Accidentologie : lettre de la FFME 2024

#44

That was my point.

#45

nouds en bout de cordes oubliĂ©s, assurage en claquettes ou pied nu, assurage Ă  plus de 3m de la parois, les discussions en pied de voie avec l assureur, les mains oubliĂ©es sur les brins morts ou sur systĂšmes d’assurage, l’absence de casque, longe double « maison » avec tĂšte d’alouette sur le baudrier sans noeud de sĂ©curitĂ©, les oublis de parades aux premiers points, les oublis de dĂ©gaines de renvoi aprĂšs les relais, les bananes de l 'espace en assurages


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#46

Que celui que est sans pĂ©ché 

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#47


 Non, on ne jette pas de pierres ! Du tout, du tout. Cela dit, mĂȘme si la chance nous rattrape souvent par le fond du pantalon, on gagne toujours Ă  apprendre des erreurs des autres :wink:.

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#48

tu parles de quel niveau exactement?

#49

Rien qu’en cotation falaise, jusque dans les annĂ©es 80, le niveau minimal pour entrer Ă  l’ENSA Ă©tait 6a Ă  vue. A prĂ©sent, on est dans le 7.

Disons qu’il y a vingt ans, on considĂ©rait qu’atteindre un niveau de 6a-6b Ă©tait dĂ©jĂ  un excellent niveau. Un bon grimpeur grimpait dans le 5b-5c. Aujourd’hui, un grimpeur de 5 passe pour un dĂ©butant.

En revanche, j’observe que depuis quelques annĂ©es, dans les magasins spĂ©cialisĂ©s en grimpe, on trouve dĂ©sormais du matos qu’on achetait auparavant sur les sites dĂ©diĂ©s aux kinĂ©s.

#50

Bof, je suis pas convaincu que grimper dans le 6c est fondamentalement plus traumatisant que dans le 5c.
En fait on peut tres bien imaginer le contraire, avec des grimpeurs globalement mieux prepares musculairement parlant.
Et dire que le 7 c’est du haut niveau c’est complement a cote de la plaque par rapport a la pratique reelle du haut niveau actuel.

#51

A cette Ă©poque, il me semble qu’on grimpait essentiellement en grosses.
Maintenant tout le monde grimpe en chaussons. Et j’ai l’impression que ça correspond à peu prùs:
7 en chaussons=6a en grosses
6b en chaussons=5b/5c en grosses

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#52

euh il a 20 ans c’est 2004, pas 1974!

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#53

Je réponds à @Walkyrie qui parle des années 80:

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#54

Lorsque j’étais jeune, j’ai fait de nombreuses ascensions avec des grosses ( les chaussures) dont de nombreux 6 et 6 + ( aprĂšs on tombait et c’était la tombe )
Donc heureux d’apprendre que j’avais un niveau 7 et un peu plus !

#55

y’a un paquet de 6c des annĂ©es 80 qui sont (ou seraient) des 7a aujourd’hui.

#56

Ça dĂ©pend pas mal de la configuration des voies. Grosses en adhĂ©rence = nul. Grosses sur rĂ©glettes = pas mal du tout.

#57

Tu viens de faire un heureux :sunglasses: Je ne savais pas que j’avais grimpĂ© du 7 dans ma jeunesse.
Et oui, on grimpait en chausson dÚs la fin des années 70.

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#58

Deux heureux !

#59

Oui, dÚs les années 80, on grimpait en chaussons en falaise.
Dans les années 90, on avait déjà des chaussons asymétriques avec le talon qui pousse bien.

#60

Anecdote en 82 a la session du Capes option escalade, a CeĂŒse, des candidats se sont pointĂ©s en grosses pour l’épreuve de blocs ouverte par Edlinger, notamment. A l’autre bout de la chaĂźne, il y avait Escoffier, Haguenmuller
 La moyenne c’était 6b dans du vrai a vue (pour les voies)

#61

Ils avaient raté la sortie de son film :joy: