Hello!
Comment sont les conditions au mois de juin au Népal, plus particulièrement du côté Gokyo, Island Peak, Khumbu ainsi que du côté Annapurnas? Je sais bien que les meilleures périodes sont avril-mai puis l’automne, mais juin, ça passe encore?
Hello!
Comment sont les conditions au mois de juin au Népal, plus particulièrement du côté Gokyo, Island Peak, Khumbu ainsi que du côté Annapurnas? Je sais bien que les meilleures périodes sont avril-mai puis l’automne, mais juin, ça passe encore?
Mousson : pluie, sangsues, glissements de terrain, sommets dans la crasse, …
Dès le mois de juin?
Le mieux pour ce que tu veux faire: printemps et automne. Pour l’automne pense que la mousson peut s’attarder et qu’en cas de plafond nuageux bas, ben pas de vol entre Kathmandou et Luckla.
Bonne balade.
David_
Posté en tant qu’invité par shiva:
Personnellement, j’ai été me balader dans les montagnes du Népal au mois de septembre, principalement dans la région de l’annapurna. Les conditions sont plus ou moins similaires qu’en juin, ce qui veut dire qu’il pleut beaucoup, et que la vue est souvent bouchée. Beaucoup de gens déconseille ces périodes « hors-saison », mais elles ont à mes yeux d’énormes avantages : personne sur les chemins, liberté totale, guest-houses vides et prix en baisse (tu payeras juste ton dhal bhat, et si tu tu débrouilles les guest-house te laisserons dormir à l’oeil - pour peu que tu manges chez eux). Après oui certes il y a la boue et les sangsues, mais franchement si tu achète l’huile spécifique sur place (il y en a au bureau de la KEEP de Katmandou, tu y passeras surement si tu organises ton trek seul) c’est vraiment un détail. Pas de vue sur les sommets ? peu importe, quand ils se dévoileront enfin ce sera majestueux tant tu auras attendu ces moments…
Avec un peu de courage, de temps (oublie les avions et sois patient dans les bus) et en choisissant bien son itinéraire (certains cols sont impassables durant la mousson), ça ne pose pas de problème. Les treks hors-saisons te donneront un meilleur aperçu de la vie népalaise que lors d’un rush des français et des coréens en octobre, ou des australiens et des japonais en mai…
Tellement tentant… Il FAUT que j’y aille, c’est comme un appel.