Posté en tant qu’invité par Antoine:
Les noyaux c’est pas mal, mais la cascade grade 6 alors là, chapeau bas…
Admettons que tu fasses
une cascade en 6 qui te sembles extrême
Posté en tant qu’invité par Antoine:
Les noyaux c’est pas mal, mais la cascade grade 6 alors là, chapeau bas…
Admettons que tu fasses
une cascade en 6 qui te sembles extrême
Posté en tant qu’invité par Thierry:
Zébulonne a écrit:
Thierry, lis mon message plus haut.
je viens de le lire
L’extrême est avant tout une notion relative
ha, enfin quelqu’un qui réagit à la subjectivité de cette notion (c’est pour ça que j’insistais sur la question, je commençais à me dire…)
donc nous somme à peu près tous d’accord pour dire que le terme est mal choisi, ou qu’il a sa place dans des médias plus généralistes type Voili Voila Match
Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:
le plus dur, c’est de cracher le noyau du haut de la cascade. parce que avec le foid et les gerçures, ça rend pas l’exercice facile.
en plus, qu’est-ce que t’as l’air d’un con quand tu cries « NOYAUX !! » à la cordée du dessous !
;o)
Posté en tant qu’invité par Zébulonne:
3 mètres!! T’es vraiment trop nul!! Hallucinant même ;o)
Un peu facile ta réponse mais il est vrai que lorsque l’on n’a plus d’arguments valables…
Le fameux « truc » que j’ai fait, je n’ai pas envie de l’étaler comme de la confiture Mister, t’oserais plus repointer le bout de ton nez avec ta cascade en 6 ;o)
Tchô mec
Posté en tant qu’invité par eude:
Zébulonne a écrit:
Le fameux « truc » que j’ai fait, je n’ai pas envie de l’étaler
comme de la confiture Mister, t’oserais plus repointer le bout
de ton nez avec ta cascade en 6 ;o)
Ah oui, parce que là tu t’étale pas ?
Posté en tant qu’invité par Zébulonne:
Oui, Bob, pour 99% des gens, c’est extrême, pas pour les 1% restant. Donc peut-on, à partir de là, décréter que cette épreuve peut être, unanimement, reconnue comme « officiellement extrême ». Non, quels critères pourrait-on alors mettre en exergue? La dénivellation? le kilométrage requis? la période choisie? Non, impossible de normaliser. On peut dire, plus humblement, que c’est une épreuve difficile, mais ans poser le mot « extrême ».
Posté en tant qu’invité par Zébulonne:
Exactly Thierry! Explique à P’tenbenqoui avec qui j’ai du mal…
Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:
le problèmes n’est pas d’avoir des arguments ou pas, étant donné que tout le monde est d’accord pour dire que la notion d’extrème est une notion « extrèmement » subjective. d’ailleur, fallait il autant de messages pour arriver à cette évidence ?
la seule chose que je voulais exprimer, c’est que l’alpinisme « de masse » n’est pas forcément l’activité qui offre le plus de situations facilement apréhendables par la majorité de la population comme étant des pratiques « extrèmes ».
vu que le coté « j’ai fait un super truc que je veux pas dire comme ça mais j’adorerais que qqun me le demande » de la fin de ton message m’a fait sourire, j’ai préféré (essayer) de sortir du thread par un poil d’ironie plutot que de rester ds un débat qui s’enlise…
a+, david.
Posté en tant qu’invité par eau de vie:
allez, j’ai vraiment du temps à perdre aujourd’hui
pour moi sport extrême est une expression consacrée qui regroupe un ensemble de sports où la prise de risque est un critère recherché : ex bob qui descend de chamrousse en skate ;-), le ski de pente raide ou de vitesse, en mer les surfeurs de vagues géantes, base jump etc. Les trails ne rentrent pas de cette catégorie pour moi : il y a des médecins et des kinés sur le parcours, tu risques au pire un gros coup de pompe, de te défoncer les genoux mais tu peux arrêter à tout moment sans danger (le trail n’est pas de la survie non plus), chose impossible quand tu viens de t’élancer dans le vide du verdon…
derrière l’extrême il y a un facteur chance ou malchance que tu ne maîtrises pas et qui fait l’intérêt du truc, qui déclenche cette poussée d’adrénaline recherchée.
je ne pense pas que le quidam moyen considère le marathon comme un sport extrême, alors que le base jump si. Mais bon ça reste subjectif tout ça
Posté en tant qu’invité par Thierry:
je dirais même plus
en fait la subjectivité de cette notion aboutit à ce que ce sont les gens qui ne connaissent pas les sports dont ils prétendent vouloir parler qui les qualifient d’extrêmes, simplement parce qu’ils leur paraissent impressionant ou sont peu courants.
Par exemple un ultra-trail du Mont-Blanc ne peut que paraitre extrême à un « sportif devant la télé », ce dernier n’envisageant même pas que lui aussi pourrait éventuellement en être capable.
Enfin comme d’hab, tout dépend du référentiel dans lequel on se trouve.
Ceci dit je n’aime pas qu’on qualifie d’extrême mes activités (alpinisme, parapente), je trouve cette connotation péjorative. Certaines pensées idéologiques sont beaucoup plus extrêmes, par exemple.
Posté en tant qu’invité par Jojo:
Pour moi le mararhon n’est pas un sport extème il y a des choses beaucoup plus risquées et bien plus extrème comme ranger mes chaussettes.Comme la si bien dit l’écrivain ci dessus on peut abandonner quand on veut alors qu’arréter une chute de base jump en métant pause sur le magnétoscope est beaucoup plus difficile.
Bon marathon à tous quand même!!
Posté en tant qu’invité par jc:
Vouloir définir précisément le mot (activité ou sport) « extrême » est en soi une quasi- impossibilité puisque le mot renvoie « hors des limites » de l’habituel: habituel pour moi, pour toi, pour eux, pour « le Français moyen » - tiens encore une notion fluctuante et sujette à débat!.. c’est comme « les territoires touristiques »: je te prends un mot et j’essaie de lui faire correspondre une réalité: le mot crée la soit-disant réalité qui lui correspondrait… exercice vraiment difficile, je le côte donc « ED »…
Posté en tant qu’invité par eau de vie:
wouarf, écrivain, se dit d’un type qui écrit ? alors j’en suis
bon en fait le marathon est extrême pour moi, je vais si vite qu’un arrêt subit peut m’être fatal : perte d’équilibre, chute, glissade sur plusieurs mètres dues à une vitesse excessive, fracassage de crâne contre une borne kilométrique, aïe.
Posté en tant qu’invité par eau de vie:
mmmh, on peut pinailler longtemps sur les cotations, j’aurais plutôt mis abo
Posté en tant qu’invité par jc:
meuh non, à cette vitesse, c’est la borne qui explose, pas ta tête…
Posté en tant qu’invité par Bubu:
vu que le coté « j’ai fait un super truc que je veux pas dire
comme ça mais j’adorerais que qqun me le demande » de la fin de
ton message m’a fait sourire, j’ai préféré (essayer) de sortir
du thread par un poil d’ironie plutot que de rester ds un débat
qui s’enlise…
Je ne vois pas ce que Lise à avoir là dedans. (je ne m’enfoncerai pas plus, quoiqu’avec Lise, ça peut devenir assez extrème…)
Posté en tant qu’invité par eude:
avec tout ça, c’est Raphaël qui va être bien avancée.
Posté en tant qu’invité par Bob:
ben moi extrème au pas m’en fou, je continu de vivre ma vie et mes activités qui sont ou ne sont pas extrème …désolé Raphael si tu t’y retrouve chapeau…Bob
Posté en tant qu’invité par Francois:
Pffff…on en a déjà parlé cent fois, de ce truc là.
L’extrême, c’est un fourre-tout où on met n’importe quoi. Ca sert surtout aux journalistes pour faire de l’Audimat.
Posté en tant qu’invité par laouvalindien:
Sports extrêmes (Petit Larousse) :
Activités sportives où le danger est associé à un effort physique intense, à la limite des capacités humaines.
D’après cette définition, on peut exclure le base jump (pas d’effort physique intense, et pas à la limite des capacités humaines), exclure aussi le marathon (pas à la limite des capacités humaines, cf les courses de 100 kms), et énormément d’autres sports…
Reste des trucs comme l’escalade en solo dans des voies hyper difficiles, nager 50 kms au milieu de requins mangeurs d’hommes… Vous en voyez d’autres ?