Posté en tant qu’invité par Pas2tire:
Bonjour,
Dans cette liste (à l’exception de Luz La Croix Haute que je ne connais pas), je retrouve mes plus beaux souvenirs de montagne.
- Bessans et Bonneval: venue initialement pour le ski de fond, j’y ai découvert, puis pratiqué avec passion la randonnée glaciaire et l’alpinisme avec Jean-Claude Tracq, à l’époque gardien du refuge d’Avérole.
- Le Chazelet: La Grave, Villar d’Arène ! J’ai eu la chance de connaître le « vrai » refuge de l’Aigle, l’historique. Ce secteur est vraiment obsédant, de même que la vallée du Vénéon : La Bérarde, Saint-Christophe en Oisans (ah l’hôtel La Cordée, chez Marie-Claude Turc !).
- Pelvoux, Vallouise, Ailefroide: Martine Rolland est-elle toujours au gîte des Tournoux, et Dédé Buisson dans sa buvette à Ailefroide en hiver ? Je me souviens de journées d’intempéries (impossible d’aller plus loin) passées à refaire le monde en leur compagnie.
- Pralognan: très beau, la « bimbo » de la Vanoise. J’ai aimé aussi Peisey-Nancroix. Le refuge de Rosuel peut servir de « camp de base ». Mais je ne connais qu’en été. Le Mont Pourri, c’est là !
- Sixt fer à Cheval: le petit hameau de Salvagny est un véritable petit coin de paradis. Si le gîte est complet, l’hôtel le petit Tetras est assez sympa et abordable.
- Queyras: j’ai souvent été fidèle à Ceillac, j’ai séjourné aussi à La Maison de Gaudissard à Molines (le sauna, le ski de randonnée nordique, les bandes de copains qui reviennent depuis des années… )
Mes copains, partenaires de rando etc m’ont souvent parlé de Freissinière, grosso modo dans la même région que Vallouise. Ils y ont évolué sous la houlette de Lionel Condemine (« le pape » du télémark).
Le paradoxe, c’est qu’en tournant pendant des années dans ces différents villages, on y reste fidèle, tout en étant assuré d’y faire de nouvelles découvertes. Mais je dirais pour me résumer que l’Oisans (La Grave et la vallée du Vénéon offrent, à partir de Grenoble, un rapport proximité-dépaysement exceptionnel.