus jeunes. Vous avez une question ? Maitre Kikouyou grand pédagogue est là pour vous apportez la réponse . Tchô

Posté en tant qu’invité par a pas vu le 9A…:

118 posts déjà ici : /viewtopic.php?id=235091

Je vois pas en quoi c’est tricher de mettre les dégaines avant étant donné qu’ils le font tous? c’est comme le dopage, ils ont les mêmes produits à disposition ils sont donc sur un même pied d’égalité, la performance n’est donc pas négligeable!

Le truc c’est que comme les débutants ( ou même les grimpeurs confirmés ) essayent d’ imiter les plus forts, et beh si par exemple ondra commence a grimper dégaines au baudard des voies très dures, et bah ça va se propager dans toute communauté des grimpeurs ( qui j’espère ne grimpent pas tous dégaines placées ) :smiley: mais bon après chacun pense ce qu’il veut :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par tanplan:

Ben moi j’ai palpé mes premiers 9A à 7 ans je pense. Maintenant que j’en ai 30, je préfère palper des 95C.

Rien…

Qu’il est permis de s’en battre les couilles, les steaks, la race et tout ce qui peut se battre, ceci avec une tapette à mouches et avec une telle vigueur qu’à la limite ça fait du vent.

Je reprendrais bien des moules, moi, dis-donc.

« Je m’en fous. Les mots me manquent pour exprimer à quel point je m’en fous. Ce genre de problématique occupe dans mon esprit la place tenue par la poésie d’Audiberti dans la pensée de Marcel Cerdan Junior. » (P. Desproges)