Posté en tant qu’invité par mat71:
En fait je fais suite à un post que j’avais vu à propos de l’entrainment d’un gars qui demandait ce qu’il devait faire à 40 an passé pour « muter » !
- Personnellement, pendant certaines périodes j’ai fait pas mal d’entrainement intensif pour préparer le passage d’un diplome de BEES. C’est sure que j’ai progressé. Mais dès que je n’ai plus eu cette objectif, jai eu du mal à garder de la motivation… surtout que c’était conjugué avec une situtraion professionnel pas du tout compatible. Grimper ou pratiquer l’alpinisme sont devenus frustrants car j’avais moins la pêche et j’étais moins performant.
- J’ai arretté plus de 6 mois et je me suis demandé ce qui me motivait vraiment et j’ai fini par me dire que le plus important c’était d’être dans la nature avec des gens que j’apprécie et avec qui je partage ce bien être. J’ai repris tout doucement avec des amis, dans du facile.
- Maintenant je continue toujour à pratiquer aussi intensivement que mon emploi du temps et mon énergie me le permet, mais ce n’est pas une obsession. Parfois je me surprends même à bien grimper en allant en salle une fois par semaine en général. idem pour les dénivelés que j’arrive à avaler de temps en temps. En tout cas, ça fait du bien de se défouler après une semaine de boulot ou une réunion saoulante…
- je pense que la recherche du plaisir, la variété des pratiques permet de garder la motivation et un niveau tout à fait correcte. C’est vrai aussi qu’après plus de 15 ans de pratique, on commence aussi à avoir un vécu qui permet de reprendre plus vite quand on se remet à une activité…
Du coup, finalement, je n’ai pas tant perdu en escalade et dans le reste (alpi, ski de rando…)
J’ai plusieurs amis qui pratiquent pas mal d’activités comme moi et c’est vrai que ça permet aussi de s’adapter aux conditions du moment (météos, familiales, amicales…) - je me suis entrainé avec des gens super fort (8b et plu). Notamment un copain qui vivait dans une région où il y a très peu de grimpeurs et donc de forts grimpeurs. Il gardait une motivation intacte en ayant toujours en vue le côté ludique de l’activité. Il était tout le temps entrain d’inventer des jeux… Par contre, il a un boulot qui lui permet de passer un temps fou à s’entrainer…
- Je pense que c’est aussi un facteur qui permet de se faire plaisir, de progresser et donc de ne pas devenir complètement stakanoviste.
- Du coup je fais pareil : vélo, course, natation, escalade, pompes, balades, canyon, alpi, ski de fond, ski de rando… C’est sure que comme le dirait mon beau père la maison ressemble à une annexe du Vieux Branleur…
Bonnes balades à tous