Tibias douloureux

Posté en tant qu’invité par Mauris:

Pour tous ceux qui souffrent des tibias dans les chaussures de randos j’ai trouvé des sortes de plaques molles qui se mettent sous les chaussettes. Il est possible de les laver et c’est miraculeux (si si).On trouve ces merveilles chez « Winner » ex technicien du sport à Anemasse et cela se nomme « epitact »
Anne

Posté en tant qu’invité par Yannick:

Merci Mauris pour l’info !
J’ai effectivement trouvé ca au Twinner d’Annemasse.
C’est pas donné (29€) mais tres efficace et semble etre utilisable une trentaine de fois.
donc à 1€ la sortie pour avoir beaucoup moins mal aux tibias, il ne faut pas hesiter !

Yannick

Posté en tant qu’invité par Navigator:

Une autre semelle épatante pour éviter les « tibias douleureux » (médicalement c’est le plus souvent une périostite touchant la face antéro-interne du tibia - à moins que cela soit un ostéocarcinome) est la Sorbothane. C’est un absorbeur de choc vraiment efficace mais pas donné non plus… Existe en semelle complète et talonnette.

Une périostite peut s’éviter préventivement en utilisant des semelles adéquates. C’est lorsque le pied n’est pas stable latéralement lors de la marche ou de la course que les périostites apparaissent. Rien à voir avec le laçage ferme ou non des chaussures… Les chausseurs sportifs professionnels effectuent des mesures anthropométriques des angles de flexions maximales des diverses partie de l’articulation composant la cheville (c’est une mortaise). Ils testent aussi la démarche en utilisant un tapis roulant et une petite caméra située à hauteur du pied. S’il y a un mouvement latéral de la cheville lors de la démarche, on peut corriger celui-ci en combinant le bon modèle de chaussure à choisir par demi-pointure et par pied avec des semelles correctrices types…

Une telle conscience professionnelle se rencontrant de plus en plus rarement chez les vendeurs de godasses, les semelles absorbeuses de chocs sont une alternatives intéressantes à ne pas négliger. Parce que se taper 20 bornes avec une périostite, c’est carrément galère…