A l p C o n t r o l chaussure innovante en 2 parties

Posté en tant qu’invité par Alain CALMET:

Bonjour à tous !

Je suis à l’origine de plusieurs brevets qui prennent forme sous le nom de AlpControl et qui posent les bases d’une chaussure de ski de randonnée en 2 parties :

  • Une partie basse en cuir, légère et souple au niveau de la cheville, idéale pour monter.
  • Une partie haute qui se fixe uniquement à la descente, pour skier sans aucun compromis.

Depuis les 3 derniers prototypes, j’arrive à obtenir un contrôle des skis absolument comparable à une bonne chaussure de ski alpin, d’ou le nom AlpControl.

Pour l’instant c’est Silvretta qui propose la meilleure fixation pour recevoir des chaussures d’alpinisme, et ça marche très bien comme ça, mais j’ai bon espoir de convaincre les grands du secteur de proposer des chaussures d’alpinismes compatibles y compris LowTec d’ici l’an prochain.

La mise sur le marché est prévue pour l’hiver 2007/2008.

Même si je sais que c’est difficile de se prononcer sans avoir essayé, je suis intéressé par toutes les remarques et avis, positives ou négatives, sur ce que je crois sincèrement être une petite révolution dans le domaine du ski de randonnée.

Les prototypes pourront être essayés au Puy-St-Vincent du 23 au 30/12/2006.

N’hésitez pas visiter mon site et à transmettre le lien à vos amis montagnards.

http://www.alpcontrol.com

Amicalement.

Posté en tant qu’invité par Nicolas:

Intéressant! Comme quoi dans ce secteur les gros acteurs sont vraiment à la traîne, voire en train de roupiller au fond du canapé…

Après, l’idée d’utiliser ses pompes de marche à la montée surprend vraiment!

La question de base pour que ça marche : mais pourquoi utiliser des fixations lourdes???
Il me semble qu’il n’y aurait guère de gain de poids au final sachant le petit kg de surpoids de ces fixations… (surtout qu’avec des pompes de marche, la guêtre devient obligatoire!).
Compte tenu de l’orientation plutôt montée de la chose, il me semble que pour l’instant le système LowTec est incontournable malgré ses (rares ;o) défauts.

Après y’a des petits machins qui se discutent, comme l’accroche de la cordelette de retenue sur le ski qui 1 oblige à modifier ses skis et surtout 2 fait office de lanière non débrayable (dangereux en cas d’avalanche), l’idée de s’attacher à l’avant de la chaussure (proto 10) me séduit plus.

Enfin, il y a déjà clairement une niche d’ores et déjà dispo : les alpinistes qui font une approche/descente à skis et qui doivent grimper en grosses (ou pompes de cascade).

Et il y a de l’idée sans doute plus directement applicable aux pompes de ski, notamment pour assurer l’appui arrière avec une cordelette.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Bubu:

Nicolas a écrit:

La question de base pour que ça marche : mais pourquoi
utiliser des fixations lourdes???

Parce qu’il n’existe pas encore des trezeta cuir à insert LT.
Mais bon, on peut utiliser des chaussures de rando de compet à insert en virant tout ce qui sert à la descente (on revient à un poids similaire).
Ou alors utliser la fixation « évolution » de nic impex, qui a les même avantages que l’easy go pour les pompes d’alpi, plus la possibilité d’utiliser des pompes sans débord avant (via une butée en forme de panier), mais je ne sais pas si cette butée est déjà en vente.

Posté en tant qu’invité par Nicolas:

Bubu a écrit:

Nicolas a écrit:
Parce qu’il n’existe pas encore des trezeta cuir à insert LT.

Oui, oui, je suis blonde mais j’ai bien compris… Ce que je me dis c’est que du coup on y gagne pas mal moins voire peut-être pas tant.

Mais bon, on peut utiliser des chaussures de rando de compet à
insert en virant tout ce qui sert à la descente (on revient à
un poids similaire).

Ca me semble une piste plutôt plus prometteuse : utiliser cette technologie pour remplacer le collier, la boucle haute et le blocage par une super-languette et des sangles.

Du coup, AlpControl pourrait vendre des kits adaptables aux chaussures existantes!

Posté en tant qu’invité par tetof:

Bingo, je remplace ma languette extra-souple de ma Garmond par une vrai languette.

Par ailleurs, la piste de l’alpiniste hivernal est interessante. Je n’utiliserais pas le système car je prefere me gauffrer que de prendre 300g de plus. Mais, je suis à fond derrière Alain s’il arrive à convaincre nos fabriquants de faire des grosses avec insert.
Mais SVP, des vrais pompes d’alpi Hivernales : Crispis 6000 ou coques mais pas des Nepal Top Extrem, Cumbre et autres simili thermiques permettant essentiellement de se geler 1 orteil.

Des grosses avec insert, des pompes de pistes avec inserts :slight_smile: Le brevet Low Tech serait tombé. C’est quand qu’un artisan se lance dans l’implantation à façon d’insert.

Posté en tant qu’invité par Nico:

Bravo pour la remise en cause !!

2 points me chiffonnent :

  • On perd la rigidité latérale de la chaussure classique, qu’en est-il de la prise de carre sur neige dure ?
  • Je trouve le prix très important pour séduire de nombreux randonneurs.

Encore faudra-t’il pouvoir mettre des inserts low tech sur mes grosses pour me séduire (comme beaucoup je ne reviendrais pour rien au monde à des fixations « classiques »).

Posté en tant qu’invité par BC:

Je rejoins Nico sur la rigidite laterale en neige dure et sur le prix.
Si le premier point me semble tres facilement ameliorable par une ridification laterale des chaussures par une lame dans la semelle, le prix me semble redibitoire. En effet ce prix est en gros celui du march’e: 330 euros, et se resume prix de la chaussure (230-260 euros) + prix du systeme de coque, ficelle, boucles et lanieres (70-100 euros), il y acumul de 2 benefices, l’un pour le fabriquant de chaussure, l’autre pour le fabriquant du systeme lui meme. Commercialement pour que cela marche il faudrait etre davantage agressif sur le prix.
pour moi 300 euros me semble etre le max acceptable.

Posté en tant qu’invité par ludo74:

C’est vrai que l’idée est bonne,il ya un point qui me chifogne quand même.Au niveau des doigts de pieds tu dois avoir une sacré pression lorsque tu es en flexion,il n’y a pas un effet bras de levier?Cela doit necessiter une tres forte rigidité de l’extremité de la chausssure!
on parle de flex pour representer une rigidité de coque en flexion,je ne suis pas un specialiste dans ce domaine mais je crois que les chaussures de compette en alpin on un flex au dessus de 120 (unité?)Ma matrix je l’estimerais a 60 /80.A combien estimes tu ce systeme?
Enfin,au niveau sécurité j’imagine qu’il existe des FAMEUSES NORMES européennes a respecter,les a tu obtenues ?
En tout cas merçi de faire avancer le chmilblic!

Posté en tant qu’invité par Pierric:

ludo74 a écrit:

Enfin,au niveau sécurité j’imagine qu’il existe des FAMEUSES
NORMES européennes a respecter,les a tu obtenues ?

Et alors ? Comme 80% des normes (voir plus) ces normes ne sont pas obligatoires… Elles sont un standard poru adier le client à choisir et garantir des minimums de compatiblité, interopérabilité, sécurité, efficacité… Après si toi en tant que client tu es prêt à jouer le jeu en acceptant en produit hors-norme personne ne peut te l’interdire !!!
Enfin, continuons à penser norme, réglementation,… et on arrivera bien à tuer toute innovation !!! Ben oui, les normes sont bien souvent le fait des lobbbys industriels qui ont pour simple objectif de garantir leur intérêt en mettant un max de leur technique breveté dans les normes d’où vérrouillage des technos, imposition de leurs utilisations et donc kidnappage du marché !!!

Pour en revenir au sujet, le concept est super interressant… mais 2 points négatifs déjà évoqué :

Compatibilité Low-Tech (c’est pas une question de normes… mais de pénétration du marché !).
Sécurité de la laniére par rapport aux avalanches… Perso, j’ai testé avec des laniéres en cordelettes de 3mm ça péte avant de massacrer le genou et/ou de se retrouver au fond mais est-ce suffisant pour la rigidité ? Pourquoi avoir transférer l’attache de la laniére de l’avant de la chaussure sur le ski ?

Posté en tant qu’invité par Nicolas:

ludo74 a écrit:

Enfin,au niveau sécurité j’imagine qu’il existe des FAMEUSES
NORMES européennes a respecter,les a tu obtenues ?

Ben là c’est une chaussure et pas une fixation, là-dessus il n’est pas questions de sécurité, dans les normes!
C’est vrai par contre que une fois que cette « chaussure » est reliée au ski par la cordelette, ça devient un peu plus flou…

Sur le fond, comme l’a dit Pierric, on s’en tape le coquillard des normes (de la cordelette qui reste attachée au ski en cas d’avalanche, un peu moins).

Posté en tant qu’invité par Alain CALMET:

Je suis content de voir que AlpControl ne laisse pas indifférent.

J’ai laissé parler un moment avant d’intervenir, car ça m’intéresse d’avoir les premières impressions sans trop orienter le débat.

Pour la montée chacun peut essayer demain sans attendre AlpControl. Je suis très étonné que tout le monde ne parle que du poids, alors que le gain le plus important est DE TRES LOIN la souplesse des chevilles pour des raisons de bio-mécanique :

  • la puissance du muscles des cuisses se transmet à l’articulation des genoux.
  • la puissance du muscles des mollets se transmet à l’articulation des chevilles.
  • deux muscles c’est mieux qu’un, tout simplement, et le muscle des mollets ne sert à rien cheville bloquée, alors qu’il d’une efficacité redoutable pour la marche.

Pour la descente, je suis très confiant : Les essais mettront tout le monde d’accord.

J’ai noté quand même quelques questions :

Sur la rigidité latérale, merci tetof de m’avoir fait découvrir dans un autre fil, l’excellent article de Volodia Shahshahani qui a eu l’amabilité de publier ma réponse.
http://www.volopress.net/volo/spip.php?article255

Sur l’écrasement des doigts de pied, aucun problème même avec les trezetta en cuir.

Sur les normes :

  • Il y a la ISO 9523:1990 Chaussures de ski de randonnée pour adultes – Zones de jonction avec les fixations de skis .
    Une chaussure d’alpinisme étant faite pour donner des grands coups de crampon dans des cascades de glace, la solidité ne posera pas de problème. Qui peut le plus peut le moins. Ensuite ce sera à chacun de vérifier qu’il y a un bon déclenchement latéral et frontal avec sa fixation.

  • Il y a la ISO 8061:2004 Fixations de skis alpins – Sélection des valeurs du couple de déclenchement.
    AlpControl est calculé pour casser au réglage 15 soit un coefficient de sécurité x 1.5 par rapport à la dureté 10 maxi des fixations, et x 2.1 par rapport au réglage 7 par exemple. Ensuite un matériaux composite, ça se délamine, mais ça ne casse pas d’un seul coup.

  • Enfin il y a la ISO 8364:1999 Skis et fixations des skis alpins – Zone de montage de la fixation – Exigences de tenue et méthodes d’essai.
    Mon point d’attache étant en dehors de la zone « officielle » de montage, la prudence la plus élémentaire me pousse à conseiller de coller le poind d’attache sur le ski en plus des vis, pour renforcer le ski au lieu de l’affaiblir. Tout du moins sur les skis très légers. Même s’il y a très peu d’efforts sur ce point d’attache.

  • Il reste donc le prix.
    Je ne peux pas faire mieux vu la pénurie (et le prix) du carbone réquisitionné par l’aéronautique, et vu l’amortissement des moules sur une petite série, et encore heureux que je vends en direct par internet, sinon avec les intermédiaires le produit sortait > à 500 € !
    Il faut savoir qu’il y a 2x200 g de tissu de carbone par paire AlpControl, alors que la plupart des produits estampillés carbone ont en général quelques grammes de carbone de mauvaise qualité juste pour décorer.

Mois je trouve que 297 € pour avoir le top à la montée et le top à la descente, sans ampoules, c’est donné… mais forcement je ne suis pas objectif :slight_smile:

Continuez à faire vos remarques SVP, bonnes ou mauvaises, tout m’intéresse.

Posté en tant qu’invité par Etienne:

Nicolas a écrit:

Sur le fond, comme l’a dit Pierric, on s’en tape le coquillard
des normes (de la cordelette qui reste attachée au ski en cas
d’avalanche, un peu moins).

En cas d’accident tu iras dire à ton assurance que tu t’en tappes des normes de sécurité de tes fix. Je suis loin d’être expert en ce domaine, mais ça ne m’étonnerais pas que ça puisse poser problème.

Posté en tant qu’invité par ludo74:

Tu es un peu naïf Pierric!Tu imagines qu’un mec peux commercialiser du matos de montagnes sans ce soucier des normes en vigueures…

Posté en tant qu’invité par yvon:

ludo74 a écrit:

Tu es un peu naïf Pierric!Tu imagines qu’un mec peux
commercialiser du matos de montagnes sans ce soucier des normes
en vigueures…

Oui !!! C’est possible de commercialiser du matos qui ne répond pas aux normes…

Posté en tant qu’invité par ludo74:

OUI!merçi…moi aussi je suis blonde!Ce que je veux dire ,c’est que le mec qui commercialise un produit sans precautions,sans avocat,sans une batterie de tests ,je lui souhaite un bel avenir a la premiere plainte du blaireaux qui se cassera ces 2 tibias.
A votre avis pourquoi nos amis Salomon,quecha ont arreté la commercialisation des snow blade…

Posté en tant qu’invité par âlex:

Je trouve le concept très intéressant !

Quand j’ai montré la photo du proto 12 à un pote qui fait aussi de la rando, sa première reflexion a effectivement été de s’exclamer que c’était génial pour le confort de la marche et pour la souplesse de la cheville etc.

C’est vrai que pour les adeptes de Dynafit, ca serait cool que ca marche aussi avec cette fix (le gain de poinds serait top !) mais les chaussures d’alpi avec insert LT, c’est pas demain la veille je pense.

Est-ce que ca n’a pas tendance à arracher les semelles des chaussures ?

Je comprends bien l’intéret de la « ficelle » devant pour la rigidité vers l’arrière mais :

  • effectivement ca fait une attache sur le ski pas top question avalanche ou retour dans la figure en cas de chute (cf. eternel débat sur les lanières)
  • ca fait un peu bricolage et donc ce serait plutot un contre-argument de vente surtout si le prix est assez significatif (en tant qu’acheteur on aime bien que les produits semblent « high tech » :wink: ).

Sinon cette idée d’utiliser des chaussures d’alpi pour faire du ski, ca me fait penser aux questions qu’on voit parfois sur les forums de skirando de la part de surfeurs qui voudraient utiliser leurs chaussures d’alpi pour surfer.
En effet les boots « souples » de snowboard, c’est confortable mais c’est pas idéal pour y mettre des crampons et quand la neige est un peu dure, c’est vite chaud de marcher sans crampons dans une pente un peu raide.
Bref serait-il possible d’adapter le système pour surfer avec des chaussures d’alpi tout en gardant une bonne précision ? Mises à part les fixes step-in, il y a les fixes à :

  • plaques : etrier et talonnière => comme des crampons
  • coques (pour les bottes souples) => dans ce cas c’est encore mieux car il y a un spoiler sur l’arrière de la chaussure qui permet d’avoir une bonne rigidité vers l’arrière => on a donc juste besoin de la languette ?

Posté en tant qu’invité par Pierric:

ludo74 a écrit:

OUI!merçi…moi aussi je suis blonde!Ce que je veux dire ,c’est
que le mec qui commercialise un produit sans precautions,sans
avocat,sans une batterie de tests ,je lui souhaite un bel
avenir a la premiere plainte du blaireaux qui se cassera ces 2
tibias.

A propos la Dynafit répond-elle à toutes les normes sur les fixations ???

A votre avis pourquoi nos amis Salomon,quecha ont arreté la
commercialisation des snow blade…

Hum… C’est bien ce que j’ai écris ! Vive les normes qui tuent l’innovation… J’vais finir par croire que si les normes avait été écrites en 1100 on aurait toujours pas inventer le moteur à explosion… Remarque l’environnement sans porterait que mieux…

En tout cas, si tu es capable de me sortir un texte qui démontre que les normes sont obligatoires alors je veux bien payer une bière… Tout ce que tu dis, c’est que les avocats, les consommateurs imposent les normes pas la loi !!! Donc il suffit de bien mettre en évidence que le produit ne réponds pas à tel ou tel norme, que le fabricant décline toute responsabilité et après c’est à l’acheteur de choisir !!! Biensûr tu limites ta pénétration du marché… mais c’est un choix tout comme celui du consommateur en face…

Pour la naÏveté désolé mais tu repassera, j’ai une p’tite expérience sur le sujet et sur l’envers du décor…

Posté en tant qu’invité par manux:

Je suis étonné que l’on parle d’innovation pour ce qui concerne le principe de la chaussure en deux parties sachant que dans les années 70 (oui, je sais, ça date mais ça peut aussi faire référence!), un tel concept existait déjà.
Je me souviens de certains randonneurs équipés de Valdor ( le top de l’époque!) voire de simples Superguide rajoutant pour la descente une coque plastique fixée à la chaussure et englobant la cheville et la partie inférieur du tibia. Je n’ai jamais testé ce système puisque je randonnais alors équipé de splendides chaussures (Style JO de 68!) en cuir noir avec cinq crochets…
Bon, c’était avant, lorsque le style était à la flexion-extension et qu’on pouvait encore se casser les chevilles et non les tibias ou les genoux…
J’aimerais que les randonneurs possédant une certaine longévité dans la pratique exposent leurs souvenirs sur ce sujet…
Bon, c’est pas grave!

Posté en tant qu’invité par tetof:

Pour manux :
L’innovation est dans le Carbonne et la cordelette.
Je n’ai pas testé mais il est probable que la rigidité est autrement meilleure qu’avec le matos des années 70.

Question poids, il faudrait peut prendre de la sangle et de la cordelette dynnema.
La sangle dyneema en 6mm est aussi résistante que de la sangle standard de 15mm.

Posté en tant qu’invité par Alain CALMET:

En réponse à Manux, c’est vrai que je ne suis pas le premier à chercher à améliorer la liaison jambes/skis, ceci dit par rapport aux brevets par exemple de Adolphe SCHIESS (Suisse, 1936), Dieter REUSING (Allemagne, 1971) et de Lionel J. BURT (USA, Californie, 1982), de très nombreuses caractéristiques de AlpControl (et de 2 variantes) ont été validées comme innovantes.

Mon but n’est pas d’opposer les générations, mais au contraire de faire le lien en gardant ce que chacune a apporté de bien à notre sport favori.

Par exemple il n’est plus question de descendre sans un solide appui frontal, je crois que personne de reviendra là dessus.

Par contre les anciens peuvent à juste titre regretter d’avoir perdu la souplesse de la cheville à la montée.

Ils savent aussi ce qu’une chaussure en cuir « faite à son pied » peut apporter en terme de confort (transpiration, ampoules…).