Bah nan c’est juste que ce qui importe à mon sens n’est pas forcément l’origine de l’accident, mais ce qu’il vient mobiliser en nous…
Le nombre de fois où on fait (moi en tout cas !) de la merde et qu’il ne nous arrive rien d’autre que de vivre de belles émotions et de sortir entier, on ne se flagelle pas, on remercie juste notre bonne étoile…
Alors que le jour de l’accident bim d’un coup ça devient une erreur d’égo patin couffin…
Si je rejoins ta conclusion, je crois que les facteurs internes sont toujours liés aux externes, et qu’il y a fort peu d’objectivité en matière de montagne tellement l’affect peut vite prendre le dessus sur le rationnel…
M’enfin suis une gamine sans grande expérience pour raconter ça, mais à vous lire j’crois que les « leçons » sont tirées, et espère vivement que c’est reparti pour de nouvelles aventures si t’es pas trop amoché (?!)…
Prenez soin de vous…
Et Enjoy!