Posté en tant qu’invité par Akelempi:
Top.
Je me souviens en avoir bavé pour une de mes première sorties aux montagnes de Lans… Quand j’aurai progressé, je viendrai te faire un ptit coucou
Posté en tant qu’invité par Akelempi:
Top.
Je me souviens en avoir bavé pour une de mes première sorties aux montagnes de Lans… Quand j’aurai progressé, je viendrai te faire un ptit coucou
si tu veux, tu va en faire beaucoup?
qui ça ?
Le nom me rappelle plus!, mais je suis sûr que c’est ici.
et toi tu le sais?
Posté en tant qu’invité par Akelempi:
Ben moi!
Comme bcp, je bosse la semaine, alors à part qques congés et artt par ci par là, c’est plutôt le we. Pour progresser je vais essayer une bonne session 1 fois par semaine, plutôt le we…
Posté en tant qu’invité par Akelempi:
Désolée, j’avais mal lu
Vous parliez de celui qui a inventé le skating. Balaise, quand même!
Oui,
au début tu va passer du temps au même endroit sur du plat, mais si tu avances bien tu risques d’aller ballader rapidement.
Et tu peaufineras le style au fur et à mesure.
Tout un art quand c’est bien fait, le geste est beau!
surtout que tu fais du ski de rando, donc je ne me fait pas de soucis!
non , mais je doute qui y ait « un inventeur » , il me semble qu’on pratiquait déja le demi pas de patineur depuis un moment , et on devait bien faire du patineur dans les faux plats ? mais je ne suis pas sûr , je viens de chercher sur le net et n’ai rien trouvé …
peut-être!
je l’avais lu dans un historique ski, mais ou?
Je chercherai et demanderait au profess. du ski;
à suivre…
Du temps de « l’alternatif », le demi-pas de patineur, oui on le faisait de temps en temps dans les montées, mais pour le pas de patineur complet, il ne fallait plus avoir de fart d’accroche, ou alors qu’il n’accroche plus rien !
Dans le 1/2 pas, on gardait un ski dans un rail, et on ne mettait pas tout le poids sur le ski de patinage (l’autre ski), donc on n’écrasait pas complètement la chambre de fartage, alors qu’en pas complet de patineur, on met tout le poids sur un seul ski à un moment, et là, gare à l’accroche !.
Une fois, je m’étais inscrite pour faire la traversée du vercors en « formule plaisir 56km » (il y avait aussi une formule compèt.), mais à cause de soucis de périostite, je ne tournais plus à l’époque qu’en alternatifs. Des bon, quand même : Fischer RCS, mais dur dur quand les copains glissaient à la vitesse de la lumière en skating…
Un copain m’avait conseillé de farter la veille au soir pour la retenue au klister bleu, et de mettre les skis sur le balcon.
A l’aube, départ pour Corençon où on prend les cars pour le Col du Rousset : hélàs, le temps s’était hyper réchauffé pendant la nuit, mon klister avait tout dégouliné…
Je me suis retrouvée au Col du Rousset avec aucune retenue, et la grosse question : « à quoi je farte maintenant ? »…
J’avais la trouille de mettre un klister plus chaud et de rencontrer de la poudreuse en route…
Du coup, j’ai fait toute la traversée en skating avec mes RCS de 2m de long et mes petits bâtons… un grand souvenir !
J’avais une glisse d’enfer !
AH d’accord, merci
l’expèrience qui fait le pti plus…
ah quand même ! les premières montées en dévers ont du être intéressantes …
oui, dur dur le début sans échauffement, je me faisais doubler par les skis à écailles
les prémice du ski de fond
C’est tout là-haut, dans les pays scandinaves, dans la région de Télémark qu’il faut chercher les origines du ski. Les premières traces d’un moyen de locomotion autre que pédestre sont vieilles de plus de 40 000 ans.
Tout commença avec la raquette, invention considérable qui permettait de se déplacer sur les manteaux neigeux, puis durant des millénaires, les lapons utilisent des planches de bois pour évoluer dans leur univers. Mais dans nos contrés, l’ours du Vercors ou le bouquetin des hauts plateaux continuaient à courir beaucoup trop vite.
Alors quand Henri Duhamel découvre ces planches de bois munis de fixation lors de l’Exposition Universelle de PARIS à la fin du 19ème siècle, une gigantesque révolution allait se produire et c’en était fini pour l’ours car les Vertacomicoriens devenaient les plus rapides. En 1896, le ski est lancé dans le Vercors quand des militaires(les premiers biathlètes) et une poignée de gardes forestiers montent de la vallée Grenobloise avec ces nouveaux instruments. Ils seraient descendus par Bellecombe et auraient terminé leur périple au pied du site sur lequel vous vous trouvé ce soir.
Mais qui le premier avait réellement chaussé les planches fines recourbées à leur extrémité. Peu importe ! Une chose est sure, c’est bien les militaires qui se sont emparés de l’invention. Pensez aux Chasseurs Alpins et vous aurez tout compris. Très vite, ce nouveau moyen de communication fût utilisé à des fins ludiques par quelques fous furieux et amoureux de la montagne en mal de sensations fortes. Le ski dit nordique était né dans les Alpes.
A Autrans, des compétitions sont organisées dès 1904. Alfred Merlery-Guillaud, Henri Arnaud et Jean Faure se tapent même le culot de remporter trois fois de suite le Challenge « Le Gaulois » organisé par Le Ski Dauphinois du côté de St Pierre de Chartreuse de 1911 à 1913. L’Union Sportive d’Autrans, créée en 1920, devient une référence sur le plan régional. Il était donc naturel que le comité international choisisse le site d’Autrans pour organiser les épreuves nordiques des jeux Olympiques de Grenoble de 1968.
Le style est toujours celui dit du pas glissé alternatif, déplacement du centre de gravité qui est parallèle à l’axe de direction, les pieds n’ayant pas la possibilité de sortir des traces. C’est justement lors de ces jeux que le monde entier découvre le ski de fond et le biathlon puisque ce sont les premiers jeux télévisés. Autrans devient la Mecque du ski de fond, la « jaune », la super jaune entrent dans le vocabulaire quotidien et le site de Gève demeure une référence incontournable en Europe.
Puis enfin au début des années 80, un homme va tenter l’impensable : SITONEN le finlandais invente le ½ pas du patineur, un des skis sort des traces et aide ainsi à propulsé le fondeur beaucoup plus vite. Les puristes crient au scandale, mais cela n’empêche pas l’année suivante à l’américain Bill KOCK de montrer au monde entier une nouvelle technique : le pas du patineur. Ce coup-ci, les skis sortent tous les deux des traces : le skating devient une nouvelle discipline.
Et du côté d’Autrans, l’adaptation continue son chemin et le club continu à fournir un nombre impressionnant de champions. Durand-Poudret, Bernard Bonthoux, Remy Saillet, l’incroyable Dominique Locatelli (13 fois champion de France) et enfin Olivier Bulle font partis de ceux qui ont fait l’histoire du ski de fond de notre village.
Et enfin, en guise de digestif, ces jeunes fondeurs vous offrent un départ de la course la plus populaire de France : La Foulée Blanche. Après les jeux de 1968, le ski de fond apparaît au grand jour. Et pour imiter la célèbre course du figaro qui avait lieu à Paris, Paul Repellin décide de créer un évènement similaire pour le ski de fond. Ce qui fût fait dès 1979 avec les premiers coups de spatules entre Autrans et Méaudre. Le résultat est qu’en 1984, la Foulée Blanche a enregistrée quelques 13000 participants.
Voilà donc la mise en bouche de cette histoire du ski. Bonne appétit !
Posté en tant qu’invité par 11dom:
en plus du « sans bâtons » incontournable, un autre petit « détail » : pour glisser, il faut avoir les skis à plat !
pour avoir les skis à plat, au début, il faut exagérer en ayant l’impression d’être sur les carres externes, sinon tu es toujours sur les carres internes
un bon point de repère qu’on donne aux gamins dans les clubs : quand tu lances ta jambe, tu dois aligner ta spatule, ton genou et ton nez !
au début, en général, on a le genou à l’intérieur donc on est sur la carre interne, donc on ne glisse pas…
ah oui ceux qui ont les genoux rentrés.
je vois que tout le monde à ses astuces.
Merci.
qui ça ?[/quote]
Tu as vu le nom?
BILL KOCK L AMERICAIN.
oui j’ai vu , ça me rappelle quelque chose effectivement , c’est pas koch plutot ?
ouais , une chance qu’il ne se prénomme pas neil ou nils…