Posté en tant qu’invité par nicolas:
Et oui, la difficulté pour les guides de l’UCAP, c’est de composer avec le groupe de stagiaire et tout ce qui les diffrerencie:
motivation, forme physique, niveau technique , autonomie, et ETAT d’esprit.
Que ce soit a Orpierre, a la Berarde ou au Monetier les guides m’ont toujours paru encourager l’autonomie et s’occuper de tous.
le cas décrit par maayt, je l’ai rencontré aussi a la Berarde:
j’etais un niveau un peu au-dessus en rocher, donc, pour la voie de plusieures longueur, le guide m’a envoyé en tete dans la variante plus dure alors que lui grimpait en sandale dans la voie d’a cote avec le groupe.
ainsi, je me suis juste fait des frissons, avec lui qui gardait un certain contrôle sur ce qui se passait.
Il m’avait auparavant envoyé au casse-pipe dans une voie équivalente à mon niveau de salle d’escalade: ouh la la, j’en avais ch… avant de m’adapter et de finir honorablement
Pour la grande course, il faut parfois s’accomoder des participants un peu plus faibles, mais a deux occasions, je les ai vu laisser un membre à mi-chemin pour que le groupe continue.
En résume pour le premier stage a la Berarde:
c’etait mes deux premieres courses, donc j’ai principalement suivi en second un gars plus fort, c’etait plus le sommet qui etait important.
pour le deuxieme stage au Monetier (Ecrins 4000), la course techniquement etait facile, mais j’ai été plus mis en position de me prendre en charge (c’etait a mon tour d’etre premier de cordée).
Enfin, je ne connais pas le Club Med, mais je doute qu’il organise des courses telles que La tete des Fetoules (1700m de deniveléé) pour des débutants, ou les Ecrins depuis le refuge du Glacier blanc (1500m) ou la traversée du Pelvoux