Salut jean louis

Posté en tant qu’invité par Un anonyme:

Pour tous ce lien à nos 2 disparus :

Avec les paroles :
Signore delle cime

Dio del Cielo, Signore delle Cime, Dieu des cieux, Seigneur des cimes,
un nostro amico hai chiesto alla montagna Notre ami tu as demandé à la montagne
ma ti preghiamo, Mais s’il vous plaît,
ma ti preghiamo, Mais s’il vous plaît,
su nel paradiso, Là-haut dans le paradis
lascialo andare Laisse le partir
per le tue montagne. Pour tes montagnes

Santa Maria, Signora della Neve, Sainte Marie, Dame des neiges
copri col bianco soffice mantello Couvres avec le blanc manteau moelleux
il nostro amico Notre ami,
il nostro fratello Notre frère,
su nel paradiso Là-haut dans le paradis
lascialo andare Laisse le partir
per le tue montagne Pour tes montagnes

La montagne est belle et dangereuse. Elle engloutit parfois l’enthousiasme et le courage de ces montagnards qui l’aiment et parfois la défie. C’est une très belle prière italienne adressée au seigneur des cimes et à la Dame des neiges, de Bepi de MARZI.

Ca y est, nous avons été au Grand Paradis en souvenir de Jean-Louis, et aussi de Philippe. Un super week-end, très fort. Des conditions exceptionnelles, comme un clin d’oeil de lui là haut. Il avait fait ce sommet 37 fois, et avait ouvert dans la face nord. On a bien pensé à tous ses amis montagnards et à Sophie, et on s’est promis d’y retourner l’année prochaine.
Merci Jean-Louis…

Posté en tant qu’invité par COUPIER:

Oui bonjour sophie, j’ai appris la nouvelle y a quelques mois par l’intermédiaire de ma mère et sur le moment j’ai été très surpris et très attristé, je ne m’y attendais pas du tout et je suis de tout coeur avc toi, j’en suis sincèrement dsl , perdre la vie à cet age-là et mourir à cause de sa passion c injuste.
En tt cas, on aura passé des bons moments à l’aumonerie, j’en garde d’excellents souvenirs. je t’ai vu samedi dernier à casino mais je pense que tu ne m’as pas reconnu, tu avais l’air perturbé.
Toutes mes condoléances.

Charles.

Posté en tant qu’invité par Vanille MB:

Le temps passe… les jours filent…
Mais il est des moments, des dates, des musiques, des odeurs et des images qui vous font encore plus prendre conscience que l’absence est bien présente…

Nous sommes le 12 novembre. Et c’est la première fois depuis 19 ans que je ne lui souhaiterais pas de vive voix « Bon anniversaire mon petit Jean Louis ! »
L’entendant rire au bout de la ligne et dire comme à chaque fois "… tu y as encore pensé Vani, merci !!! "

Il est infiniment dur de penser qu’il n’est plus là… mais il faut tout de même essayer de penser à ce qu’il aurait fait ce jour là, à ce qu’il aurait aimé…
Certainement aurait il mangé un gros gâteau au chocolat, en riant aux éclats à l’arrivée de son assiette à dessert… car quand il y en a pour 3, il y en a certainement pour Jean Louis (comme il aimait à le dire) , heureux d’être entouré des gens qu’il aime.
Et c’est cette image là qu’il faut garder en soi.
Car bien que plus parmi nous, il demeure toujours avec nous, au fond de notre coeur.

Jean Louis a 35 aujourd’hui. Et ne peux que penser très fort à ses parents, à sa famille, et à Sophie…

Bientot un an, un an de vide, un an de larmes, un an d’incompréhension

mais aussi un an d’espoir, de nouveaux reves et de beaux souvenirs qui remontent

Merci mon ami, mon presque grand frere, de m’avoir fait toucher ce reve, pour le partager a ta manière, avec passion et emerveillement

Posté en tant qu’invité par manu54700:

Je découvre avec tristesse sa disparition.
J’ai connu Jean-Louis en 1ère S au lycée Henri Loritz de Nancy. Il était d’une gentillesse incroyable. Avec quelques autres nous avions réussi à l’intéresser au basket. Nous avons passé quelques soirées à la salle Henri Cochet à St Max à dribbler et tenter des paniers à trois points. Fan de foot il m’avait ramené une écharpe de l’ASNL. Et lorsque nos chemins se sont séparés, je continuais de l’attendre les samedis midis devant le lycée Henri Poincaré où il avait intégré Math Sup. Il m’envoyait également une carte postale du Gran Paradiso de temps en temps. Puis nous nous sommes éloignés un peu plus. Ce que je retiens de lui c’est sa gentillesse bien sûr. Son grand sourire. J’ai une pensée pour ses parents et pour son frère.