J’ai pris l’avion deux fois avec friends etc.
Une fois ça passait, une fois pas. Donc faut pas compter dessus.
J’ai pris l’avion deux fois avec friends etc.
Une fois ça passait, une fois pas. Donc faut pas compter dessus.
Je n’ai jamais écrit que les scans ne permettent pas de voir les textiles. Bien évidement que c’est visible. Je dis seulement que c’est moins visible que la boucle métallique, mousqueton …
Ensuite, tu peux faire tout ton possible pour lui donner du boulot, l’obliger à réfléchir, à aller plus loin, ouvrir ton sac, ou pas.
Ce n’est pas binaire. Ca reste des hommes et des femmes, avec les faiblesses en conséquence. Ton look, ta gueule peuvent bien évidement également avoir une influence.
Je confirme que, dans la pratique et selon les aéroports, c’est très aléatoire.
A Noël, au passage du contrôle à Roissy, pas de souci. Au retour, à Pau, confiscation… d’un mousqueton porte-clés parce que, selon l’agent, susceptible de servir de « poing américain ».
Le risque, c’est quand même de se faire confisquer arbitrairement le matos à l’embarquement.
Question subsidiaire, que devient le matos confisqué ?
Bonne question … La seule chose que je puis dire, c’est qu’il n’est pas restitué.
Théoriquement c’est détruit, mais d’un endroit à l’autre, d’un pays à l’autre, ça doit bien être récupéré, voire « trafiqué ».
Il te l’envoie par avion. Ok je sors.
Le matériel n’est pas confisqué. On ne te permets juste pas de passer le contrôle avec. Ensuite, c’est à toi de voir ce que tu veux en faire. En étant à la bourre pour prendre un avion, et sans personne à qui le donner … tu le laisses au contrôle qui le détruira. Tu peux également ne pas prendre ton avion et rentrer chez toi pour y déposer l’objet.
Ben… quand l’agent de contrôle te place devant l’alternative de ne pas embarquer ou de lui laisser le mousquif, en disant qu’il ne peut pas être restitué à l’arrivée, il faudra me dire ce qu’il faut entendre par « absence de confiscation ».
Tu le ferais ? A 250 euros le billet ? Et compte tenu de la raison, parfois impérative, qui te conduit à prendre l’avion ?
Je suis totalement d’accord avec toi qu’on n’a pas trop le choix que de laisser l’objet au contrôle pour pouvoir prendre son avion. Mais stricto sensu, il n’est pas confisqué : c’est toi qui décide de passer le contrôle pour pendre ton avion et donc de laisser l’objet.
Quelque part, c’est également au voyageur de prendre ses précautions pour se genre de sujet. Nous savons que cela peut bloquer mais on essaie tout de même. Il faut donc bien assumer qd cela ne passe pas.
Pour ma part, j’avais tenté et réussi plusieurs fois de passer des petites cartouches de gaz en soute. Un jour, ce n’est pas passé. J’ai eut droit au sermon au pied de l’avion et ai failli raté l’avion. Depuis, j’ai arrêté de tenter le diable.
Il est confisqué à partir du moment où il n’est pas restitué. Un « dépôt », en droit, implique pour le gardien de la chose l’obligation de la restituer à l’issue du dépôt.
Sur les précautions, entièrement d’accord, mais il faudrait que les consignes soient claires.
En soute, pas trop de souci. Sauf pour les inflammables, évidemment.
J’imagine qu’il pourrait être restitué au même aéroport, par contre avec un peu de paperasse qui pourrait te faire rater l’avion.
Dans ce cas, les conditions générales de vente devraient le préciser. Ce qui n’est pas écrit n’existe pas, en droit.
Ou pas. Si tu dois attendre 10 min que la bonne personne arrive pour te faire remplir et signer le bon papier, que fais-tu si tu risques de rater l’avion ?
On connait tous le problème. C’est juste normal que les règles ne soient pas claires, notamment pour s’adapter, voire même pour limiter les stratégies de contournement …
C’est tout de même notre sécurité qui est en jeu, tout en ne voulant pas attendre 3h pour prendre l’avion. L’équation n’est pas simple depuis que des terroristes ont balancé des avions dans le WTC avec des cutters.
De la part de quelqu’un qui 3 messages plus haut se vante d’avoir :
cette réflexion est presque surréaliste !
Il y a longtemps, je faisais transporter des milliers de litres de liquide inflammable en soute. C’est toujours autorisé en avion cargo. Ca ne me choquait donc pas spécialement de mettre qlq ml de propane dans mon bagage en soute. C’était également avant le WTC, et donc avant le renforcement des contrôles.
Les consignes sont claires lorsque tu achètes un billet d’avion et que tu acceptes les conditions générales de vente, dont la liste de tout ce qui est interdit sur toi, en cabine, en soute. A partir du moment où tu n’as pas respecté ces interdictions en connaissance de cause (que personne lit exhaustivement et qui protège la compagnie), et sauf à renoncer à partir, ça ne me choque pas que les produits ou équipements saisis soient détruits.
Dans le doute, ma fille avait demandé que je l’accompagne à l’aéroport, et que j’attende qu’elle ait passé la sécurité : si elle avait eu des choses refusées, elle me les aurait ramenées pour que je les mette de côté jusqu’à son retour.
Expérience vécue aussi, mais ce n’était pas une interdiction dans l’avion, c’était une interdiction dans le pays d’arrivée : confiscation des jumelles à l’entrée en Algérie. Mais puisque nous repartions par le même aéroport, attribution d’un bon d’enregistrement permettant de les récupérer après avoir passé les contrôles d’embarquement du retour.
Bernard
Comme cela a été dit plus haut, en fonction de la compagnie et de l’aéroport (et peut-être aussi à la gueule du client ?), beaucoup de choses sont possibles ou tolérées, comme par exemple sur Air New-Zealand avec mon fils au départ de Christchurch…
Il m’est arrivé la même chose sur un vol intérieur.
Montée à Paris en oubliant un couteau comme le tien dans mon petit sac à dos, à l’aller, tout passe comme sur des roulettes (et donc moi je ne m’aperçois de rien).
Au retour à Orly, driiing, sortie du couteau l’air penaud, voyage du couteau en soute pour le récupérer au retour après 30 mn d’attente…
Mais ça, c’était avant…