Posté en tant qu’invité par cazo:
Trois axes de réflexion sur les avalanches :
Je ne peux être sur de rien.
Plus c’est bon, moins c’est bon.
La première impression est la bonne surtout quand elle est mauvaise!
Trois petites reflexion école pour allumer des ‹ warnings ›…
Dans tout les cas, nous sommes confronté à une année ‹ Venteuse ›. A chaque chute de neige, des grandes rafales de vent. Que ce soit aprèsou pendant la chute.
Des plaques à vent de partout!
Soyez malin : soyez patient!
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Dans tout les cas, nous sommes confronté à une année
‹ Venteuse ›. A chaque chute de neige, des grandes rafales de
vent. Que ce soit aprèsou pendant la chute.Des plaques à vent de partout!
Désolé d’écrire ça : c’est affligeant cette obsession à mettre sur le dos du vent la responsabilité des plaques. Qu’on se le dise : la plupart des accidents sont dus à des plaques qui ne sont pas des plaques à vent (le vent n’est pas le rôle moteur voire n’a même pas soufflé sur le lieu de la plaque). Quand le danger est grand, ce n’est la plupart du temps pas la faute du vent mais la faute à la présence d’une sous-couche de neige sans cohésion, le plus souvent préexistante à la chute de neige.
Couche fragile préexistante généralisé => souvent danger généralisé quand il neige par dessus.
Couche fragile préexistante localisé ou absente => assez souvent danger localisé.
Je ne jette pas la pierre car le discours des formateurs et autres professionnels de la montagne ressemble souvent au tien.
Posté en tant qu’invité par levieux:
merci pour cette precision.