Bah oui: j’étais piqué au vif!
Vous aussi vous piquez des trucs dans les refuges?
faut dire qu’elle avait un sourire à ne pas piquer des hannetons !
[quote=« yoann-73, id: 1468083, post:22, topic:129628 »][/quote]
Mais arretez ca??? Quelle mouche vous a pique?
Desolee, pas d’accent…
une fois j’ai piqué la copine d’un guide au refuge aussi.
Krampus c’est l’as de trèfle qui pique le coeur des filles (en gros, c’est du MC solar, hein Caroline)
Je trouve que c’est complètement dingue de piquer des trucs dans les refuges… pour ce qui a à piquer d’ailleurs… c’est comme ceci que l’on manque de choses après… c’est dommage quand même ! :mad:
Oui mais là ça pique les yeux…
Posté en tant qu’invité par Beuh:
Bebelle trouve refuge sur camptocamp, mais qui y a piqué sa grammaire ?
Au lit, je pique du nez.
Notre Club gère deux refuges.
Plus on offre de services en hiver (bois, gaz, vaisselle, etc.), plus les hôtes de passage sont respectueux du matériel et de l’entretien du bâtiment (nettoyage, ménage).
Le seul bémol est sur la participation aux frais engendrés par ces services qui n’est pas toujours effective.
Il suffit de comparer la consommation de bois (par exemple) et la fréquentation enregistrée pour constater le déficit de participation.
Cependant les refuges sont un service public, et notre réaction à ce phénomène porte sur l’information sur le coût et les heures de bénévolat consacrées à la mise à disposition de ces services, et sur l’encouragement à la contribution financière, plutôt qu’à la diminution de ces services.
Qui n’a pas apprécié de pénétrer en hiver, par mauvais temps, dans un refuge propre, éclairé, disposant d’un poêle, de bois, d’outils pour le couper et le fendre, et d’un réchaud à gaz en état de fonctionner?
Franchement, je doute du vol de vaisselle, casseroles ou autres ustensiles de cuisine. Fin septembre, un gardien de refuge m’a rapporté qu’il n’y avait plus de poêle dans le sien suite à des vols successifs de ce matériel. Maintenant il laisse les panneaux photovoltaïques sur le toit car datant de plusieurs années ils sont devenus invendables. En juin, dans le massif du Beaufortin, un mot dans une cabane municipale signalait le vol des fenêtres à double vitrage l’hiver précédent ?!?
Croyez-vous que ce sont des gens de passage qui volent ce type de matériel ? J’imagine un randonneur en ski de rando, mettant les fenêtres et le poêle dans une pulka pour descendre jusqu’à sa voiture au parking, puis rentrer chez lui à 300 km de là. Quant à ceux qui viennent en train, ils feraient comment ? Ou un gang qui louerait des motos neiges ?
J’observe plutôt dans les cabanes et les refuges d’hiver, des détériorations souvent commises par bêtise (initiales gravées), par maladresse (scie/hache en piteux état), par paresse (déchets diverses sur le sol et la table) ou trop de bûches calcinées dans le poêle et parfois à l’extérieur.
Vu les possibilités de matos léger actuellement (un duvet, un pied d’éléphant pèsent moins de 1kg), je me demande si le fait de supprimer les couvertures/couettes/oreillers (souvent douteux), éviterait la fréquentation de personnes qui montent dans les refuges/cabanes juste pour passer une nuit romantique ou/et festoyer, prélèvent un maximum de bûches pour leur confort personnel (situation vue dans le massif de la Vanoise) et laissent les jerricanes d’eau vides.
Il m’est arrivé de manger des trucs laissés par d’autres en particulier des nouilles et des p’tites boîtes de conserve, et de laisser aussi mon surplus de polenta/semoule/soupes déshydratées. Et même de déposer des capotes dans la pharmacie de secours (j’en vois déjà qui sourit derrière leur écran).
Un truc que pourrait faire tous les gardiens de refuge : laisser dans une corbeille en plastique, en évidence sur le rebord d’une fenêtre ou la table les oublis, de la saison estivale et hivernale, type gant, sac à viande, chaussettes, cela pourrait toujours dépanner. Qui n’a jamais perdu un gant parfois, ou un bonnet. Même une chaussette peut être utilisée comme moufle de rechange.
J’ai observé que les utilisateurs ne paient pas s’ils restent que pour une collation, et ce même si ils ont utilisés le gaz ou brûler 1/2 bûches dans le poêle.
Posté en tant qu’invité par lio:
p… pour une fois on va pas dire que c’est le 93 prennent déjà assez chère comme ca… et ouais des autochtones… ca craint :lol: :lol: :lol: … dans les pyrénées c’est soft…
Yep. Non mais.
Autochtones ? Terme un peu connoté colonial et condescendant. Locaux, plus simple, plus direct.
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Posté en tant qu’invité par ddquinca56:
tu vas pas « piquer la mouche ! »
Effectivement il y a de quoi piquer la mouche car c’est pas piqué des vers …
[mode HS]
Tu as vu ça où ? :mad:.
Il n’y a rien de colonial, ni de condescendant dans ce terme. C’est un mot utilisé avec le sens de : originaire du lieu où on vit, en tant qu’adjectif ; ou personne originaire du lieu où elle vit, en tant que nom. Le mot local n’a pas ce sens. En tant que nom appliqué à une personne, il signifie simplement : habitant d’un lieu sans indication d’origine !
[/ mode HS]
Pendant des années j’ai utilisé ce terme pour désigner les locaux. Puis après m’être fait reprise deux fois par justement des autochtones (un lycéen dans car Modane-Aussois et un chauffeur de taxi dans la Vanoise ou du côté de La Grave) et bien je ne l’emploie plus. Voilou.
Posté en tant qu’invité par lio:
oups…. pardon des xuacal (xuacaux s’ils sont plusieurs … rectifie, voudrais pas froisser… mais comme d’hab… le probleme, il est pas là
Je vais vous parler d’un pays irréel où je passe là plupart de mon temps. Un pays où lorsqu’on arrive dans un refuge hors période de gardiennage, il est fréquent de trouver les placards pleins, quelques bouteilles de vins, du chocolat en poudre, des vivres, des bonnes couvertures, un telephone de secours en état de marche. Un pays qui me rappelle la mentalité et l’ambiance qu’il y avait dans la Haute Savoie de mon enfance. Un pays de montagnards, qui aiment avant tout leurs montagnes. Pas un pays de bobo consommateur de loisirs ou de performeurs sportifs en mal de reconnaissance sur les reseaux sociaux. Un pays où on ne passe pas son temps à raler, où on ne reclame pas des nuitées en refuge au prix d’un Formule 1 tout en exigeant des prestations d’hotel de charme. Bien sur les choses se sont aussi dégradées dans ce pays, il y a aussi des vols ou de la malveillance en montagne. Mais je suis encore surpris et admiratif bien des fois lorsque je pousse la porte d’une cabane en plein hiver. Le secret de cette reussite? Peut etre deja donner l’exemple dès le plus jeune age, aimer et respecter la montagne et tout ceux qui y vivent, se sentir concerné, et ne pas demander mais participer.
Signé : un non-exilé fiscal
Posté en tant qu’invité par Belge:
La Belgique ?
On y trouve des capotes dans les refuges d’hiver ?