Dans Escalades dans les Alpes, page 121 :
Voilà, il suffit de poser que la pente limite est 30°, puis de constater que ça marche, et hop torché, pas besoin de faire des centaines de coins glissants, et on gagne un siècle sur l’étude des avalanches
En tout cas, je suis entièrement d’accord sur sa conception du risque en montagne.