Posté en tant qu’invité par Cl@ude:
strider a écrit:
disons que dans la liste des bienveillances, il y a, je le
répètes, l’orage, la pluie, la grêle, tempête de neige,
hum…hum le disque est rayé.
D’après ce que j’ai entrevu dans le topo-guide, tu aurais aussi pu cité le « fait trop chaud, regel pourri ».
Pour ton but d’aujourd’hui, ne n’inquiète pas : c’est moi le responsable. Je peux tout expliquer, mais pas tout de suite ; j’ai une autre sortie à rentrer d’abord.
Posté en tant qu’invité par strider:
Phil a écrit:
Il faut bien reconnaître que le but pour cause de météo manque
singulièrement de classe. (Soit dit sans vouloir te vexer,
Strider: j’en ai moi aussi plus que ma part).
ben oui c’est pour ça que je suis pas content!
Combien plus esthétique est le beau but infâme, pris grâce à
une incroyable aptitude au merdouillage, sans aucune aide
extérieure!!
à voir, à voir…je suis curieux d’entendre la suite
Citons pour mémoire quelques classiques, que les maîtres du but
aiment à répéter et qui sonnent comme un écho, de génération en
génération et de post en post :
- L’oubli des « grosses », dont on ne s’aperçoit qu’arrivé au
parking après 3 heures de route.
j’en connais un qui se sentirait visé…coup de chance il ne va pas sur cédecé! en tout cas il nous a fait un coup mémorable la dernière fois.
- L’oubli des peaux qui contraint le randonneur tenace à monter
au couteau.
mais non c’est pour le sport!
- La colique désastreuse (et inavouable au retour)
perso j’ai plus facilement l’inverse mais bon le carbo levure est toujours dans le sac s’il y a des diots-pollenta fris aux oignons au repas du soir.
- Le vol du matos au refuge
c’est vrai, ça? Cela ne peut être qu’Albert 1er!
- La confusion du Nord avec le Sud, de l’Est avec l’Ouest, du
diedre avec le pilier, etc, etc…
j’fais de la géo alors les coordonnées c’est un honneur donc ça ne rigole pas.
Dièdre et pilier, de temps avec la lumière du soir et les lunettes protection 4, il y a confusion des sens!
- L’azimut sanglier foireux, qui peut apparaître comme un
corollaire du précédent
hein?
Quelques ajouts personnels :
- La confusion du refuge du Sélé avec celui du Pelvoux (but
rattrapé au prix d’un déniv’ assez conséquent)
impressionnant, surtout la caisse pour enchaîner les deux!
- Le mépris pur et simple du topo, allié à une propension
marquée au bourrinage, conduisant à monter aux sources de l’Arc
au lieu du refuge du Carro (collectif)
là vous avez fait fort, c’est là où le collectif fait toujours plus de connerie que l’individuel, pas vrai? Enfin ça dépend pour quoi… mais finalement vous avez vraiment bien fait, les sources de l’arc c’est sauvage et très beau.
Posté en tant qu’invité par strider:
Ma-non a écrit:
1/- plus on va en montagne et
2/- plus on va faire des trucs « durs » (à son niveau bien sur)
et donc:
plus on a de chances de prendre des buts.
bien vu …d’ailleurs c’est justement l’année où je pars vivre en Savoie, curieux, non?
De plus, et pour ma part, plus je pratique et plus je me fixe
des objectifs précis (alors qu’avant je me contentais d’aller
là où étaient les meilleurs conditions et donc les meilleurs
chances de réussir), maintenant je vise des courses précises et
j’y vais dès que les conditions le permettent, ce qui ne
correspond pas souvent aux conditions optimums (ni pour moi, ni
pour la course) et donc ça augmente aussi les chances de buts.
l’exigeance se paie parfois au prix de la déception.
Bref, j’apprends à accepter de faire demi tour et surtout à
bien le vivre, même si desfois ça fou bien les b… Puis
surtout apres faire l’analyse du pourquoi est interessant (même
si ça fou encore plus les b… d’y repenser, surtout lorsque
finalement on était à 2 doigts de sortir).
Finalement la montagne reste la plus puissante, c’est elle la
reine et nous n’avons qu’a nous soumettre. Ben ça me rassure
quand je vois ce que font les hommes de ce qu’ils « controlent ».
Là nous avons qu’a nous incliner.Tant mieux
je m’incline, je m’incline, ce matin, la Dibo a gagné…
Posté en tant qu’invité par strider:
Cl@ude a écrit:
strider a écrit:
disons que dans la liste des bienveillances, il y a, je le
répètes, l’orage, la pluie, la grêle, tempête de neige,
hum…hum le disque est rayé.D’après ce que j’ai entrevu dans le topo-guide, tu aurais aussi
pu cité le « fait trop chaud, regel pourri ».
oui au dome de la Sache, c’est exact.
Pour ton but d’aujourd’hui, ne n’inquiète pas : c’est moi le
responsable. Je peux tout expliquer, mais pas tout de suite ;
j’ai une autre sortie à rentrer d’abord.
tiens, tiens! je tiens une piste! attendons de voir un peu… :o)
Posté en tant qu’invité par Phil:
Partir au bout du monde. S’acclimater à l’altitude. Y réussir, ô divine surprise, mieux que les bourrins avec qui l’on est parti. Au bout de 15 jours, attaquer l’objectif fixé depuis la France, et depuis un an: la Parrinacotta, 6300m. Etre en pleine forme. Les autres non. S’arrêter à 6150m.
Posté en tant qu’invité par Hugues:
T’es entier et sans bobo ? C’est le principal
Moi fin juillet, j’étais parti pour faire la Gervasutti-(Devies) à l’ailefroide occidentale.
Objectif ambitieux mais que je sentais bien, problème: je me rends compte en montant au refuge temple-écrins (depuis le pré de mme Carle, c’est à dire via le col de la temple) que mon compagnon de cordée n’était pas du tout en forme, il n’avancait pas, quasiment scotché sur le glacier noir. Arrivés au col de la temple, après une grosse colère de ma part (cette voie était l’OBJECTIF de la semaine et même de l’été), on décide de renoncer, il ne nous semblait pas prudent de se lancer dans ce truc sans être physiquement au top.
Le lendemain, jour où l’on devait faire ce truc, météo impeccable, grr…
Deux jours après, pour sauver la semaine, on fait une voie aux contreforts des bancs (le tango interminable…, cf cambon). Bilan: rapidemant nuageux puis pluvieux (on termine quand cette voie pas vraiment fabuleuse), descente de merde en rappel sous la pluie et gros bobo à la main causé par une pierre vicieuse, alors que ça ne faisait que 15jours que j’avais été déplâtré de cette même main suite à une fracture du scaphoïde (osselet du poignet)…
Moi aussi, je me sens un peu maudit.
Posté en tant qu’invité par Dani:
MERDE !! ça ne se fait pas !!!
Me raconter mon propre couchemare !!!
Exactement la MEME histoire, mais au Lenin (7150).
Demi-tour a 6900 apres d’avoir continuer tout seul depuis 6400.
La trouille en voir que les seuls qui etaient davant moi faissaient demi-tour aussi.
N’y restait personne sur la montagne…
…eh bon… je ne suis pas un heros… encore. 
Posté en tant qu’invité par marmotte:
100 % d’accord avec Ma-non!
cet été est aussi un été à buts, c’est terrible, c’est quasiment un week-end sur deux, dont un but sur deux à cause de la météo.
notre niveau s’améloriant, on doit aussi viser des courses un peu plus dures où dès qu’on a des doutes, on renonce (alors que dans des courses faciles, on a bcp moins de doutes).
on a aussi trouvé d’autres raisons aux buts :
en tous cas, ça console de voir qu’on n’est pas les seuls à prendre autant de buts cette année… bon courage à tous et toutes!
marmotte.
Posté en tant qu’invité par strider:
marmotte a écrit:
en tous cas, ça console de voir qu’on n’est pas les seuls à
prendre autant de buts cette année…
et moi donc!
vous avez vous ce qu’ils prévoient pour ce WE? Nom d’un chien, c’est pas terrible!
Cela dit on a souvent des beaux jours en début d’automne…
Posté en tant qu’invité par marmotte:
j’oubliais aussi les buts qu’on prend après la redescente sous la pluie, quand on va se consoler au resto du village ou pire, à la fromagerie : n’allez surtout pas à la fromagerie dans la rue principale de Bessans (celle où quand on rentre par 3 marches, le comptoir et les fromages sont à droite, et qui vend aussi des terrines au génépy ou aux myrtilles) :
ils nous ont vendu un bleu dont on n’avait pas vu l’envers, plein de champignons et infect (pas de gout sur la partie exposée au client, et la partie cachée pleine de champignons et de poussières, à dénoncer aux services vétérinaires!). les deux autres fromages qu’on leur a acheté avaient moins de goût qu’un babybel, et en plus, la vendeuse vous griffe avec ses ongles quand vous lui tendez le billet. et quand elle a abimé un reblochon avec ses ongles, elle le remet en vente en le retournant!
on n’avait pas pu goûter le fromage, mauvais signe…
Par contre, une fromagerie excellente pour se remonter le moral après un but, c’est entre St Julien en Vercors et le Briac, sur la petite route, dans un virage il y a un panneau en bois « Bleu du Vercors »… un seul regret : on n’a pas pris assez de fromage, en 3 jours on l’a fini…
marmotte.
Posté en tant qu’invité par Brigitte:
Personnellement je bute assez peu, par pure couardise : je change secrètement de projet au dernier moment pour un plus facile; résultat, pas de but, mais rien de grandiose non plus … c’est ainsi !!!
Par contre, quand but il doit y avoir, inutile d’insister. J’ai ainsi quelques souvenirs de buts totalement incoercibles :
du style, 1 er jour, entorse à la montée en refuge, je continue malgré tout, 2 eme jour : fourvoyage total, on ne trouve pas la voie, 3 eme jour on décide d’aller grimper en falaise : falaise interdite par arrêté municipal. le tout, avec un soleil radieux comme on n’en fait plus.
La crevaison sur la route semble être également un élément de mauvaise augure.
Posté en tant qu’invité par strider:
Brigitte a écrit:
3 eme jour on décide d’aller grimper en falaise : falaise
interdite par arrêté municipal. le tout, avec un soleil radieux
comme on n’en fait plus.
La crevaison sur la route semble être également un élément de
mauvaise augure.
moi la dernière c’était une belle vipère qui gardait le pied de voie…c’est de mauvaise augure, ça…j’ai failli mettre le pied sur ses écailles visqueux mais visiblement elle faisait une grosse sieste…il y a pas que les touristes qui bullent au pied des voies pour admirer les grimpeurs…n’empêche ça te colle la chair de poule et j’ai même pas réussi à grimper sur une autre voie dont l’accès n’était pas défendu une visqueuse rampante : j’aime pas çi, j’aime pas ça, les prises sont patinées, tralala et de toute façon la pluie arrive, gniagniagnia…et puis d’ailleurs elle est arrivée, la pluie, avec Hervé (qui apporte toujours la pluie avec lui, pire que moi) qui se lance sur la voie (surlaquelle j’ai mis un maillon rapide, au plaisir des gens qui passeront le recolter après) et qui m’envoie sans le faire exprès un énorme rocher, tout en chutant : je le retient ferme mais le rocher se brise en deux dans sa chute et un bout par vers moi et là pour une fois, chance miraculeuse, je l’évites de justesse, le tibia a failli y passer…subsiste une belle éraflure qui ne vaut pas un piqure de vipère, je vous le concèdes…comme dit Hugues je suis entier c’est ça qui compte…donc ça c’était un petit but en falaise mais comme c’est pas en montagne, je ne l’ai pas rentré dans les 8, tout de même!
Par contre en juillet en escalade à Aussois et alentour, j’ai toujours un temps parfait au moment propice…pas de but à l’horizon pour l’escalade ce moi-là, très bon cru!
Posté en tant qu’invité par Bubu:
vous avez vu ce qu’ils prévoient pour ce WE? Nom d’un chien, c’est pas terrible!
T t t t t t, mauvaise langue !
Déjà, ça arrose tes haricots et/ou tes framboises.
Ensuite, les fongeosublégistes seront contents
Enfin, tu n’as qu’une vision à court terme… Encore 2 semaines comme ça et c’est reparti !!!
Posté en tant qu’invité par Guillaume:
Bon , pour ma part , je prends des buts hétéréditaires !!!
Mon grand-père, s’est fourvoyé 2 ou 3 fois dans la voie normale de l’aiguille du Moine. Une fois il y avait emmené ma mère.
Je tente le sommet avec mon frère - nous nous sommes perdus dans la face, tpo à la main.
Je refais le sommet, avec Isabelle, qui l’a déjà fait et m’assure que l’itinéraire est aisé à trouver … rebut, au même endroit, devant un gendarme. Le seul truc qui m’ai fait plaisir, c’est que mon grand-père a une plaque photo avec la même vue. Photo prise au même endroit !!!
Je n’irais plus au Moine, où alors par l’arête Sud, il parrait que la face Sud, à la descente , c’est plus évident. De toute façon, elle n’a aucun intérête à la montée…
Voilà comment prendre des buts héréditaires
Guillaume
Posté en tant qu’invité par strider:
Bubu a écrit:
Enfin, tu n’as qu’une vision à court terme… Encore 2 semaines
comme ça et c’est reparti !!!
ben oui à court terme mais que veux-tu? J’ai une course prévue ce ouiquende au massif du Mont Blanc…je ne compte pas partir pour un 9ème but et toujours à cause de la météo!
bon mais je vais vérifier, on ne sait jamais, et ce matin c’est mieux que prévu.
Posté en tant qu’invité par casscroot:
Bon, les gars du groupe espoir hautes performance FFB (fédération francaise des butteurs) , c’est bien beau de papoter mais y’a une nouvelle édition du grand concours de but qui attend!
Alors allez me remplir cette page avec vos exploits, et que ça saute! 
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par strider:
Le temps que je m’en aperçoive et que lui il se bidonne:
http://alpinisme.camptocamp.com/sortie5815.html
sacré Claude!
voilà ses commentaires :
.
Pour le lendemain, nous avions prévu d’enchainer la Madier Est avec la Madier Ouest (càd les beaux dièdres tentants que l’on voit de la normale). Or, cette danse avait déjà corrompu mon taux de but, toujours stabilisé sur 50% tout rond depuis le début de la saison. Deux réussites supplémentaires l’auraient déstabilisé de trop. Il fallait tenter quel que chose. J’ai donc attendu que tout le monde s’endorme au refuge, puis je suis discrétement sorti sur la plateforme d’atterrissage de l’hélico où j’ai effectué une savante danse de la pluie (le secret de la réussite est dans l’emplacement exact : pour avoir de la pluie il faut énerver Dame Nature et pour ça on n’a pas trouvé mieux que les hélicos, n’est ce pas ? ). Le succés a été total : il a commencé à pleuvoir avant même que les grimpeurs ne se reveillent. Le but météo semblait alors inévitable et mon taux but est rapidement revenu à ses 50% d’origine. Malheureusement je ne me doutais pas qu’un autre C2Campiste était aussi dans le secteur, toutes mes sincères excuses.
l’autre C2Campiste comme tu dis dormais à côté, il devait grimper la Dibo avec Xav’ le lendemain, ils étaient optimiste et résoluent de défier dans la mesure du possible, l’impressionnante et majestueuse voie « visite obligatoire » :
C’était un soir limpide et comme il ne faisait point froid et que son sac de couchage tenait jusqu’à -15°, Strider s’est dit « pourquoi ne pas dormir à la belle étoile sur le gazon douillet ? » Quelle intelligente suggestion!..Xav’ lui prend sa tente comme il le fait d’habitude.
Strider, confortablement installé, essaie de dormir mais il est embêté par la lumière…de la Lune.
Bon, mais ça finit par s’endormir alors que les rumeurs du refuge se font entendre, de vagues inspirations gutturales provenant des dortoirs et dont l’origine précise reste mystérieuse.
Strider rêve…de granit probablement, mais il n’en souvient guère, le sommeil semble un peu léger.
Pendant ce temps, un certain C2Campiste en mal de buts danse mystérieusement quelques mètres plus loin sur une plateforme mystique, quelque magie noire semble à l’oeuvre.
Strider rêve de dalles et de dièdres et peut être -qu’en sait-il?- de sommets…
PLOC
Strider semble voir un ciel où la Lune aurait brusquement disparu, mais après 7 buts en montagne, les rêves sont un peu plus tourmentés que d’habitude.
PLOC…PLOC…PLOC
« Tiens qu’est-ce que c’est que ça? » se dit -il
PLOC…PLIF!
Aie! sur le visage, une larme du ciel, un don de générosité et de compassion à l’égard du buteur professionnel!
"Nom d’un chien! La météo n’avait pas prévu ça ! " se dit Strider
« De courts incidents pluvieux et quelques coups de tonnerre sont à craindre en fin d’après-midi de cette journée de jeudi » dixit la météo
PLOC…PLOC…PLOC…PLOC…
Strider à l’air con…il est dehors sans tente et il pleut comme vache qui pisse…l’autre C2Campiste a du rentrer à l’improviste, se fondant dans la rumeur du dortoir…
Par chance Xav’ a entendu mitraillé sounoisement les parois de sa grande tente et se réveille. Strider a donc grace à sa générosité un abri possible car les couloirs du refuge lui donnerait, au petit matin, un air de clochard de la montagne et un certain C2Campiste pourrait se bidonner…
PLOC…PLOC…PLOC…PLOC…PLOC…BANG!
Pauv’ Dibo ! Le granit s’est fait mitraillé une bonne partie de la nuit alors que le malveillant tonnerre s’abat sur la pointe du Vallon des Etages, telle la tour de Sauron!
Mais dans les dortoirs la rumeur est telle que le massacre est étouffé par les audacieux chants de gorges…
« Hé ben ils ne vont pas être décu demain matin! » se dit Strider.
FIN
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Loïc P.:
Bon , pour ma part , je prends des buts hétéréditaires !!!
Joli !
rebut, au même
endroit, devant un gendarme. Le seul truc qui m’ai fait
plaisir, c’est que mon grand-père a une plaque photo avec la
même vue. Photo prise au même endroit !!!
Tiens par curiosité, il est où ce gendarme ? C’est avant ou après avoir traversé le couloir ?
Je n’irais plus au Moine, où alors par l’arête Sud, il parrait
que la face Sud, à la descente , c’est plus évident.
Euh… c’est pas ce que je dirais. En ayant fait la montée par la VN, on a cherché pendant 1/2h la « vraie » attaque de la descente. Deux personnes venant de l’arête S se sont complètement gourré d’itinéraire et ont fini en chaussons sur le glacier… Plus d’infos dans les commentaires de la sortie.
Loïc
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par strider:
casscroot a écrit:
Alors allez me remplir
cette page
avec vos exploits, et que ça saute!
pour ça je ne vais manquer à l’appel!
que voilà http://nimp.crew.free.fr/Observatoire.php
et puis je mets le lien sur cette page car elle est géniale:
http://nimp.crew.free.fr/V2_Nimpometre.php
cotation très utile pour la suite!
enfin moins on l’utilise plus on est content surtout quand c’est B4m!
Posté en tant qu’invité par Bertrand:
Dani a écrit:
MERDE !! ça ne se fait pas !!!
Me raconter mon propre couchemare !!!Exactement la MEME histoire, mais au Lenin (7150).
Demi-tour a 6900 apres d’avoir continuer tout seul depuis 6400.
La trouille en voir que les seuls qui etaient davant moi
faissaient demi-tour aussi.
N’y restait personne sur la montagne…
…eh bon… je ne suis pas un heros… encore.
Tiens c’est marrant, il m’est arrivé le même truc là haut…par contre comme j’étais jeune, un peu con, et prêt à vendre père et mère pour réussir un sommet prestigieux (rassurez vous ça a bien changé avec l’âge, aujourd’hui c’est plutôt le défaut inverse…), ben j’ai forcé le mauvais temps jusqu’au sommet. A la descente, en pleine tempête (pas sympa à 7000m), j’ai rapidement perdu les traces avant d’errer plusieurs heures, terrorisé à l’idée d’un bivouac peut-être fatal sans équipement, avant de retomber par un incroyable coup de chance sur le camp avancé d’une expé suisse à 6400m. Ce fut ma première et dernière expé sur un 7000m. Comme dit plus haut, tous les buts du monde valent plus que de ne pas revenir…