Posté en tant qu’invité par jul:
Et maintenant que nous commençons à être d’accord sur le distingo alpiniste-montagnard, qu’en est-il, selon vous, de celui entre la varappe et l’escalade?
Posté en tant qu’invité par jul:
Et maintenant que nous commençons à être d’accord sur le distingo alpiniste-montagnard, qu’en est-il, selon vous, de celui entre la varappe et l’escalade?
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Et entre le vélo et la byciclette ?
Posté en tant qu’invité par liliM:
nom d’ un couloir rocheux au salève (1898)
Posté en tant qu’invité par Sofie:
Euh…
Bicyclette, non ?
Posté en tant qu’invité par S. d’O.:
La varappe c’est pour qualifier l’activité des grimpeurs « pur et dur » alors que l’escalade est un nom plus généraliste utilisé par les alpinistes et autres débutants dont le niveau technique reste faible
J’ai même entendu certains « touristes » appeler un grimpeur (un vrai),un escaladeur …
Posté en tant qu’invité par fabrice:
S. d’O. a écrit:
La varappe c’est pour qualifier l’activité des grimpeurs « pur
et dur » alors que l’escalade est un nom plus généraliste
utilisé par les alpinistes et autres débutants dont le niveau
technique reste faible
J’ai même entendu certains « touristes » appeler un grimpeur (un
vrai),un escaladeur …
MDR!!!
Posté en tant qu’invité par Thierry:
alors que tout le monde sait qu’on dit un escalator
Posté en tant qu’invité par 1c+ après travail:
la varappe c’est l’escalade à la Suisse et l’escalade c’est la varappe à la française
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Sofie a écrit:
Euh…
Bicyclette, non ?
Oups…
Posté en tant qu’invité par Bob:
ça c’est bon comme explication, moi je note celle là !
bob
Posté en tant qu’invité par Francois:
S. d’O. a écrit:
La varappe c’est pour qualifier l’activité des grimpeurs « pur
et dur » alors que l’escalade est un nom plus généraliste
utilisé par les alpinistes et autres débutants dont le niveau
technique reste faible
J’ai même entendu certains « touristes » appeler un grimpeur (un
vrai),un escaladeur …
Et un faux, on appelle ça comment?
Posté en tant qu’invité par Ubu sur la butte:
La varappe c’est pour les monchus.
Posté en tant qu’invité par Francois:
Monchus toi-même!
Tu pourrais être poli!
Posté en tant qu’invité par biback:
varappe
est sauf erreur de ma part d’origine Suisse et sinnifiie escalade … :-]]
c’est aussi le non d’un couloir en rocher du coté de Geneve
Posté en tant qu’invité par oli974:
Bien joué! Nom suisse qui vient de ce même couloir rocheux.
VARAPPE, subst. fém.
VARAPPE, subst. fém.
ALPINISME
A. Vieilli. Couloir rocheux. L’ouvrage [Le Salève] est divisé en dix chapitres, consacrés successivement à l’orographie, à la géologie, à la littérature, à l’histoire, à la faune, à la flore et aux varapes désormais fameuses du Salève (R. alpine, no 10, oct. 1899, p. 298 ds QUEM. DDL t. 27).
B. Escalade de parois abruptes, de couloirs rocheux.
« Innombrables sont ceux qui ont fait au Riffelhorn leurs écoles de varappe, qu’ils aient pris le sentier râpé par les clous qui s’élève du lac, ou le couloir du Matterhorn » (PEYRÉ, Matterhorn, 1939, p. 162).
Faire de la varappe. ,Pratiquer les techniques de l’escalade de rocher`` (PETIOT 1982).
REM. Varappeur, -euse, subst. Alpiniste qui fait de la varappe. Un éboulement s’est produit dans les rochers de F., lieu fréquenté par les amateurs d’alpinisme. Deux varappeurs ont été écrasés par un rocher (Le Monde, 2 nov. 1966 ds GILB. 1971).
Prononc.: [ ]. Étymol. et Hist. 1. 1876 « réunion de jeunes ascensionnistes qui, les premiers, descendirent le ravin de la Varappe » (Au Foyer Romand, 1899, p. 184); 2. 1883 « couloir rocheux » (L’Écho des Alpes, p. 248); 3. 1896 « escalade de rocher » (ibid., nov. ds R. alpine, no 2, févr. 1897, p. 58 ds QUEM. DDL t. 27). Empl. comme nom commun de Varappe, nom d’un couloir rocheux du mont Salève, près de Genève.
DÉR. Varapper, verbe intrans. Pratiquer l’escalade de rocher, faire de la varappe. Un couloir-cheminée. Nous y varappons (R. BLANCHET, Au bout d’un fil, 1937 ds PETIOT 1982). [ ], (il) varappe [- ]. 1re attest. 1898 (Pt ROB. 1967); de varappe, dés. -er.
BBG. GEBHARDT (K.). Les Francoprovençalismes de la lang. fr. R. Ling. rom. 1974, t. 38, p. 192 (et s.v. varapper). QUEM. DDL t. 27 (et s.v. varapper).
Posté en tant qu’invité par biback:
je connais des grimpeurs « thesard » mais point trop en faut
Bravo pour les sources
Je reviens sur ce vieux sujet [*] ayant noté que certains contrats d’assurance (français) excluent des sports à risque à la fois « l’escalade » et « la varappe ». Ce qui laisse à penser que ce sont deux sports différents… Sinon, si c’était la même chose, on excluerait l’un ou l’autre, mais pas l’un et l’autre. Quelqu’un aurait-il des lumières sur la qualitification juridique de ces deux sports ?
En effet, en cas de litige, ce débat qui peut sembler tout à fait bénin, voire stupide, peut tout à coup devenir d’une très grande importance quand il y a derrière un enjeu financier qui est soit la compagnie paye si le sport était assuré, soit elle ne paye pas si le sport n’était pas assuré.
C’est donc tout sauf un débat purement sémantique.
[*] sujet que je m’excuse par avance de déterrer, mais cela m’a semblé mieux que d’en ouvrir un nouveau. Si ce n’est pas ce qu’il fallait faire, merci à un gentil modérateur de le déplacer
Sujet qui doit daté des débats du type alpiniste ou montagnard.
Il faudrait qu’un juriste en compagnies d’assurance réponde.
on ne dit pas faire de la varappe en salle, est-ce une piste ?
En Suisse, on dit « pantoufles de varappe », en France « chaussons d’escalade »!