Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
Ben… l’auteur semble totalement oublier que les chercheurs sont en situation de stress et qu’ils vont agir sans trop se poser de questions sur la répartition des victimes. La principale préoccupation dans ce cas c’est d’avoir rapidement de bonnes nouvelles.
Telle que je l’imagine, dans une situation réelle où par exemple 4 personnes d’un groupe de 6 sont ensevelies les deux chercheurs vont se mettre immédiatement en recherche, potentiometre à fond foncer vers où ils supposent être les victimes. Dès qu’ils ont un signal il vont appliquer la méthode qu’ils connaissent le mieux (croix, directionnelle ou autre) et si il y a plusieurs signaux l’application de la méthode doit rapidement permettre de trouver une des victimes qui sera dégagée plus ou moins totalement suivant son état le plus vite possible. En exercice on se rend compte facilement que la recherche de plusieurs ARVA ne pose pas énormément de problèmes une fois que l’on a compris une des méthodes de recherche (ce qui est beaucoup plus compliqué).
Dans le chapitre 2 l’auteur veut justifier une nouvelle méthode tout en repprochant l’existence de différentes méthodes… heu…
De plus il explique que chacun se fait sa méthode de recherche, que ces méthodes sont donc difficilement explicables au public. A mon avis la méthode proposée est précisément une de ces méthodes personnalisée qui de plus demande une connaissance d’une autre méthode pour la localisation fine.