J’avais lu dans un des articles du fil,
que le bilan final de ses gelures est à 45 jours.
Plus joyeux,
dans les kiosques trainent encore les montagnes mag special 2017.
Il y a un article sur elle.
Secours hiver 2018 au Nanga Parbat
OK disons 12 février + 45 jours = 28 mars à l’arrache.
« Les autorités songent désormais à délivrer aux alpinistes un dépliant explicatif à chaque expédition en même temps que le visa. »
Responsabilisation nécessaire pour éviter l’ignorance des alpinistes et autres touristes. Je comprends la focalisation sur la logistique d’une expédition mais trouve surprenant que pour une telle course dans un pays en « guerre » et différent de notre culture européenne l’absence de vérification des secours.
Quoiqu’il en soit cette histoire aura permis de mettre les points sur les « i » et de trouver cette solution.
J’ose espérer, dans ma grande naïveté, que lorsqu’on part faire de l’alpinisme au pakistan, on ne considère pas ça à la légère… Ce n’est même pas le Népal avec un camp de base de l’everest atteignable directement depuis Khatmandu en hélico.
Ben cela semble léger pour beaucoup d’expe y compris celle de Revol
Un récit différend de ce que nous avions entendu. Les risques énormes pris par les pilotes Pakistanais non équipés et non entraînés pour le sauvetage et les vols de nuit, cela aurait pu très mal se terminer avec 42 nœuds de vent.
L’importance de l’attaché d’ambassade polonais faisant les poches des employés de l’ambassade pour réunir les 15 000$ de base. L’ascension fulgurante de Denis et Adam sur des cordes fixes douteuses. Un mélange d’audaces de toutes parts, de courage et d’improvisation. C’est éblouissant.
Merci pour le lien. Le GHM a souvent, voir toujours, des articles de très bonnes factures. Il est seulement dommage que sa revue annuelle soit aussi difficile à trouver.
C’est aussi ce que j’ai retenu.
On avait compris l’engagement total de la cordée de secours, mais celui des pilotes d’hélico l’a été aussi. Quant à « L’importance de l’attaché d’ambassade polonais faisant les poches des employés de l’ambassade pour réunir les 15 000$ de base », cela m’a sidéré et profondément ému.
Elizabeth a été sauvée in extremis, sur le fil, grâce à l’engagement de toutes ces personnes, chacune agissant au mieux et au plus vite selon ses possibilités. Si un seul de ces rouages avait dysfonctionné, si tous ne s’étaient investis totalement comme ils l’ont fait, Eli n’aurait peut-être pas survécu à cette dernière nuit…
Chapeau bas à l’ensemble de ces acteurs du secours d’Eli
Merci pour le lien.
Il y a également un second dossier qui fait suite, intéressant également (et nettement plus court), sur l’emballement médiatique qui a suivi, et surtout sur les tensions et/ou incompréhensions que cela a pu entraîner avec le Pakistan : Le G.H.M. - Dossiers
On y trouve notamment des excuses appuyées d’Elisabeth Revol, bravo à elle pour cette démarche de contrition.
Merci pour le lien,
très bon article. je réalise les bêtises que j’ai écrit, pardon a ceux que j’ai pus choqués.
Effectivement, ce second article vient conclure en quelque sorte l’affaire des reproches formulés à l’encontre de l’opération de secours pakistanaise, avec les excuses d’Elie d’une part et la reconnaissance de l’engagement des pilotes au-delà de leurs obligations et au péril de leur propre vie.
Chouette !
Merci pour le lien vers ces deux articles. Cela fait du bien de lire un vrai travail de journalisme. Et comme Pierre-Yves, je regrette certains écris ou pensées sous le coup de l’émotion et de l’information tweeter biaisée. Une belle leçon. Immense respect pour tout les acteurs de ce secours exceptionnel.
Merci , ça fait plaisir , c est rassurant.
Reste plus qu’à espérer qu’Elisabeth n ’ y laisse pas trop de plumes.
Merci @ThierryC pour ce lien sur cette page de kairn qui cite de grands extraits du message d’Eli Revol
Je recopie le lien sur le message entier d’Eli Revol.
Un beau message de témoignage et de gratitude pour tous et surtout pour Tomeck.
Je l’ai parcouru avant hier sur sa page FB. Très beau texte.
Une note bien ficelée sur les secours au Pakistan de cet été.
En anglais.