Posté en tant qu’invité par Richard Obert:
Certes, comme l’écrit Simon, ce n’est pas la mort de marcher.
Je suis d’accord, mais le problème n’est pas là.
Il s’agit toujours de la même histoire : quelques petits propriétaires aisés ne souhaitent pas que l’on emprunte leur route et semblent se muer en « justiciers » …de leur propre intérêt. D’autant que, si j’ai bien lu le lien adressé par Marie, le parking est communal…et accessible aux chasseurs !
Connaissez vous ce type de lieux où opère la magie des paysages et des lumières provençales ?
Et surtout, avez-vous une idée du type de population majoritaire qui y vit ? Ce ne sont pas des gens qui partagent, échangent ou communiquent. (En revanche, ils votent…!)
Donc, ces gens-là préfèrent de loin la carte du protectionnisme de quelques avantages très locaux.
Que les grimpeurs ou randonneurs aillent voir ailleurs, par conséquent.
Et qu’ils garent leur caisse à savon au bord de la route, tant pis pour les dangers.
Je reconnais bien volontiers le caractère passionné de mes propos. A ce titre, je veux bien admettre qu’ils puissent être sinon infondés, mal renseignés…
Mais qu’on me le prouve, dans ce cas !!!
Et qu’on me montre les nuisances occasionnées par de très peu nombreux passages de personnes qui semblent -même si ça n’est pas toujours le cas des grimpeurs, mais c’est un autre débat- respecter la nature.
Pour le côté positif de cette histoires très « française », la position de la mairie me paraît encourageante.