Posté en tant qu’invité par Le Corse:
100% d accord avec Valerie, en montant sur le bord des pistes, et non en zigzagant sur la piste, je vois pas ou est le probleme ?!
Ski de rando interdit sur piste de ski
Posté en tant qu’invité par Le Corse:
Les stations envahissent de plus en plus la montagne, il n y a qu a voir au col de la croix de fer ou l extension de la station a massacre ce secteur…
si les stations continuent a grossir et s ils interdisent en plus leur domaine aux randonneurs, notre terrain de jeu va sacrement diminuer 
Posté en tant qu’invité par flo:
Va voir le sujet « damage au câle » ça modérera peut_être ta réactivité…
Posté en tant qu’invité par pierrrot:
pour chamrousse c’est de l’intox car il suffit de se mettre en relation avec M.LADVIE directeur de la S.A.C pour avoir confirmation.Travaillant sur ce site je n’ai jamais eu d’information dans ce sans.
Posté en tant qu’invité par Charles:
Dis donc Pierrrrot tu serais pas des Grisons par hasard?
Charles
Posté en tant qu’invité par capitaine IGLOO:
Bonjour cher camarade
je suis chasseur alpin depuis 27 ans autant dire que en service ou perso je ne compte plus les dénivellés mais je souhaite néanmoins réagir à l’aspect « ridicule » de monter le long des pistes.Dans notre situation il est obligatoire de commencer une scéance de ski alpin par un échauffement. C’est la raison pour laquelle nous en profitons pour combiner les deux et nous entrainer physiquement.Ensuite j’en suis déjà à deux passages sous avalanches et je suis vivant,j’apprécie donc énormément de pouvoir continuer ma passion au bord des pistes lorsque le domaine est en mauvaise condition. Maintenant pour perfectionner nos personnels en ski hors piste quoi de mieux que de monter et descendre au bord des pistes avant de les lancer dans la « peuf ».
Maintenant je pense que l’on peut pratiquer la rando en main courante d’une station sans gener les clients et sans couper une piste ou sinon en prenant des distances et en étant vu de loin par les skieurs . La discipline devient bientôt pire qu’à l’armée et on ne parle plus que d’« INTERDITS ». Dommage !