Veloski *bis*

*Sur ce post on peut parler, sur c2c, de veloski (pourquoi, pourquoi pas, comment)…

[Edit modération : propos modéré. Si vous souhaitez un sujet sérieux, inutile de commencer par une provocation]

Un petit sondage, histoire de lancer le sujet.

  • Je pratique le véloski régulièrement (représente la majorité de ma pratique ski)
  • Je pratique le véloski occasionnellement (ne représente pas la majorité de ma pratique)
  • Je voudrais essayer le véloski
  • Je n’ai aucune envie d’essayer le véloski
  • Ne se prononce pas

0 votant

En complément, si vous avez envie d’essayer ou si vous ne pratiquez pas régulièrement, quels sont vos freins ?

si je peux me permettre, il manque une ou deux rubriques :
O J’ai essayé le vélo ski, mais je suis cramé au moment de chaussée pour une sortie ski qui tient la route.
O Je pratique le véloski, mais en faisant l’approche routière en voiture, j’utilise le vélo sur les routes / pistes interdites aux véhicules à moteur ou encore partiellement encombrées par la neige ou des rochers tomber.

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J’ai répondu que je ne voulais pas essayer, parce que pour faire du ski, il faut que je fasse 200km, et je ne vais pas partir 2 jours avant et rentrer 2 jours après quand je fais une sortie ski.

Et en fait, même si j’étais plus près des montagnes, je ne crois pas que j’aurais envie de faire du vélo en conditions hivernales (neige, verglas, obscurité éventuellement).

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Sur ces 200km, une partie peut-elle être faite en transport en commun ?
Moi non plus, il ne me viendrait pas à l’idée de faire du 100% vélo+ski.

Mon principal frein, c’est de trouver le(s) partenaire(s) adéquat(s). Difficile de changer les habitudes.

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Personnellement, très inspirant…

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Remettons les points sur les I, si certains ne se sentent pas de faire du 100% vélo + ski, rien n’empêche de faire un bout en transport en commun. L’idée première étant quand même de limiter les déplacements carbonés. On est d’accord qu’on n’est pas tous des champions de ski/de vélo, pourquoi voir tout blanc ou tout noir ?

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Oui probablement.
Mais les 200km, c’est pour aller dans les Alpes suisses, le plus proche depuis chez moi. Et le train suisse, quand on n’est pas suisse, a un tarif assez dissuasif malheureusement.
Puis prendre le train avec toutes les affaires de ski plus un vélo, avec des correspondances, ne doit pas être bien pratique.
Mais par contre j’ai déjà fait des randos pédestres en partant en transport en commun. C’est plus facile car on a juste un sac, et on n’est pas obligé de partir la veille car il n’y a pas de contraintes de nivologie qui obligent à démarrer la rando super tôt.

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Oui je m’y mets et c’est tout à fait faisable même si un peu plus contraignant évidemment.
Vive la montagne l’été.

Pour le TC-ski, l’offre sur la Savoie me semble de plus en plus adaptée avec des correspondances bien calées (utilisé sur 2 raids ces dernières années).

Le seul hic, c’est que les tarins ne savent toujours pas ce qui ce passe en maurienne et vice versa :laughing:

Un frein au véloski?

Oui et non, parce que ça permet aussi de faire des traversées puisqu’on n’est pas obligé de revenir à son point de départ.

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Disons que le véloski, c’est sans doute d’autant plus accessible qu’on habite dans les vallées en question ou pas loin. Exemple : un habitant de Briançon qui irait au Pont de l’Alpe, par exemple, pour skier dans les Cerces. Ou un jurassien qui partirait de Saint-Claude à vélo pour aller faire du ski de fond sur le plateau. Je sors : ce n’est pas mon cas.

Le véloski me parait très adapté aux VAE, sauf que souvent, pas moyen de sécuriser les vélos correctement au point de départ. Dommage, mais mettre des parkings vélo a minima sécurisés aux points de départ les plus populaires pourrait être une bonne idée.

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A moins d’avoir une caisse d’enfer (comme certains) cette pratique ne semble pas très réaliste si on habite à plus de 25/30 km d’un départ de course. Réservé donc, en pratique courante, à ceux qui sont sur place.

Oui. Rien à voir avec le ski, mais à Bleau (au Rocher Canon ce WE, par exemple), des structures en bois permettant d’attacher les vélos ont été installées sur certains parkings. Cela peut se faire aussi au départ des itinéraires ski.

J’ai testé cet hiver et finalement, ce n’est pas la montagne :hot_face: que je m’étais imaginée (suis pas toute jeune et tout affutée, hein !). Certes, je n’ai pas fait une énorme sortie et je n’avais pas de contrainte de temps. Je n’ai pas réédité car j’ai ensuite utilisé les transports en commun, en grande partie pour éviter les voitures. Sur certaines approches, c’est vraiment une plaie.
Le vélo-ski, ce n’est pas que pour les gros mollets. C’est surtout une autre logique, une autre manière d’aborder la montagne et surtout de gérer son temps. C’est une des options, à allier avec les transports en commun.

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Surement. J’imagine que ça implique de faire des sorties sensiblement plus courtes niveau ski.

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J’ai fait un WE à 3500m de D+ pour la partie ski… donc non, c’est d’abord/surtout, comme le dit @alieska, une autre logistique

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Avec un temps et et une forme physique égale, ça me parait incontestable qu’on fera plus de ski en venant en TC ou voiture. Ce qui n’est pas grave, comme tu dis, on change d’approche, et la sortie démarre au pas de la porte. Donc oui, des avantages aussi, et pas qu’au niveau écologique.

Pour quelqu’un habitué à faire des sorties à la journée, disons 1000m de deniv. maximum, ce qui représente un grande partie des pratiquants, même en partant de la cuvette Grenobloise, je ne vois pas comment on arrivera à faire une sortie de ski « raisonnable » si on doit ajouter 1000m (au moins) de montée en vélo.