Je suis allé voir page 7.
Je ne comprends pas la même chose que toi.
- indique, au titre de la pratique de la randonnée pédestre, qu’il n’existe pas de conflits d’usage avec les « vttistes » qui sont peu nombreux dans le parc, a contrario la pratique de la moto pose un réel problème de conflits d’usages avec des pratiquants au comportement agressif
- signale, au titre de l’activité de balisage et d’entretien des sentiers, qui représente 300 journées-hommes chaque année, une forte dégradation de l’état des sentiers depuis la création du parc
- il précise que cette dégradation des sentiers est particulièrement avérée sur les sentiers pentus et due à des activités de vitesse qui incite à couper les virages comme le trail ou le vélo en descente, la question du dénivelé doit ainsi être prise en compte pour organiser la pratique du vélo
- il ajoute que la question de la visibilité (dans le sens d’une vue dégagée) permettant au « vttistes » de voir et d’être vu des autres usagers est un autre critère important pour déterminer des itinéraires, afin de limiter les risques de collision entre usagers
- il conclut sur la nécessité d’avoir une réflexion globale sur les sentiers pour l’ensemble des usages pêche du bord, randonnée, vélo, escalade, parapente, chasse, apiculture.
Moi je comprend qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas de conflit car il y a peu de VTTistes. Ce qui veut dire que si leur nombre augmente ça risque de ne pas être la même chose. C’est cette préoccupation qui avait conduit à la position de la FFRP et de la FFCAM. J’ai l’impression qu’en 2016, ça n’avait pas changé, favorable à plus d’ouverture mais pas à une autorisation large telle que demandée par MBF.
Je vois qu’il y avait un groupe de travail piloté par André Bernard . Si il existe toujours, quelles sont ses propositions?