À propos des longes en corde ou en sangle

Posté en tant qu’invité par Paul G:

Voici une étude très complète effectuée par les spéléos dans les labos de l’ENSA.
C’est très détaillé, avec des mesures en facteur 1 et 2 sur différents types de matériels, avec différents types de noeuds, et également des essais sur des configurations particulières.
Aux adeptes des sangles, surtout s’ils font de l’alpinisme et risquent de rencontrer des situations « anormales », je suggère vivement de lire au moins la conclusion.
http://www.ecole-francaise-de-speleologie.com/get/tests_longes/longes.pdf

Posté en tant qu’invité par OPS:

Très instructif!
c’est en répétant les messages qu’ils finiront par être entendus.

Posté en tant qu’invité par Pat:

Super rapport!
La legende du noeud mal fait et mal pre-serre en prend un sacre coup… idem pour le diametre de la longe…
Pas mal aussi le noeud qui bloque le mousqueton…
On note aussi l’influence de la connection au baudrier sur le facteur de chute reel, surtout quand la longe est tres courte…

Posté en tant qu’invité par yoda:

merci pour ce lien et ce rapport très instructif
cela bouscule en effet bien des idées.

Posté en tant qu’invité par Paul G:

Perso, je n’avais jamais pensé à l’influence des mousquetons.

Imaginez qq un vaché à une dégaine, sur un clou. Il vient de faire un rappel, et se hisse pour récupérer un bout de nouille accroché, afin de pouvoir installer le rappel suivant.
Il glisse et tombe de la longueur de la dégaine, sans rien amortir.
Hauteur de chute : 2 fois l’intérieur de chaque mousqueton + 2 fois longueur de la sangle de la dégaine + l’intérieur du pontet + l’espace disponible dans le clou.
Je viens de mesurer : une sangle de 10cm absorbe le choc d’une chute d’environ 60cm.
C.a.d. qu’on est en facteur 6 !!!

Heureusement, il y a deux autres choses qui vont dans l’autre sens :

  • pour les chutes inférieures à 1m, la force choc n’est pas directement relié au facteur de chute
  • une bonne partie de l’énergie est absorbée par la masse musculaire (vive les grosses fesses !)
    N’empêche que je n’ai vraiment pas envie d’essayer.

Posté en tant qu’invité par Gecko:

Pat a écrit:

Super rapport!

Oui, vraiment intéressant.

La legende du noeud mal fait et mal pre-serre en prend un sacre
coup…

à quel titre ?

C’est logique, un noeud non préserré va absorber plus d’énergie qu’un noeud hyper serré par une chute.
Mais attention, un noeud pas préserré du tout a une incidence certaine sur la sécurité s’il se défait à la longue à force d’être hoché. Ce n’est pas observable lors de tests de traction.

REMARQUE / AVERTISSEMENT :

Il est indiqué dans ce rapport d’essai que le demi-noeud de pêcheur double ne glisse quasiment pas même s’il n’est pas préserré.
C’est apparemment en contradiction avec mon expérience personnelle avec une corde cobra 8.6 dry :
Je parvenais à faire glisser le noeud en me suspendant par à-coups sur la longe
(reproductible par tout un chacun si les traitements sont de qualité constante).
J’émets 2 hypothèses pour expliquer cet écart d’observation et je les vérifierai dès que possible.

  1. On peut voir que les tests sont effectués avec un mousqueton de progression côté demi-noeud de pêcheur double (côté dynamomètre).
    J’ai fait l’essai avec un mousqueton de sécurité à vis à section circulaire.
    L’épaisseur du mousqueton de progression est significativement plus faible que la plupart des mousquetons de sécurité à vis, et sa section non circulaire favorise moins le glissement.
    J’ai pu observer (vous pouvez le faire aussi) que le demi-noeud de pêcheur double tend à s’ouvrir s’il est fixé à une amarre de forte section par rapport au diamètre de la corde.

  2. Les cordes étaient elles traitées ? Je n’ai pas lu cette précision.
    Les cordes traitées sont plus glissantes.

Le glissement que j’ai observé n’était pas rassurant (noeud préserré à la main), même s’il n’était probablement pas suffisant pour défaire le noeud sur une chute.
La solution est simple, il suffit de faire un troisième tour pour obtenir un demi-noeud de pêcheur triple.
Ça stoppe tout glissement sur les cordes traitées de faible diamètre sans poser de problème d’encombrement du noeud.

Pour la question posée dans ce rapport du nom à donner au demi-noeud de pêcheur double, la réponse a été apportée ici même dans c2c :
http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=16&i=22878&t=22741
Noeud de Scaffold
On fait le nombre de tour que l’on veut. Plus on en fait et moins le noeud glisse. C’est important avec du fil de pêche fin.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Pat:

Cwe qui est interessant c’est que les tests ont ete faits dans des conditions ou la comparaison reste possible. Ensuite, la prudence reste de mise… recommander un tour supplementaire au noeud de Scaffold, devrait etre justifiee par des tests, meme si en toute logique on peut supposer que le noeud restera fiable… mais jusqu’ou peut on se passer de mesures reelles et faire confiance a nos impressions? C’est ce qui est montre dans ces tests… donc le reflexe d’utiliser ce qu’on connait tout en restant ouvert aux evolutions n’est pas remis en cause et devrait nous stimuler a savoir remettre en question nos certitudes…

J’ai tellement entendu dire qu’un noeud bien fait avec les brins qui se suivent sans twister etait plus robuste… et j’y ai cru tant cela m’avait explique avec conviction!

Le role de la section des mousquetons est vrai en mesures differentielles. Les tests ne visaient pas a prendre en compte ce parametre, donc les resultats ne sont pas remis en cause a mon sens, meme si ta remarque est juste. J’ai vu de grandes differences de freinage selon la forme de la section du mousqueton utilise avec une plaquette ou avec un 1/2 cab… quelquefois les fabricants donnent des indications dans leurs notices, encore faut-il les lire (et les comprendre…).

Gecko a écrit:

Pat a écrit:

Super rapport!

Oui, vraiment intéressant.

La legende du noeud mal fait et mal pre-serre en prend un
sacre
coup…

à quel titre ?

C’est logique, un noeud non préserré va absorber plus d’énergie
qu’un noeud hyper serré par une chute.
Mais attention, un noeud pas préserré du tout a une incidence
certaine sur la sécurité s’il se défait à la longue à force
d’être hoché. Ce n’est pas observable lors de tests de
traction.

REMARQUE / AVERTISSEMENT :

Il est indiqué dans ce rapport d’essai que le demi-noeud de
pêcheur double ne glisse quasiment pas même s’il n’est pas
préserré.
C’est apparemment en contradiction avec mon expérience
personnelle avec une corde cobra 8.6 dry :
Je parvenais à faire glisser le noeud en me suspendant par
à-coups sur la longe
(reproductible par tout un chacun si les traitements sont de
qualité constante).
J’émets 2 hypothèses pour expliquer cet écart d’observation et
je les vérifierai dès que possible.

  1. On peut voir que les tests sont effectués avec un mousqueton
    de progression côté demi-noeud de pêcheur double (côté
    dynamomètre).
    J’ai fait l’essai avec un mousqueton de sécurité à vis à
    section circulaire.
    L’épaisseur du mousqueton de progression est significativement
    plus faible que la plupart des mousquetons de sécurité à vis,
    et sa section non circulaire favorise moins le glissement.
    J’ai pu observer (vous pouvez le faire aussi) que le demi-noeud
    de pêcheur double tend à s’ouvrir s’il est fixé à une amarre de
    forte section par rapport au diamètre de la corde.

  2. Les cordes étaient elles traitées ? Je n’ai pas lu cette
    précision.
    Les cordes traitées sont plus glissantes.

Le glissement que j’ai observé n’était pas rassurant (noeud
préserré à la main), même s’il n’était probablement pas
suffisant pour défaire le noeud sur une chute.
La solution est simple, il suffit de faire un troisième tour
pour obtenir un demi-noeud de pêcheur triple.
Ça stoppe tout glissement sur les cordes traitées de faible
diamètre sans poser de problème d’encombrement du noeud.

Pour la question posée dans ce rapport du nom à donner au
demi-noeud de pêcheur double, la réponse a été apportée ici
même dans c2c :
http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=16&i=22878&t=22741
Noeud de
Scaffold

On fait le nombre de tour que l’on veut. Plus on en fait et
moins le noeud glisse. C’est important avec du fil de pêche
fin.

Posté en tant qu’invité par Gecko:

Pat a écrit:

Ce qui est interessant c’est que les tests ont ete faits dans
des conditions ou la comparaison reste possible.

Tout à fait

Ensuite, la
prudence reste de mise… recommander un tour supplementaire
au noeud de Scaffold, devrait etre justifiee par des tests,

Ce serait intéressant, mais pas rigoureusement nécessaire.
Plus on fait de tour, plus on bloque le glissement et plus on augmente la résistance résiduelle de ce noeud.
C’est facilement vérifiable avec du fil de pêche nylon qui est très glissant et se lamine lui même.
C’est vérifiable aussi avec la cordelette 100% dyneema (âme + gaine). Béal recommande le noeud de pêcheur triple comme noeud de jonction pour cette cordelette.
J’avais lu un rapport fait par des spéléo sur ce sujet, ils n’avaient apparemment pas songé à utiliser ce noeud de pêcheur avec 3 tours. Si ça peut leur donner des idées …

meme si en toute logique on peut supposer que le noeud restera
fiable… mais jusqu’ou peut on se passer de mesures reelles et
faire confiance a nos impressions?
C’est ce qui est montre dans
ces tests… donc le reflexe d’utiliser ce qu’on connait tout
en restant ouvert aux evolutions n’est pas remis en cause et
devrait nous stimuler a savoir remettre en question nos
certitudes…

Oui, je ne remet pas en cause l’intéret de ces tests, bien au contraire.
Mes remarques visent seulement à attirer l’attention des testeurs s’ils nous lisent sur des faits observables, l’influence de paramètres supplémentaires comme la forme et la taille de la section du mousqueton, le traitement dry de la corde combiné avec un diamètre faible (8.1mm ou 8.6mm).
Ce ne sont pas des impressions, c’est sensible, observable, comparable même si je ne peux pas le quantifier en absence d’instruments de mesures.
Je remercie les personnes qui ont pris l’initiative de réaliser ces tests et serai le premier intéressé s’ils venaient à entreprendre d’autres investigations.

J’ai tellement entendu dire qu’un noeud bien fait avec les
brins qui se suivent sans twister etait plus robuste… et
j’y ai cru tant cela m’avait explique avec conviction!

J’ai lu sur un rapport d’essai complet sur des cordes de spéléo (en anglais avec les points de mesures et moyennes) qu’il y avait de très fortes dispersions de résistance résiduelles sur des noeuds de 8 et des noeuds de 9.
Je me trompe peut-être, mais la manière dont est fait le noeud expliquerait bien cette dispersion.
A remarquer que les tests de longes sont effectués avec des cordes dynamiques, et pour ne pas généraliser, je ne conclurais pas que la qualité du noeud n’a pas d’influence sur la résistance résiduelle d’une corde statique (je dis ça pour les spéléos).

Une hypothèse pour réflexion :
Avec une corde dynamique en cas de déséquilibre, la partie la plus sollicité dans le noeud s’étire et glisse dans le noeud, ce qui pourrait contribuer à homogénéiser les contraintes.
Ce n’est pas le cas avec une corde statique.

Le role de la section des mousquetons est vrai en mesures
differentielles. Les tests ne visaient pas a prendre en compte
ce parametre, donc les resultats ne sont pas remis en cause a
mon sens,

On est bien d’accord, et je ne voulais pas donner cette impression.
Je partage seulement cette expérience du demi-noeud de pêcheur double en corde fine traitée, sur mousqueton à grosse section circulaire, glissant sous à-coups.
Comme je n’ai pas trouvé ça très rassurant, j’indique comment y remédier, en faisant 3 tours. Sur une chute, je n’ai pas de crainte, mais en fait, je ne veux pas me demander au bout de combien de suspensions et de glissements successifs, le brin libre du noeud deviendra trop court.

Et merci encore à ceux qui ont réalisé ces essais.

PS : Je mettrai le lien vers le rapport d’essais sur cordes statiques, si je le retrouve et s’il existe toujours sur internet.

Posté en tant qu’invité par Gepi:

Gecko a écrit:

J’ai lu sur un rapport d’essai complet sur des cordes de spéléo
(en anglais avec les points de mesures et moyennes) qu’il y
avait de très fortes dispersions de résistance résiduelles sur
des noeuds de 8 et des noeuds de 9.
Je me trompe peut-être, mais la manière dont est fait le noeud
expliquerait bien cette dispersion.
A remarquer que les tests de longes sont effectués avec des
cordes dynamiques, et pour ne pas généraliser, je ne conclurais
pas que la qualité du noeud n’a pas d’influence sur la
résistance résiduelle d’une corde statique (je dis ça pour les
spéléos).

Surtout que nulle part dans ce rapport on ne parle de l’influence de la qualité du noeud sur la résistance résiduelle.
Il n’y est fait état que de l’influence sur la force de choc.

Posté en tant qu’invité par Gecko:

Gepi a écrit:

Surtout que nulle part dans ce rapport on ne parle de
l’influence de la qualité du noeud sur la résistance
résiduelle.
Il n’y est fait état que de l’influence sur la force de choc.

à la relecture, c’est vrai.

Posté en tant qu’invité par Pat ©®™:

1 - Il y a des noeuds qui a casse ou alors j’ai reve…
2 - Je serai surpris qu’il n’y ait aucun lien entre force de choc et resistance residuelle… cette relation exiatant au niveau de la corde, je ne vois pas comment elle n’existerai pas pour un noeud sur la corde… (je parle en dymamique bien sur…)

Je me trompe ou?

Gecko a écrit:

Gepi a écrit:

Surtout que nulle part dans ce rapport on ne parle de
l’influence de la qualité du noeud sur la résistance
résiduelle.
Il n’y est fait état que de l’influence sur la force de choc.

à la relecture, c’est vrai.

Posté en tant qu’invité par Gecko:

Pat ©®™ a écrit:

1 - Il y a des noeuds qui a casse ou alors j’ai reve…

Oui, mais la force au moment de la rupture n’est pas indiquée.

2 - Je serai surpris qu’il n’y ait aucun lien entre force de
choc et resistance residuelle… cette relation exiatant au
niveau de la corde, je ne vois pas comment elle n’existerai pas
pour un noeud sur la corde… (je parle en dymamique bien
sur…)

La rupture de la corde signifie que la force de choc est supérieure à la résistance du noeud.
Ce qui peut vouloir dire ou bien que le noeud fragilise beaucoup la corde ou bien que le noeud très serré et la corde ont trop perdu leur capacité d’absorption provoquant une force de choc trop élevée, par exemple en éxagérant,1600 daN.
Il n’y a ni indication ni valeur permettant de discriminer parmi les longes qui se sont brisée, lesquelles avaient un noeud mal fait ou non, ni s’il y a des différences de force de rupture selon la qualité des noeuds.
Tout ce qu’on sait, c’est que les noeuds n’ont pas tenu. Ils peuvent aussi bien avoir lâché à 1200 daN ou 1500 daN donc on ne connaît pas dans la rupture, la part de la perte d’élasticité ou de la fragilisassions du noeud. Si j’ai bien lu.
Et comme il est bien précisé dans le rapport, le nombre de répétitions des tests ne permet pas de sortir des résultats statistiquement significatifs. On pourrait avoir une indication s’il était possible d’observer 2 familles de résultats groupés et nettement distincts.

Je me trompe ou?

Tu connais ou tu as lu ce rapport d’essai ? : http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=16&i=32698&t=32698

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Pat ©®™:

Je comprends les choses un peu plus simplement:

  • on connait les caracteristique de la corde utilisee
  • si un noeud sur cette corde cede, c’est que le noeud a fragilise en deca de la caracteristique de la corde, sinon c’est la corde qui aurait lache…
    Je faisait reference au fait que les essais n’ont pas mis en evidence une forte fragilisation causse par un noeud execute de facon non « parfaite »… et que dans une certaine mesure, le noeud mal serre absorbait de l’energie en se serrant, sans pour autant fragiliser le lien. Ce qui ne m’empechera pas de garder l’habitude de nouer et serrer mes noeuds…

J’ai lu le rapport des anglais en diagonale…je me serai attendu a des conclusions plus precises apres 166 pages de remplissage… en plus j’ai pas tout compris …

Posté en tant qu’invité par Gecko:

Pat ©®™ a écrit:

Je comprends les choses un peu plus simplement:

  • on connait les caracteristique de la corde utilisee
  • si un noeud sur cette corde cede, c’est que le noeud a
    fragilise en deca de la caracteristique de la corde, sinon
    c’est la corde qui aurait lache…

C’est toujours (à de rares exceptions) le noeud qui lâche car c’est une zone de discontinuité et de concentration de contrainte.
Ca ne permet pas de savoir si les noeuds mal faits lâchent avant les noeuds bien faits ou pas.

1 exception que je connais et que tu pourras retrouver quelque part dans le rapport d’essai en anglais : Dans le cas du test à la rupture d’un anneau de corde fermé par un noeud de pêcheur double. Lorsque la force de traction devient forte, le noeud se resserre et donc la partie de l’anneau du côté du noeud s’allonge.
Cela provoque un glissement sur les ancrages et induit un déséquilibre des efforts entre les 2 côté de l’anneau soumis à traction.
Ce déséquilibre est équivalent à la force de frottement sur les ancrages (mousqueton).
On a donc une force de traction du côté du noeud environ 1.3 à 1.7 fois plus faible que sur l’autre partie sans noeud.
La résistance résiduelle du noeud de pêcheur double étant très élevée, l’anneau de corde ou cordelette peut rompre du côté opposé au noeud.

Je faisait reference au fait que les essais n’ont pas mis en
evidence une forte fragilisation causse par un noeud execute de
facon non « parfaite »…

C’est où ?
Je n’ai pas trouvé, mais j’ai lu ça : « On peut donc dire que les noeuds jouent aussi bien leur rôle d’amortisseur bien faits que mal faits, c’est à dire avec des brins se
chevauchant. »

J’ai lu le rapport des anglais en diagonale…je me serai
attendu a des conclusions plus precises apres 166 pages de
remplissage… en plus j’ai pas tout compris …

J’ai mis quelques reperes dans l’autre discussion pour savoir où se trouve quoi, dans ce rapport très complet et volumineux.

Posté en tant qu’invité par Pat ©®™:

J’ai completement melange les notions d’amortissement et de resistance… D’ou ma confusion.
Merci

Gecko a écrit:

On peut donc dire que
les noeuds jouent aussi bien leur rôle d’amortisseur bien faits
que mal faits, c’est à dire avec des brins se
chevauchant.