13ès rencontres du cinéma de montagne - Grenoble

Les 13èmes rencontres du cinéma de montagne se dérouleront au Summum de Grenoble du 14 au 18 novembre.
Programme, bandes annonces, infos pratiques sur www.cinema-montagne-grenoble.fr
Programme en PDF

Du mardi au vendredi, il sera aussi possible de déposer du matériel de ski de rando pour la bourse organisée par le DSA.

il y aura un stand de la FFCAM tenu par des bénévoles du CAF Grenoble Oisans, dont ma pomme :wink:
Alors à bien tôt

Justement, quelques images de l’avant première parisienne de vendredi dernier…

[video]http://vimeo.com/31811302

Franchement, je ne comprends pas pourquoi le film de Nicolas Hairon sur le photographe de Chamechaude n’est pas présenté au Festival du Cinéma de Montagne de Grenoble.
L’an dernier, j’avais vraiment été déçu par une partie de la programmation qui était, à mon goût, trop orientée vers la compétition. C’était trop souvent « Objectif: moins de 24h, moins de 3 jours, moins de 36 heures, réussir le truc que personne n’a réussi, etc. ». 3 moyen métrages sur les performances de Killian Jornet (by Salomon), c’était beaucoup trop. Il est vrai qu’il y avait aussi des films véhiculant d’autres valeurs, mais, à mon goût, ils n’étaient pas assez nombreux.
Il me semble que le Festival est financé par la région et la ville de Grenoble. Qui décide au juste de la programmation du Festival? Y a-t-il un jury impartial? En tant que contribuable, ça m’intéresse de savoir.

[quote=« Stelvio, id: 1264539, post:4, topic:115722 »]Franchement, je ne comprends pas pourquoi le film de Nicolas Hairon sur le photographe de Chamechaude n’est pas présenté au Festival du Cinéma de Montagne de Grenoble.
L’an dernier, j’avais vraiment été déçu par une partie de la programmation qui était, à mon goût, trop orientée vers la compétition. C’était trop souvent « Objectif: moins de 24h, moins de 3 jours, moins de 36 heures, réussir le truc que personne n’a réussi, etc. ». 3 moyen métrages sur les performances de Killian Jornet (by Salomon), c’était beaucoup trop. Il est vrai qu’il y avait aussi des films véhiculant d’autres valeurs, mais, à mon goût, ils n’étaient pas assez nombreux.
Il me semble que le Festival est financé par la région et la ville de Grenoble. Qui décide au juste de la programmation du Festival? Y a-t-il un jury impartial? En tant que contribuable, ça m’intéresse de savoir.[/quote]

Bonjour,

Je crois que la programmation tend à être la plus large possible, tout en maintenant une qualité de reportages très importante. S’il n’y avait que des films comme celui de Nicolas Hairon (si type de film il y a d’ailleurs !?) la part laissée aux rêves (la mobilité douce peut en être un, j’en conviens!) et à la compétition (avec les autres et contre soi même) ou aux aventures en pâtirait également ! L’équilibre est peut-être quand même à tendre vers moins de performances, je te rejoins mais je doute alors d’une intensité identique de l’investissement des partenaires dans un festival où les sportifs, aventuriers ou autres montagnards ne seraient plus des représentants de ces fameux partenaires. C’est un équilibre sportico/financier à trouver dans une logique qui joue le jeux des entreprises marchandes, c’est sûr. Mais bon, d’autres créneaux avec d’autres logiques sont à prendre alors…

Le Festival a-t-il besoin de « partenaires »? Les « partenaires », c’est quoi au juste? Ce sont des entreprises qui mettent des sous dans les poches du Festival et qui exigent en retour que le Festival fasse leur publicité?
Grenoble est capable d’investir 20 000 000 d’euros dans des projets grandiloquents et absurdes, dans un stade absolument inutile, dans une rocade Nord… mais, par contre, pour diffuser dix films sur un écran géant, il faut faire appel à des sponsors, car il n’y a pas assez d’argent?
L’an dernier, j’avoue que beaucoup de films étaient de qualité, je ne dis pas le contraire, mais il y avait tout de même des dérives, plein de « et un grand merci à notre partenaire X et à notre partenaire Y… » Cette année, à en croire le programme, DYNAFIT sera à l’honneur (deux films sur le team DYNAFIT).
Autre chose, le Festival se nomme « les Rencontres du Cinéma de Montagne », je trouve que « Un Regard sur la Montagne » ou un titre comme ça serait nettement plus approprié. Le « Cinéma de Montagne », c’est immense comme sujet, et le Festival n’en montre qu’un aspect. Par exemple, le Festival ne parle pas de ma vision de la montagne, ne parle du rapport à la montagne qu’entretiennent des millions de gens. Rien sur la mobilité douce. Rien sur la promenade familiale du dimanche. Rien sur la première randonnée dans le Vercors d’un petit belge qui rêve depuis toujours de grands espaces. Tous ces sujets (et bien d’autres) ont aussi leur place dans un festival du cinéma de montagne qui aurait vocation à traiter entièrement le sujet. Ce que je veux dire, c’est que certains ne se reconnaissent pas forcément dans certains films, et qu’on ne leur donne pas la possibilité de partager leur vision de la montagne; vision qui n’est, selon moi, pas moins intéressante que les aventures de l’athlète qui se retrouve chaque année « à la tête du classement mondial hiver comme été » de Ski Alpinisme et de Trail Running ou que les aventures des « monstres sacrés »… J’exagère volontairement: plein de films m’intéressent dans le programme qui nous est proposé cette année, mais il faut rester vigilant, car les petites dérives peuvent, années après années, grandir.

Posté en tant qu’invité par agnes:

Certes certes, moi aussi je préfèrerais que l’argent public (mes impôts, nos impôts) soit investi dans autre autre chose qu’un stade de foot, moi qui trouve le foot stupide et sans aucun intérêt…cependant, il faut bien reconnaitre que le foot intéresse et rassemble un nombre non négligeable de personnes (tant au niveau de la ville de Grenoble, qu’au niveau… mondial) bien plus que 5 x 3000 personnes. D’autre part, aujourd’hui ce bel évènement est gratuit, alors que les matchs de foots eux sont payant…
Merci Grenoble, merci la maison de la montagne, et merci Exbrayat pour l’organisation de ces soirées qui nous font rêver.

Pour moi, le cinéma, et plus encore celui de montagne, n’est pas là pour représenter la vie en montagne de Mr Toulemonde, ni donner la perception de la montagne de chacun, mais avant tout pour nous faire rêver. Si nous tous allons tous les soirs nous presser là bas, c’est pour en sortir les yeux pétillants et se dire, « vivement la prochaine » (projection ou sortie en montagne). Le point commun entre nous tous est de voir des paysages à couper le souffle, de l’effort, de ressentir la même chose que le type à l’écran, assis sur notre siège, et cela est indépendant de notre niveau et notre pratique. Et il faut bien admettre que les « performances » de certains sont plus à même de procurer ces sensations au public le plus large que la balade familiale du dimanche à la Molière ou tous les exemples cités, même si en sortant on se dit « purée, quel cinglé !! ». Le leitmotiv des rencontres est bien avant tout « la montagne, quelle qu’elle soit, et quelque soit son niveau » (cf cette année la variété des films présentés).

Quant à la mobilité douce, il y a tous les ans plusieurs films qui en parlent, directement ou non…

@ ce soir :wink:

Ca sert à rien de raler : la solution est de ne pas aller à ces rencontres si la prog ne te plait pas.

moi je vais pas voir des films pour voir la rando d’un papy belge dans le vercors. Et on dirait, vu la foule en général, que beaucoup sont d’accord avec moi.

quand aux partenaires, ca permet aussi à cette manif d’etre gratuite.

Enfin, ton raisonnement de bobo méprisant le foot est ridicule. Comme dit ci dessus, le foot est bien plus pratiqué/regardé que la montagne à Grenoble, rien de choquant à ce que l’argent public fasse un stade de foot. Le foot n’est pas plus méprisable que la montagne, c’est un jeu, comme l’alpinisme ou l’escalade. Certains diraient même que c’est même un sport plus noble car plus démocratique :lol:

putain, les gars et les filles, ici on aime la montagne, on peut aller voir des films de montagne variés toute la semaine, et gratuitement , alors on va pas cracher dans la soupe ! 1ère édition en ce qui me concerne et je suis ravi :stuck_out_tongue:

Bon, je suis cité, j’ai mon mot à dire :slight_smile:

Selon moi non plus il n’y a pas matière à polémiquer, il faut de tout aux Rencontres, du local comme du lointain, de la contemplation comme de la performance. Et les Rencontres sont exactement dans cette optique. L’appréciation de chaque film sera laissée à chacun qui jugera selon ses aspirations personnelles, et cela vaut aussi bien pour mes films que pour les autres.

Je me joins aux commentaires précédents pour remercier Yves et la Mission Montagne de la ville de Grenoble, et tous les partenaires qui permettent de maintenir cet évènement gratuit (malheureusement ça n’est pas si simple et ce n’est pas la faute de Yves).

Concernant la remarque de Stelvio, je précise que je n’ai jamais soumis le petit reportage « Ballade crépusculaire à Chamechaude » en vue d’une projection aux Rencontres cette année. En revanche, j’ai réalisé un reportage de l’intérieur sur le challenge Grésivaudan Xpress qui a retenu l’attention de Yves, qui m’a proposé de le diffuser en avant soirée le mardi 15. Si vous êtes curieux de voir comment je suis parvenu à caser en 3 minutes 30 un été de couchers de soleil autour de Grenoble et l’ambiance unique du challenge Grésivaudan Xpress (entre convivialité et compétition, mais convivialité surtout), essayez d’être là le mardi soir…

Rien de sûr cependant, la diffusion du reportage reste à discrétion de Yves et de son timing. Le reportage sera de toute façon visionnable sur le web après les Rencontres.

@soulfly74
Mes réalisations passées (et celles à venir cette année) entrent parfaitement dans la catégorie des films documentaires.

Jusqu’à présent j’ai été très content de pouvoir proposer des films sans aucune aide ni sponsoring. Mais il faut dire quand on est pas impliqué dans la réalisation d’un film, il est difficile de bien concevoir que le moindre reportage demande du temps et du matériel (entre réflex/objectifs/trépied/machinerie/disque durs/logiciels de montage et post j’en suis à plusieurs milliers d’euros depuis le début de l’année). Si à l’avenir on me propose du sponsoring, je considèrerai très certainement la proposition, rien que pour revenir sur le coût du matériel…

sauf que le stade en question est trop grand, trop cher, trop mal placé, et qu’il a pris la place d’un stade de quartier qui permettait justement de faire évoluer les mômes. Là, avant l’échec prévisible du GF38, les jeunes devaient se contenter de regarder les vedettes …
Je dis échec prévisible car vu la taille de l’agglo grenobloise, le tissu économique local ne permettait pas d’avoir deux équipe de haut niveau, à la fois en foot et en rugby, et le rugby a pour lui l’ancienneté de l’implantation. Du coup on s’est retrouvé dans la fuite économique avec un repreneur japonais, puis plus rien.

Et il n’est pas illégitime de poser la question de l’emploi de l’argent public lorsque les clubs bénéficiaires sont des sociétés commerciales ayant vocation à gagner de l’argent et à distribuer des dividendes à leurs actionnaires, alors que les clubs amateurs de quartier manquent de tout.

Je ne suis pas sûr que les grenoblois soient très satisfaits d’avoir un stade de foot à 20 000 000 d’euros pour leur équipe de quatrième division. Un stade de 20000 places qui doit se remplir une fois par semaine à 1%. Ouah, bel investissement! Beaucoup de grenoblois se sont opposés à la construction de ce stade, les militants du Parc Paul Mistral étaient nombreux et très impliqués. Je pose la question de la gestion de l’argent public, et je ne vois pas en quoi ça fait de moi un bobo. Il est triste de croire que l’on peut juger une personne à partir deux ou trois petites phrases.

Je suis opposé aux sponsors. Ils nuisent à la liberté d’expression. Et si des vidéastes ont des difficultés financières, je crois que l’on pourrait trouver d’autres solutions comme le partage des richesses collectives (cf. le principe des bibliothèques, des médiathèques, etc.): la ville pourrait acheter deux ou trois caméras et les prêter. Par ailleurs, je crois que pour faire rêver, les moyens techniques sont peu importants. J’ai tendance à croire que plus la mise en scène est artificielle et complexe, moins l’émotion est belle et authentique. Avatar, ça sonne tellement creux à côté d’un Profils Paysans de Depardon ou à côté d’Une Séparation de Fahradi. Moi, le petit papy qui raconte face à la caméra sa vie de montagnard, ça me fait plus vibrer qu’un type qui court à tout berzingue sans prendre le temps de s’arrêter pour regarder une marmotte. Certes, c’est une affaire de goût, et chacun a ses goûts, et c’est très bien que les amoureux de la performance puissent trouver leur compte. Sauf que, pour ma part, dans le cas présent, à lire le programme, mes goûts ne sont pas vraiment défendus par le Festival. Il n’y a pas le petit gamin des HLM de Belgique qui voit pour la première de sa vie un bouquetin, 'y a rien sur la mobilité douce… je suis un peu déçu, mais ce n’est pas très grave: je n’ai qu’à ne pas venir. Sauf que moi aussi, avec mes impôts, je paie pour ce Festival, et, par conséquent, j’ai mon mot à dire. Après, c’est vrai que si le Festival était entièrement financé par des sponsors, je n’aurais plus qu’à me taire.

Peut-être que je suis un peu trop virulent, mais c’est pour me faire bien entendre… et je crois que si on se tait, que si on ne dit rien, que si on laisse faire, le Festival pourrait bien, un de ces jours, devenir la propriété de Dynafit, Salomon et compagnie. ('Y a des petits signes, rien de bien inquiétant pour le moment. Pour le moment.)

A tout mélanger (stade, GF38, cinéma de montagne, …) l’argumentation en devient inaudible et on ne comprend plus grand chose. Si on laisse de côté ce qui n’a rien à voir avec le sujet et si on se recentre sur les Rencontres du cinéma, il semble y avoir débat à propos de deux points : (i) le sponsoring des Rencontres par des entreprises privées et (ii) le contenu du programme.

Concernant le 1er point, c’est le lot de beaucoup d’associations organisatrices d’événements de rechercher des financements externes en se tournant vers les collectivités et/ou des financeurs privés. Parlant d’expérience, il est important d’équilibrer les sources de financement pour éviter de tomber dans la dépendance des unes ou des autres.

Concernant le second point, c’est une affaire d’appréciations. Le plus efficace est sans doute de mettre la main à la pâte en s’engageant par exemple dans l’association organisatrice.

Concernant les programmation des films >
A la conférence de presse à Paris, un journaliste à posé la question à Yves si par exemple quelqu’un lui proposait un film sur la vie d’un berger, ou sur des thèmes pastoraux, etc, donc Yves s’est bien expliqué sur le fait que les Rencontres n’ont pas pour vocation d’aller sur ce genre de documentaire ou films, d’autres festivals le font bien mieux qu’eux.

Posté en tant qu’invité par anti-parole:

Très bonne soirée hier en tout cas. Même remarque que toutes les années : OK pour 1 à 2 interviews par soirée mais écouter un pinpin inexpressif parler d’un film de 5min bien orienté sponsors ça n’a vraiment pas d’intéret.
Par contre grand grand moment avec les belges.

Bof, moi, ça me paraît plutôt audible comme conversation. Je n’aime pas trop les (i) GRAND UN, (ii) GRAND DEUX, ça me rappelle l’école. C’est plus divertissant les digressions. L’allusion au Stade, c’était simplement pour contrer l’argument « il n’y a plus d’argent dans les caisses de la ville, et nous sommes obligés de faire appel à des entreprises privées pour organiser un tel évènement ».

Je trouve vraiment dommage que ce Festival n’ait pas vocation à se tourner vers les approches les plus authentiques de la montagne. Toutefois, je n’irais pas jusqu’à m’investir dans l’association organisatrice pour faire changer les choses, car comme l’a si bien dit un intervenant du premier film de la soirée d’hier: « La montagne, c’est tout sauf faire la queue »; la montagne, c’est tout sauf la foule; et je ne souhaite pas investir beaucoup de mon temps dans un tel évènement. Mais, en tant que spectateur occasionnel et contribuable-financeur, je me disais que j’avais le droit de simplement donner mon opinion. C’est un peu lassant à chaque fois qu’on s’exprime de s’entendre dire « t’as qu’à mettre la main à la pâte ». On a le droit de discuter des choses qui sont périphériques à nos vies sans s’y investir. Sinon, on ne pourrait même plus parler de la faim dans le monde, du réchauffement climatique, de la pauvreté en Somalie, de la philosophie grecque, des baleines du Pacifique, de la vie des bouquetins, de la beauté du Népal, etc. Chacun a un job, chacun a le droit de faire du bénévolat, mais personne n’a le don d’ubiquité, on ne peut pas s’investir dans tout ce qu’on a envie de voir changer.

En tout cas, on a eu une grosse soirée Patagonia, hier. Ouah! ça en jetait grave les PATAGONIA en plein écran! Bizarre d’interrompre les belges en train de chanter pour faire gagner des vestes Patagonia et Millet, et de finalement conclure la soirée là-dessus. Un peu tristounet comme fin. Mais sinon, globalement, ce n’était pas mal, bien sympathique, une bonne ambiance, des films qui tiennent la route, et j’avoue que bien que présent, le sponsoring restait assez discret. Les belges ont fait leur grand numéro, c’était chouette, mais niveau humour, c’était un peu plus lourd que l’an dernier (on aurait pu se passer de les voir vomir ou de les voir aux toilettes, par exemple). Le Queyras, le Dévoluy, le Vercors, la Dent de Crolles, ça tenait la route. Je n’ai pas trop aimé la scène filmée à l’intérieur d’une voiture au début du film sur le Queyras: à vélo, c’est plus joli, mais bon…

Difficile de juxtaposer des dizaines de sponsors au début d’un film sur la vie d’un berger. C’est peut-être pour ça que le Festival n’a pas vocation à s’orienter vers des documentaires authentiques? Quels sont, d’ailleurs, les Festivals qui proposent des films documentaires à la Depardon sur la vie en montagne? Je ne les ai pas en tête.

Posté en tant qu’invité par agnes:

ben justement, il y a le FODACIM, auquel tout un chacun peut contribuer financièrement, à commencer par toi par exemple, afin d’aider à financer des films qui seront présentés aux rencontres:)
Enfin puisque tu y étais hier soir, je ne t’apprends rien!

J’ai passé une excellente soirée, et les Belges ont eu une belle ovation du public.

Et je suis contente qu’une partie, même infime, de mes impôts soit utilisé de la sorte…

Posté en tant qu’invité par festoche:

http://www.alpages38.org/-Festival-du-Film-Pastoralismes-et-.html par exemple. C’est sur qu’il y a moins de pub que pour le summum …

Ce que je retiens, c’est que l’herbe est meilleure au Groenland que dans le Chablais. Par contre dans le Chablais on peut encore en profiter mi novembre, alors que là-bas il y a un bout de temps que c’est l’hiver…