Retour à la montagne

On remarquera au passage que Lynn n’a pas d’enfants… :wink:

Et alors ? c’est grave docteur ?

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Ai-je dit ça ?

Dommage j’aime bien les critiques : ça mobilise et permet d’avancer.

Serions-nous pluriel(le)s ? 'tout cas perso il n’est pas nouveau que je suis plusieurs dans ma tête… Et même dans mon corps ces temps-ci :grin:

Non mais

Car je ne vois pas le rapport…

les remarques intéressantes sur ce fil concernant le sens de la vie, l’acceptation des risques, le besoin/capacité (ou non) à s’y confronter; la phrase de Lynn qui est un « tout est possible » (oui, mais elle n’a pas d’enfants).
(J’ avais eu une discussion intéressante à ce sujet avec elle il y a 20 ans; quand elle en avait 40).

Pour moi la discussion était à propos du retour au non à la montagne suite à « traumatisme ». Le fait que « tout soit possible » parce que / puisque on n’a pas d’enfants me paraît un peu éloigné et « réducteur »…

Il me semble que le poids des responsabilités, quand on en a, influe fortement sur les réfléxions personnelles des suites à donner dans une activité à vrai et gros risque (montagne entre autres).
Que ce soit en prise de conscience spontanée comme en réflexion suite à des traumas.

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Bof.
Je pense que ça dépend surtout du caractère de chacun.

Edit : Je précise un peu ma pensée. Il semble logique qu’une personne A prenne moins de risque une fois qu’elle a des enfants par rapport à sa pratique avant les enfants. Mais est-ce pour autant qu’une personne B qui n’a pas d’enfant mettra forcément le curseur plus haut au niveau de sa prise de risque que la personne A ?

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Tout à fait d’accord avec toi @Florence_B, j’ai des potes qui sont papas et qui sont bien plus « fous » que moi (par rapport à mon estimation de la prise de risque).

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