Réchaud gaz et combustible

#1

Posté en tant qu’invité par Pierre:

Bonjour à tous et toutes

Je recherche un maximum d’informations concernant les réchauds à combustible de type Primus ou MSR. Ces informations doivent me peremttre d’être objectif concernant :
1- leur facilité d’utilisation
2- leur entretien
3- leur encombrement
4- leur autonomie en altitude entre 2500 et 5000m (préciser la capacité de la bouteille fuel)
5- les éventuel problème que vous avez pu rencontrer en les utilisant avec tel ou tel type de carburant et les solutions pour y remédier

Autres question : est il possible de trouver des cartouche de gaz de type CV270 ou CV470 à Huaraz au Pérou?

D’avance merci pour vos réponses.

#2

Posté en tant qu’invité par vache à lait:

J’ai pas de réponse à t’apporter mais je profite de ton post pour poser également une question : voilà, je suis l’heureux propriétaire d’un réchaud campingaz hérité de mes aïeux qui a toujours admirablement rempli son rôle de réchaud. Mais aujourd’hui, je suis consterné car je pense que des bureaucrates mal inspirés (ou inspirés par le mal), ont décidé de me faire abandonner mon réchaud de compagnie quelque part sur une aire d’autoroute.

Je m’essplique : mon réchaud c’est un globe trotter 106, qui ne fonctionne qu’avec des cartouches GT 106, et MEUSSIEU campingaz a décrété que c’était pu bien les GT 106 …

Alors :

  1. c’est moi qu’est débile et je sais pas chercher ?
  2. c’est encore un sale coup de notre société capitaliste de m… qui nous oblige à jeter des trucs qui marchent encore pour des bonnes raisons de rentabilité au lait et de croissance au beurre ?

Merci d’éclairer ma lampe à huile !

#3

Posté en tant qu’invité par fred:

tout ce que je peux te dire, c’est que je me suis offert le dernier « camping gaz » qui ce clippe sur la bouteille, sa carbure du feu de dieu ! mais des qu’il fait un peu frais, ca vaut feu de paille…et les bouteilles de gaz glace sous les bras, sa bien une ou deux fois, mais c’est tres vite la barbe

#4

Posté en tant qu’invité par Sylvain:

Nous avons utilisé un MSR XGK II pendant 3 semaines en Alaska par des températures descendant inférieur à -30°C et juusqu’a environ 5500 mètres avec du « white gas » et nous n’avons eu aucun soucis.
L’utilisation est simple : préchauffage et ensuite aucun réglage.
L’entretien est simple : démontage rapide de la pompe + du bruleur.
La consommation d’essence pour une journée complete (repas du soir + petit dej + fonte d’eau pour la journée) est d’environ 0.2Litres par personne.

Avant en France, nous avions essayer avec du Super et là le préchauffage se fait moins bien et la mise en route plus difficile ! mais il existe un deuxième gicleur fourni avec pour ce type de carburant (nous l’avions oublié)

a+
Sylvain

#5

Posté en tant qu’invité par vache à lait:

Vé collègue, j’viens de tomber sur ce site qui a l’air pas mal du tout …

http://www.chez.com/walfard/rechauds/contenu.html

#6

Posté en tant qu’invité par Ben38:

B’jour,

Pour les details de fonctionnement, j’avais poste
un essai du XGK II et de Coleman Peak 1 sur le
web du rechaud :

http://www.chez.com/walfard/rechauds/contenu.html

1- leur facilité d’utilisation

Bonne : brancher, pomper, amorcer, allumer, attendre 30s,
ouvrir la vanne.
(Ne pas allumer sous la tente !)

2- leur entretien

Faible si on utilise du combustible de bonne qualite
(essence C, white gas, …). Aucun entretien pour un
sejour de quelques semaines si le rechaud est en
bon etat au depart.

3- leur encombrement

Tres variable, certains de demontent (XGKII), d’autres
se demontent et se plient pour economiser de la place,
d’autres sont d’une piece (Peak 1).

4- leur autonomie en altitude entre 2500 et 5000m (préciser la capacité de la bouteille fuel)

Tres variable aussi, une petite bouteille (0.4 litres ?)
te fait plusieurs jours a deux, sans probleme. Voir le
site pour les details.

5- les éventuel problème que vous avez pu rencontrer en les utilisant avec tel ou tel type de carburant et les solutions pour y remédier

Au Chili avec de la « bencina bianca » et le Peak 1 : combustible
trop lourd, le rechaud avait du mal a demarrer et faisait
beaucoup de suie (ce rechaud n’est pas multicombustibles).

Sinon, la plupart de ces rechauds ont deux positions de
cuisson : OFF et A DONF -> Ne pas trop compter sur les
plats a mijoter ! Il est possible de jouer sur la pression
pour reduire le feu, mais faut avoir le coup de main.

Ben

#7

Posté en tant qu’invité par Dave:

j’ai monté sur 1 GT106 les accroches-bouteille du camping gaz de base (avec la cartouche double de la 106).
=> donc j’utilise plus que la cartouche double mais le réchaud est encore bon

les accroches je les piquées sur du matos de démo dans 1 gde surface

#8

Posté en tant qu’invité par vache à lait:

Ouais, j’y avais pensé, mais j’ai pas encore osé …

Merci, grâce à toi, je me sens moins seul et pis quand je me ferai piquer par les vigiles, j’dirai que c’est ta faute !

C’est parti, j’enfile ma cape, mon masque et je vais dérober ces nantis de GMS.

P.S: penses à m’envoyer des oranges pour Noël.

#9

Posté en tant qu’invité par Ben38:

Pierre a écrit:

Autres question : est il possible de trouver des cartouche de
gaz de type CV270 ou CV470 à Huaraz au Pérou?

Peche sur fr.rec.montagne ce matin, sais pas ce que ca vaut :

(je me suis fais avoir au Pérou l’année dernière où il était plus facile au
moins à Cusco et Huaraz, de trouver ces cartouches plutot que de la ‹ benzina
blanca › !)

Ben

#10

Posté en tant qu’invité par seb:

Tu sais en Amérique du sud tu dois t’assurer d’être autonome avant le départ… Comme il est imposssible d’amener des cartouches de butane/propane en avion. L’option #1 dans ce coin de pays est le multiliquide style MSR Whisperlite 600. Le réservoir est réutilisable dans lequel on verse habituellement du naphte. C’est le combustible idéal car il laisse peu de souillures et demeure très efficace. Dans les rares cas où le naphte n’est pas disponible, ce type de réchaud peut brûler même de l’essence à voiture (dernier recour), Kérosène,diesel et même de l’alcool.

Avantages:

efficace par temps froid et venteux
flexibilité accrue en ce qui concerne le choix du combustible
coût d’utilisation très très faible
polyvalence lors d4e voyage à l’étranger
possibilité de vérifier la quantité de combustible restant dans le réservoir
PRODUCTION RÉDUITEDE DÉCHÊTS SOLIDES, PUISQUE LE RÉSERVOIR EST RÉUTILISABLE.

Si tu ne jure que par le propane tu peux toujours ajouter l’adaptateur à ton retour!!!

seb