On ira skier sur la lune :
Signes de la disparition progressive de la neige en montagne
déjà que c’est pénible à monter à pieds, je n’ose pas imaginer en ski de rando !!!
bah il suffit d’aller plus haut en montagne. En général plus tu vas haut, plus il fait froid, plus il y a de neige.
Les stations se sont construites il y a quelques décénnies là où il y avait de la neige à l’époque, il suffirait d’en construire d’autres là où il y a de la neige aujourd’hui.
Il suffit d’installer des remontées mécaniques qui remontent un peu plus haut…
À signaler, un numéro complet de « Montagnes Magazine » consacré à « L’eau en montagne, face au réchauffement climatique »
Oui, le souci n’est pas tant le ski, la cascade ou encore l’alpinisme, mais simplement ce que l’on va boire dans les années à venir. C’est sur cette question vitale que les médias devraient recentrer le sujet au lieu de disperser l’attention sur des conséquences finalement anecdotiques.
L’un n’empêche pas l’autre. On peut s’interroger sur / s’intéresser aux deux, non ? Et-et plutôt que ou-ou, en somme…
Il semblerait que pour beaucoup, notamment nos politiques, les enneigeurs soient comme la voiture électrique: la solution à tous les problèmes. La panacée, quoi, en attendant la panade.
Oui, si on veut. Le manque d’eau, dû au manque de précipitations, lui-même dû (temporairement?) au dérèglement du climat entraine un manque de neige. De quoi est-il plus urgent de se préoccuper : de l’une des conséquences (le manque de neige) ou de la cause (le dérèglement climatique) ? De l’une à l’autre une question vitale se pose et personnellement je préfère davantage me soucier de l’eau que du ski.
Sans doute, et prioritairement ce qui permet de continuer à foncer dans le mur selon le même modèle : faire du business en surconsommant les ressources de la planète.
Toujours plus vite et toujours plus fort .
Disons que l’un est vital, l’autre moins.
et pourtant, quand on se place localement en montagne : on verra plein de potentielles sources d’eau, neige artificielle etc… et on se dit « mais on peut le faire, faisons le, on en a besoin pour vivre avoir des revenus »
mais plus loin, en plaine, en bord de mer les rivières seront à sec et on ne pourra plus arroser les potagers, les fermes maraichères, abreuver les cheptels et tout simplement avoir de l’eau potable.
et encore, on a la chance en France d’être dans un pays avec des massifs montagneux pas mal répartis sur le territoire (des Vosges au pays basque en passant par le massif central)
mais imaginons la situation des pays dont l’alimentation des cours d’eau dépend exclusivement en amont des décisions d’un autre pays
C’est un sujet un peu à part, mais qui interpelle : "Eau contre pétrole" : ce projet fou qui embarrasse l'Élysée
Hallucinant…
Effrayant, démoralisant, sidérant, …
Notre « maître à penser » des années 70
Quel flair il a, c’est pas évident de trouver du caillou en bonnes conditions l’hiver.