Tarte aux myrtilles

Posté en tant qu’invité par Philippe:

Merci pour les recettes!
Je me doutais qu’il fallait mettre les myrtilles avant la cuisson (je prefere les tartes aux myrtilles cuites que crues), mais a la cuisson ne rendent elles pas trop d’eau?
Pour la tarte aux framboises, je couvre les fruits d’un sirop a la framboise dans le quel j’ai mis des feuilles de gelatine. Dois-je faire de meme pour la tarte aux myrtilles?
Quant a la pate feuillete, je la reserve pour les tartes aux pommes ou des tartes salees: quiche aux poireaux et saumon fume par exemple.

Pour terminer une bonne adresse pour des tartes aux framboises: la patisserie de Saint Nizier du Moucherotte (pres de l’eglise)!

Philippe

Posté en tant qu’invité par Francois:

strider a écrit:

Une fois ta crème de marron préparée et bien fraîche l’astuce
gourmande est de la laisser au fond d’un bol. Puis tu mets par
dessus des noissettes de crème fraîche entière (surtout pas
allégée!) et au lieu de mélanger avec ta cuillère tu fais en
sorte d’avoir moitié crème fraîche pure et moitié crème de
marron et là c’est l’alchimie en bouche…tout à fait
irrésistible…

Ouais, Strider! super! Je fais pareil! Mais des noisettes, c’est un peu juste. Moi, je mets carrément la moitié du pot de crème. Le point important, c’est bien de ne pas mélanger, comme tu le soulignes.
Seulement, quand je fais ça, j’ai des réflexions…

Posté en tant qu’invité par Fr@nçois:

non ça rend pas trop, pour y remèdier tu peux mettre un peu de farine sur le fond de tarte juste avant d’y déposer les myrtilles.Ne pas rajouter de sirot+gelatine, ça casse le goût du fruit frais .Huuuummmm! tiens si j’allais me faire une tarte pour mon 5h…

Posté en tant qu’invité par Fr@nçois:

pour les myrtilles j’ai juste ce qu’il faut pour le long hiver qui se prépare, quand au génépi j’en ai pas, alors je suis preneur.
Pour la pâte feuilleté j’ai pas essayé la recette, mon problème, je n’aime pas les pâtes du commerce, je les fait moi même et la feuilleté c’est long et difficile à réussir.

Posté en tant qu’invité par Ai@ce:

NicoG a écrit:

1/ éplucher la peau extérieure
2/ faire cuire les châtaignes
3/ les garder au chaud et éplucher la peau intérieure (c’est
beaucoup plus facile si les châtaignes sont chaudes)
4/ passer au moulin à légumes, ajouter du sucre et faire cuire
la confiture
ajute aussi un branche de vanille (une pour 1,5 kg de melange de châtaignes) coupee en morceaux de 1 cm.
Mis la confiture (crème de marrons) dans les pot et adjute un cuir de rhum avant de le serrer avec son bouchon.
Resultat delicieux garanti.

Ai@ce

PS
Que tu connais la regle pour la consistence de la creme?

Posté en tant qu’invité par echodelamontagne:

Chouette j’ai plein de nouvelles copines

Posté en tant qu’invité par jerôme:

Boa… j’ai tout essayé pour les chataîgnes, mais ça reste dans tous les cas beaucoup plus long à décortiquer que les noix ou les noisettes… En plus après j’ai fait 3litres de soupes potirons/chataîgne, et bof, je trouve pas ça top, et maintenant vu le mal que je me suis donné, il me faut bien la manger!
Bref cette année, déception avec les chataîgnes.
Je vais me rabattre sur le pain d’épice cette hiver, et le coing : confiture coing-orange-cardamone, je vous fais un retour 1 de ces 4!

Posté en tant qu’invité par casscroot:

Ben jérôme, pourquoi tu nous parles pas de ta passion pour la crême de marrons?

Posté en tant qu’invité par Philippe:

Non la pate feuilletee n’est pas difficile a faire, elle demande simplement du temps. Je peux t’envoyer ma recette. Merci pour ton astuce a propos de la farine sous les myrtilles. Je vais essayer ca bientot.

Posté en tant qu’invité par Fr@nçois:

oui envoi je suis impatient d’essayer.

Posté en tant qu’invité par philippe:

recette pate feuillete:

ingrediants:

  • 250 g de farine
  • 175 g de buerre bien ramolli. Personnellement j’en mets beaucoup moins
  • sel et un verre d’eau

temps de cuisson: 30 mn thermostat 7/8

1- faire une boule de pate avec la farine, l’eau et le sel sans trop la travailler. Mettre l’eau progressivement pour eviter de trop en mettre. Si la pate colle un peu ce n’est pas grave, bien au contraire. Laisser la pate reposer dans le refrigerateur 1/4 h sous un linge.
2- etaler au rouleau la boule de pate, plus ou moins en carre, sur le plan de travail prealablement farine. Tartiner celle-ci avec tout le buerre et rabattre ses 4 coins vers le centre.
3- etendre cette pate en lui donnant la forme d’une bande longue et reguliere. Pliez cette bande, en rabattant un des bouts vers l’interieur et ensuite l’autre bout par dessus de facon a ce qu’ils se superposent parfaitement. Faire pivoter sur lui meme le « carre » de pate d’ 1/4 de tour, etaler a nouveau la pate et replier la comme expliquer ci-dessus. Laisser a nouveau reposer la pate au frais (refrigerateur).
4- repeter les gestes de l’etape precedante 3 ou 4 fois en laissant toujours la pate reposer 10 a 15 mn au frais et sous un linge.
5- etaler la pate sur une feuille de papier sulfurise et deposer le tout au fond d’une tourtiere.
6- piquer la pate et la garnir a sa convenance.
7- enfourner dans un four bien chaud et cuire 30 mn

C’est long parce que la pate doit reposer 15 mn entre chaque manipulation, mais le travail en lui meme ne l’est pas et reste tres simple. Resultat des tartes et tourtes plus fines (au gout) et legeres qu’avec une pate brisee.

Qui aurait une recette de tarte aux noix, les myrtilles sefont rares ou cheres! merci

Posté en tant qu’invité par pierre:

Bon, écartons l’accessoire et le contingent : je veux parler de la recette du fond de tarte. De toute façon, le sujet a été déjà -bien- traité, et puis s’intéresser trop à la pâte serait commettre la même faute de goût que celle consistant à davantage s’intéresser au soutien-gorge de votre petite amie qu’à ce qu’il contient (Je fais confiance aux filles de C2C pour trouver une réciproque convaincante).

Non, le réel problème est de valoriser les myrtilles … Je vous propose la manip suivante :

  • Saupoudrer LEGEREMENT les myrtilles de sucre. Comme vous aurez pris la précaution de les placer dans un plat de taille suffisante, c’est avec un preste mais délicat mouvement du poignet que vous répartirez le sucre à la surface des fruits en mobilisant le récipient. L’utilisation d’un cuillère (fût-elle en bois de châtaignier, d’olivier, ou en carbone kevlar), est totalement proscrite, au risque d’écraser ce qui fait l’objet de toute votre attention. Laisser reposer qq. heures.
  • Recueillez avec soin le sirop obtenu, réserver les myrtilles au frais. Désormais une alternative s’ouvre à vous :
    • Simplement rouler les myrtilles rafraîchies dans le sirop que vous aurez fait tiédir (par exemple qq. seconde au µ-ondes). Répartir sur le fond de tarte, servir immédiatement. Il faut cependant être conscient que la quantité de sirop est souvent insuffisante, et que les cristaux de sucre encore présents donnent au résultat un croquant contestable.
    • Allonger le sirop, puis le réduire à feu TRES doux (Attention de ne pas donner un goût de caramel en chauffant trop!), jusqu’à obtention de l’onctuosité souhaitée. Certains peuvent ici rajouter une cuiller à soupe de qq. chose (un bon Armagnac peut faire l’affaire). Je récuse de telles pratiques extrémistes, mais ne nous voilons pas la face : elles existent. Puis rouler les fruits rafraîchis dans le sirop, etc.

So what ? Et bien vous aurez obtenu le résultat suivant : un fruit au goût sauvage entièrement respecté (dont la perception subjective est renforcée par une température fraîche), nappé par une préparation tiédie, qui en concentre les arômes, les adoucie, les humanise. On en connaît, et j’en fais partie, qui ont entièrement perdu la raison dans une telle tautologie.
Et l’on voit que la seule question que l’on doit se poser devant une tarte aux myrtilles est la suivante :

  • L’homme a-t-il inventé la culture pour délimiter, circonscrire en en définitive contenir la nature, parce qu’elle l’effraie, en somme.
  • Au contraire, ne percevons-nous la nature que par contraste avec nos inventions culturelles, agissant comme révélateur d’une irréductible altérité ?

Le temps de répondre à ça, je crains qu’on vous ait piqué votre part de rab…

Posté en tant qu’invité par Francois:

Hein?

(Réponse lapidaire. Et ma part de rab?)

Posté en tant qu’invité par catherine:

j’adoooorrre les recettes de cuisine de C2C, avec mention spéciale à Pierre :slight_smile:

dis François si tu nous faisais un texte sur le clafouti aux pommes (et à la cannelle) ?

Posté en tant qu’invité par NicoG:

Oui, comme ça Catherine pourrait mettre en pratique et nous inviter sur les hauteurs de Belledonne pour qu’on puisse donner notre avis en connaissance de cause.

Nicolas

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

dis François si tu nous faisais un texte sur le clafouti aux
pommes (et à la cannelle) ?

un p’tit topo (ben ouais on est sur c2c!) sur son omelette à l’échalotte ne me déplairait pas.

Posté en tant qu’invité par Francois:

Eh bien, Michel, mon omelette à l’échalotte semble t’avoir laissé une profonde impression, et durable (du rab?)

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

Eh bien, Michel, mon omelette à l’échalotte semble t’avoir
laissé une profonde impression, et durable (du rab?)

j’en bave encore!
Et, absolute compliment, normalement, j’aime pas les omelettes! D’ailleurs la dernière que j’ai mangées c’était à Lake Louise! Les autres soutiendraient pas la comparaison!

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Pour ma part, je fais une pate sablee, dessus je met une couche de jaune d’oeuf avec du sucre et du lait, ensuite une couche de myrtilles et ensuite une couche de blancs montes en neige (pas trop fortement).

Ca fait un gateau sympa et meringue sur le dessus.

Alexis

Posté en tant qu’invité par Mahimary:

Comme vous, je me suis toujours cassé la tête à d’abord éplucher la première peau épaisse des chataignes, faire bouillir les chataignes et enlever la 'stie de caline de 2ème peau avec le couteau… Très, trop long. et puis chiant! Mais la crème de chataignes maison c’est tellement bon…

Et puis, on m’a donnée ce truc qu’il faut que je teste avec les chataignes qui m’attendent dans mon panier :
Il faut faire bouillir les chataignes avec les 2 peaux assez longtemps pour qu’elles soient bien cuites à l’intérieur et ensuite, les couper en deux et y aller carrément à la cuillère pour récupérer la chataigne.
Bon, c’est une technique où il y a beaucoup de pertes, mais les chataignes, y a qu’à se pencher pour en ramasser cette année!