Posté en tant qu’invité par Dom:
Bon, je sais pas alors … Si on cite la source, peut-être ? Il s’agit d’une illustration de Samivel tirée de la première édition de l’Amateur d’abîmes et qui illustre sa « vision » extraordinaire (à mon goût) de « c’est à vaches ». Qu’en pensent les modérateurs ?
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Je ne me souviens pas de « c’est à vache », mais j’adore le double dessin de Samivel :
« Leur Première. Comme ils la font… et comme ils la racontent ».
C’est dans « Samivel des Cîmes ».
Posté en tant qu’invité par Dom:
Oui, excellent !!
Si tu as un mail, je t’envoie le fichier de « c’est à vaches »
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Oui, j’ai un mail et je prends !
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Dom a écrit:
Si tu as un mail, je t’envoie le fichier de « c’est à vaches »
Damned, j’avais oublié l’arborescence…
Voilà, cette adresse est valide.
Posté en tant qu’invité par c.l:
Dom a écrit:
Oui, excellent !!
Si tu as un mail, je t’envoie le fichier de « c’est à vaches »
Moi aussi !!!
Posté en tant qu’invité par GG:
Ca depend aussi de l’itinéraire choisi et de son engagement
Posté en tant qu’invité par c.l:
Merci Dom.
On retrouve dans ce dessin toute la simplicité de Samivel, j’aime beaucoup.
Mon exemplaire de l’amateur d’abimes, il n’a aucun dessin, snif.
Puisqu’on en parle, quelqu’un sait s’il a ecrit un autre bouquin de la meme veine ?
(Rem: « Nouvelles d’en haut » c’a m’a bien gavé)
Posté en tant qu’invité par Francois:
c.l a écrit:
Merci Dom.
On retrouve dans ce dessin toute la simplicité de Samivel,
j’aime beaucoup.
Mon exemplaire de l’amateur d’abimes, il n’a aucun dessin,
snif.
Puisqu’on en parle, quelqu’un sait s’il a ecrit un autre
bouquin de la meme veine ?
(Rem: « Nouvelles d’en haut » c’a m’a bien gavé)
Pour les dessins, il y a « sous l’oeil des choucas » et « l’opéra des pics ». Ca doit être introuvable, je présume, Docteur Livingstone.
Dans le genre pavé moyen, un peu moins humoristique que « l’amateur d’abimes » il y a « le fou d’Edenberg ».
Sinon, tu fais une recherche sur Samivel. Il y a à lire et à regarder…
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Francois a écrit:
« sous l’oeil des choucas »
Aïe, bobo le titre.
Posté en tant qu’invité par Dom:
« Sous l’oeil des choucas » et « Opéra de pics », deux petites merveilles, … le premier plus léger que l’autre; dans Opéra de pics, il y a de ces dessins terribles, qui avec trois mots de légende croquent les motivations et les aboutissements de la pratique de la montagne : un petit dessin, trois petits mots, et on est tout retourné, brrr …
Il y a aussi « Samivel des cîmes » et « Bonhommes de neige » qui sont de temps à autres réédités, mais un (tout petit) cran en-dessous, à mon goût.
Et, plutôt livre, les Contes à pics aussi, bien sûr.
Posté en tant qu’invité par Dom:
J2LH a écrit:
…
« sous l’oeil des choucas »
Aïe, bobo le titre.
Déjà au bureau ? qu’est-ce tu as encore trouvé à dire là ?
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Dom a écrit:
Qu’est-ce tu as encore trouvé à dire là ?
Les choucas sont bien rares en montagne.
Posté en tant qu’invité par Dom:
comme c’est triste …
Posté en tant qu’invité par Etienne:
Mais il y a plein de chouquettes ce matin au labo. Je t’en dédie une pour te consoler. miam!
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
J2LH a écrit:
Les choucas sont bien rares en montagne.
Euh… un peu moins qu’en bord de mer, tout de même…
Posté en tant qu’invité par Dom:
J.Marc a écrit:
J2LH a écrit:
Les choucas sont bien rares en montagne.
Euh… un peu moins qu’en bord de mer, tout de même…
boââh, laisse béton; l’est pas mûr pour apprécier Samivel … tiens prend donc une délicieuse chouquette d’Etienne (c’est quoi une chouquette 'Tienne ???) pour te consoler …
Posté en tant qu’invité par J2LH:
J.Marc a écrit:
Euh… un peu moins qu’en bord de mer, tout de même…
Pas vraiment non.
Posté en tant qu’invité par Hugues:
C’est pas bête du tout, pour moi c’est pareil.
C’est en fait ça qu’on recherche plus ou moins inconsciemment dans l’alpinisme (à partir d’un certain niveau de difficulté en tout cas), c’est des situations hostiles, des difficultés (techniques mais aussi recherche d’itinéraire) qui t’obligent à donner le meilleur de toi-même pour t’en sortir.
Par exemple en ce qui me concerne j’ai fait Coste Rouge à l’Ailefroide en Août 2002, les conditions étaient quasi hivernales (l’Eté 2002 fut plutôt pourri), on a été confronté a des difficultés inattendues (rocher platré, cheminée verglacées). Quel galère (12h d’ascension pour un horaire moyen de 7h), y compris la descente (bivouac sous la neige) mais quel souvenir aussi.
Posté en tant qu’invité par Etienne:
C’est ça qu’on aime chez toi, ta fantaisie, tes licences poétiques…
Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines…