Posté en tant qu’invité par rs:
Luc neouze a écrit:
Ah ! j’ai moi aussi des questions : Nostradamus et Oliwood !
Qui que vous soyez, vous semblez de bon conseils…
Vous comptez pour moi, et mes quatres acolites !
Selon vous donc levé du Durier 2h départ 3h de sorte à être au
levé du soleil au pieds de trois longueur en 3+. Est-ce bien
cela ? Ou + ou -
Non il vaut mieux partir une heure avant le lever du soleil pour arriver au pied du rocher au lever du jour
Vous dites faut pas se perdre sur les longueurs, mais est-ce
évident ? Y a t-il du spit ? quelques clous ? pour indiquer. Ou
juste du feeling de rocker ?
Le plus souvent on grimpe avec les crampons ( c’etait le cas pour moi )
il te suffit de bien observer les traces sur le rocher pour rester sur la voie, si tu t’en ecarte c’est moins facile.
Et puis surtout après : la dentelle de l’arrète de bionnassay !
Faut -il de la broche à glace pour l’assurage ? De la glace
quand ? déjà au mois de juillet ?
S’il y a des passages en glace, oui il te faudra des broches pour tirer une longueur
Je comprends bien que l’on ne passe pas de front ( 20cm ! ).
Alors combien de mètres de corde faut t-il entre deux. Est-on
en cordée sur le fil de l’arrète. Ou alors assure t-on l’autre
même un minimum.
deux max par cordée, corde tendue, espacement court
Quelle est la vitesse de progression a cet endroit ?
c’est de la marche lente
L’arrète accroche t’elle le mauvais temps ? même le matin ?
a ne faire que s’il fait beau
On va sur le mont blanc. Puis on redescend au nid d’aigle dans
la journée : combien de temps selon vous ?
compter au moins 5h du Mont Blanc au nid d’aigle
La redescente nécéssitte t-elle des équipement type ARVA
-risque d’avalanche etc…
non
Du nid d’aigle comment rejoint t-on les contamines…
vu la longueur de la course il vaut mieux emprunter le tmb j’usqu’a st Gervais puis faire du stop
[%sig%]