Posté en tant qu’invité par strider:
les skieurs hors-pistes sont connus pour ceux qui prennent le plus de risque…le risque se trouve svt à la transition entre la sécurité relative des remontées et l’exposition forte des couloirs qu’ils empreintent…
parmis les skieurs hors-pistes il y en a qui cherchent souvent la sensation forte et skient vite sur des zones pas faciles et exposées, mais presque comme s’ils étaient sur des pistes.
heureusement il reste bcp de hors-pistes peu dangereux, mais il suffit de mauvaises conditions…le problème c’est que ces skieurs hors pistes-là n’ont pas toujours le sens des conditions : ils empreintent les remontées tout d’abord et s’aperçoivent ensuite vraiment des conditions que lorsqu’ils sont exposés dans le couloir ou la pente!!!
le skirandonneur lui en partant avec ses peaux s’aperçoit plus facilement des conditions et est obligé de faire avec, il peut donc renoncer plus aisément lorsqu’il voit que c’est dangereux…de plus il n’a pas le même rythme que le skieur hors piste, en général il va assez lentement dans l’approche, bien plus de temps pour considérer, et prend moins de risque n’ ayant pas la transition dangereuse entre un domaine sécurisé et des couloirs expos. Il evite en général ce qui est expos grace aux peaux et ses fixs. Ce qui n’empeche qu’il y ait des skirandonneurs imprudents et qui plus est s’exposent longtemps.
quand au skieur de piste il n’ y a pas de risque d’avalanche a priori mais il retrouve des risques sembables à ceux de la route, amoindris mais réels : collision, bousculade quand certains gars en maitrise pas leur vitesse etc…
bref la nature du risque change mais pour les 3 pratiques du ski connu, il n’y a pas de risque 0. Simplement le risque se décline suivant la pratique.