Suis je le seul à qui ça arrive?

Posté en tant qu’invité par laurent P.:

Plusieurs fois, lors de courses , soit par la fatigue (souvent) ou par le taquet ou avec plus d’eau dans la gourde !!!, je n’arrive plus vraiment à controler mon sang froid, et là je me retrouve à etre suffisamment mal pour avoir envie de vomir, bref dans ces instants, un dégout d’etre là où je suis… suis je le seul à qui ça arrive ?
évidemment qd je retrouve le plancher des vaches…j’ai plus de probleme (j’ai 39 ans pour info)

Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:

crise d’hypo ? ça peut filer la nausée ds certains cas assez « poussés »

Posté en tant qu’invité par Phil:

Mal aigu des montagnes? Le mal d’altitude peut intervenir assez bas (ça dépend des personnes, et peut même varier selon la forme, l’acclimatation) Le froid, la faim, la fatigue, la déshydratation (et l’altitude!) sont des facteurs qui interviennent dans l’apparition de mam

Posté en tant qu’invité par Phil:

Phil a écrit:

sont des facteurs qui

interviennent dans l’apparition de mam

DU mam, pardon. Les facteurs qui interviennent dans l’apparition DE mam, c’est la proximité de Chirac.

Posté en tant qu’invité par laurent P.:

je crois pas que ça soit un mam, j’ai d’ailleurs aucun souci de quoi que ce soit style migraine ou autre, ça se passe plutot dans des cas où j’en ai marre, je suis nase, ou j’en vois pas le bout… la fatigue…

Posté en tant qu’invité par Charles:

Ca arrive très souvent d’être nauséeux après un effort physique violent . Si en plus, au même moment ,tu es dans une position de stress (en montagne ce ne sont pas les situations qui manquent !) tu perds vite effectivement toute forme de lucidité . Dans ce cas , tu as tout intérêt à t’arrêter un moment , histoire de te refaire la cerise en bouffant , buvant , et analysant la sitution. Se lancer plus en avant risquerait de t’embarquer dans une aventure que tu pourrais regretter l’instant d’après .
Sûr que dans ces cas là , on se demande qu’est ce qu’on vient foutre dans cette galère ,alors qu’on serait si bien à la maison avec bobonne et les enfants!

Posté en tant qu’invité par Paul G:

Je pense que c’est du à effort violent + stress.
Peut-être que tu pourrais te faire + plaisir avec - de stress dans d’autres itinéraires ?
Tu enlèves le stress, tu gardes l’effort. Qu’est-ce qui reste ?
Le plaisir.
Parfois, une belle rando sans risque vaut mieux qu’un couloir scabreux et exposé…

Posté en tant qu’invité par Pof:

Rassures-toi, çà m’est arrivé aussi et çà s’appelle le stress qui est plus ou moins fort selon les individus. C’est souvent à la suite d’une nuit très courte et agitée avant la course et d’un manque de condition physique pendant la course qui crée cette angoisse et les pensées du style je n’y arriverai pas. Ou bien effectivement on s’arrête, on se restaure, on se détend et souvent cette baisse de moral s’estompe, où bien il vaut mieux redescendre si c’est moins compliqué que de sortir par le haut.

Posté en tant qu’invité par quentin:

Ca peut etre l’ hypoglycemie, la deshydratation, voire l’ epuisement qui entraine des manifestation psychologiques inhabituel. au dela de ca il m’ arrive parfois d’ avoir un coup de flip dans un passage tendu ou apres avoir pris des risque evaluer qu’ a posteriori. L’ etat physique a une forte influence sur le comportement psychique et ca apparait en montagne car c’ est une des activité dans laquelle le raisonement et la conscience sont fortement sollicitées. salut

Posté en tant qu’invité par laurent P.:

ça doit etre le syndrôme des 40 piges !! :wink:

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

. Dans ce cas , tu as tout intérêt à t’arrêter un moment ,
histoire de te refaire la cerise en bouffant , buvant , et
analysant la sitution.

Charles a tout à fait raison! Récemment j’ai vu un bayonnais d’adoption, pris de panique au sommet du pic d’Ohry en pleine bourrasque, redescendre sous la crete sommitale pour siffle un litron de vin basque et se remettre d’aplomb!! ;o)

Posté en tant qu’invité par Charles:

Voilà , c’est exactement cela :
C’était le stress d’être pris pour une palombe par nos amis chasseurs . Le risque d’être troués comme une vulgaire passoire était grand . Le courage nous manquait , mais un litron d’Irouleguy et quelques tranches de jambon de Bayonne plus tard, nous pûmes alors traverser en toute sérénité la vertigineuse crête de Zazpigana . Nous rejoignîmes le sommet de l’Orhy par une tempête quasie himalayesque . Les vautours nous observaient interloqués tandis que les chasseurs nous acclamaient au retour .
J’aurai même entendu dire qu’un polytechnicien de Zurich , après cet exploit , se serait retiré en toute hâte dans les Grrrrrrrrisons pour méditer sur la triste condition du chasseur privé de palombes pour cause de vent du sud . Il serait même en train d’entamer une nouvelle thèse .
Si d’aventure vous le croisez dans son hermitage , n’oubliez point de lui amener une bouteille de GVT .
;-D

Posté en tant qu’invité par laurent P.:

pas trop mon truc le litron !!! :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par Ubu sur la butte:

DU mam, pardon. Les facteurs qui interviennent dans
l’apparition DE mam, c’est la proximité de Chirac.

Ou la révocation d’un barbouze au retour de Côte d’Ivoire.

Posté en tant qu’invité par fafa92:

salut,
t’inquiete c’est le genre de situation que je connais depuis que je fait de la montagne(et cela fait un bail), je suis toujours aussi stressé, meme dans des courses dites facile, je pense que c’est la façon qu’a trouvé mon corps pour rester au top de la concentration meme si je trouve cela penible, voire meme trés penible car ça peu me gacher la journée, mais bon j’ai appris à faire avec et je peu meme te dire que cela m’a servi à me sortir de situation critique.
si tu veu plus d’infos, n’hésite pas.
cordialement
fabrice