Trek Ladakh avis

Pour info, ouverture d 'une parenthèse :
Les conséquences du réchauffement climatique au Ladakh, avec reportage sur les coulées de boues de 2010

En résumé, pluies torrentielles en été, fonte des glaciers, rareté de l’eau de source, rareté de l’herbe pour les troupeaux … Refus de ne devenir qu’une destination touristique pour les occidentaux (comparaison avec un zoo qu’ils viennent visiter) et volonté affirmée de diversifier leurs activités de développement en particulier dans l’agriculture.
Arte replay jusqu’à mardi prochain.

Fermeture de la parenthèse.

Voilou

C’était bien ça?

C’est marrant, sinon, que lorsque des masses de touristes viennent voir des monuments religieux ou autres en France, ou en Italie, et accessoirement voir comment on vit, nous observer, on ne parle pas vraiment de zoo.
Sinon les Camps-Elysées un zoo donc? Rome aussi?

Bref présence de touriste=transformation des lieux en zoo?

Et à part le tourisme il y a quoi à développer dans ce désert d’altitude qu’est le Ladakh?
A part l’exode rural des jeunes qui n’ont vraiment pas envie de vivre comme leurs parents.
A part de potentiels heurts communotaro-religieux à cause de la présence de musulman qui augmente?
A part une présence encore plus accrue de l’armée vu que les cocos de Pékin jouent à la provocation dans l’Aksai Chin?
A part la découverte de gisement de je ne sais quel minéral ou hydro-carbure?

En tous cas les avis des pélots qui tiennent des agences de treks, hotels, restos à Leh divergent peut-être avec ces reflexions sur la préservation des lieux et donc ne pas devenir une destination touristique que la Ladakh est déjà de fait, non?
Et n’y a t-il pas un violent conflit culturel à l’intérieur de cette province? Entre jeune et plus agée, entre citadin et ruraux, entre hommes et femmes?

Je ne sais pas bien, je pose des questions, mais je ne pense pas que ces questions-là soient un luxe.

Intéressant car loin de la carte postale et surprenant par les propos de locaux, entre autres, un jeune cinéaste, d’origine paysanne. Tiens, je vais me le remettre en mode radio.