[quote=« flastodaya, id: 1222982, post:3, topic:113671 »]Le Cantal, les Vosges, le valgau c’est la montagne et c’est tres joli. je me plains de la Haute savoie . La vie est chère, tout les centres villes sont payants ( même le hameau de la Compote perdu au pied du trélod ). Il y a que des embouteillages sur la route . Les savoyards sont méchants et ne pensent qu’a plumer les touristes et autres monchus sans parler de l’acceuil pour le non savoyard qui fait construire au col du Corbier.
Beaucoup de villages n’ont pas l’eau potable, pas l’electricité et surtout l’ADSL s’est arreté au porte de la Savoie .[/quote]
Sympa la description de la haute savoie ! en tout cas il me semble qu’elle est un tantinet subjective… cela dit c’est ce qui est demandé.
A ce moment là voici ma vision de la haute savoie: j’ai jamais eu de problème à trouver de l’eau potable en Hte Savoie, eau non traitée ne veut pas dire non potable… j’ai l’ADSL, pourtant village de 700 habitants pas tant près d’une « ville » (25km), avant de ne pas avoir l’électricité, faut vraiment aller se perdre, autrement dit il faut le vouloir. Pourtant ça commence à faire un bout de temps que j’y traine.
Par contre :
-Gros défaut de la haute savoie: si tu habites un tant soit peu en montagne un moyen de transport motoisé personnel est très vite obligatoire si tu n’aimes pas le vélo, et il faut même un peu plus que l’aimer si tu veux faire tout avec.
-Et si tu habites dans un coin, tu es proche de tout dans ce coin là, mais dès que tu dois aller un peu plus loni c’est tout de suite 30 min -1h selon où.
-Transports publics inexistants
-Ambiance relativement friquée avec les frontaliers, tourisme plus ou moins industriel, présence de la suisse et de ses ressortissants qui ont une résidence secondaire dans le coin, ou pas d’ailleurs.
Quant à l’accueil, il est vrai que dans les vallées reculées, l’ouverture de certains locaux reste à améliorer, mais certaines personnes s’installant n’arrangent pas non plus les choses en arrivant comme des « gros bourrins » comme si tout leur est dû.
Et non, je ne suis pas un « local ».