Posté en tant qu’invité par Swiss Marmotte:
La solidarité…
Je suis tout à fais d’accord avec Thomas.
Par exemple le week-end passé avec un ami on était pas super rapide sur une arête et nos deux copains « de cordée », dont l’un qui connaisait la descente, son partie loin devant et une fois au sommet il nous on appeler avec leur portable (nous on pensais être à 45min-1h du sommet) "hé les gars j’me fais du soucis pour vous, il est tard et d’ou vous êtes y’a encore deux bonne heures jusqu’en haut, j’vous propose un échapatoir par rapel mais j’sais pas si ça passe, à vous de voir sinon faudra sûrement appeller l’hélico car la descente de nuit c’est craignos… " !!!
Super… merci. On a vraiment aimer ! Il aurait pas été plus judicieux de nous attendre ou au minimum de nous encourager ?
L’échapatoir c’était juste la voie la plus direct pour appeller l’hélico et même j’sais pas si on aurai encore été en vie pour pouvoir l’appeller ! Bref… après avoir perdu du temps bien précieux, on à finalement décider de monter au sommet et on y était 1h après, sans regret. En plus la descente c’était vraiment facile, même de nuit sa aurai été simple, on a vu pire…
Sinon un autre exemple ou on était que deux:
Sur le chemin du retour d’un week-end de trois jour, on à été surpris par le mauvais temps. Il fallait rentrer et on à pas trop réfléchit, bref… en plein brouillard, sous la pluie et avec le vent, puis la neige en haut du col, on était geler et à l’époque « débutant » et mal équiper ! La totale ! Il restait de plus en plus de névés qui étaient très mauvais et au pied d’une traversée exposée on à rapidement dicuter pour décider qu’on allais tenter, jusqu’ici tout vas bien. Les traversée sont casse geule, et mon copain tout d’un coup sans discuter me dis « je fais demi tour ! » Soudain pris par le peur je n’ose plus bouger. J’essaye de le persuader de rester avec moi et qu’il falllais évaluer la situation et soit continuer la descente ou appeller les secours, il veut rien savoir et les minutes passe et il s’éloigne, carte à la main en me geulant les coordonées, si jamais. Mes pieds déjà bien geler sont figer et j’suis inccapable de repartire le rejoindre. Que vas t’il se passé pour lui ? Punaise je suis seul ici pas à l’abris du tout ! Que faire ? J’ai fini par appeller les secours qui sont rapidement arriver, ouf. Mon « copain » à été récupérer plus haut. Quel ambiance…
Voilà mes petite éxpérience de solidarité.
A+