Posté en tant qu’invité par Jean moeurs:
les skieurs hors-pistes sont connus pour ceux qui prennent le
plus de risque…le risque se trouve à la transition entre la
sécurité relative des remontées et l’exposition forte des
couloirs qu’ils empreintent…
les skieurs hors-pistes cherchent la sensation forte et skient
vite sur des zones pas faciles et exposées, mais presque comme
s’ils étaient sur des pistes.
heureusement il reste bcp de hors-pistes peu dangereux, mais
il suffit de mauvaises conditions…le problème c’est que les
skieurs hors pistes n’ont pas toujours le sens des conditions
: ils empreintent les remontées tout d’abord et s’aperçoivent
ensuite vraiment des conditions que lorsqu’ils sont exposés
dans le couloir ou la pente!!!le skirandonneur lui en partant avec ses peaux s’aperçoit plus facilement
des conditions et est obligé de faire avec, il peut
donc renoncer aisément lorsqu’il voit que c’est dangereux…de
plus il n’a pas le même rythme que le skieur hors piste, en
général il va assez lentement dans l’approche, bien plus de
temps pour considérer, et prend moins de risque n’ ayant pas
la transition dangereuse entre un domaine sécurisé et des
couloirs expos. Il evite en général ce qui est expos grace aux
peaux et ses fixs. Ce qui n’empeche qu’il y ait des skirandonneurs
imprudent et qui plus est s’exposent longtemps.
Tout à fait d’accord, sans les stations il y aurait beaucoup beaucoup moins de morts par avalanche. Les stations détruisent la montagne, font passer la montagne pour ce qu’elle n’est pas du tout, engendrent les morts par avalanche, écrasent l’espace de liberté des purs. L’hypochrisie atteint son paroxysme que s’en est à vomir…la seule consolation c’est que les morts ne payeront plus pour étendre ce cancer …