Si vous voulez jouer avec les analogies musicales, c2c ne peut pas être Deezer, c’est de la musique libre.
Réactions à propos du Communiqué de Camptocamp-Association / ECI.LAURA
sans pub faut payer sinon ça coupe tout le temps et c2c en prend le chemin au vu des propositions
je crois que tu n’as pas bien compris la remarque de b_b…
et sinon, si je peux me permettre, je ne vois pas de proposition de c2c dans cette discussion.
sacapof et letourist proposent des solutions du genre non ? et d autre aussi je vais pas relire tout les post pour les citer
oui j ai bien compris la remarque de b_b
Oubliez les usines à gaz, il suffirait que les clubs gestionnaires et/ou ouvreurs disposent d’une cagnotte en ligne simple et accessible sur laquelle faire des dons, et que chaque topo dispose d’un lien vers ce système.
C’est simple à mettre en place, c’est transparent et ça permet aux ouvreurs de rester indépendant de C2C. Tout le monde devrait être content avec ça.
Un system type Netflix ou Deezer, ce n’est simplement pas possible: pour la simple et bonne raison que la licence est CC by-sa. Et a titre perso, je ne contribuerai pas pur une info payante, c’est tout les contraires du projet (cf les statut de C2C).
Aussi, C2C est a vocation internationale, et ne devrait pas s’occuper du cas particulier français. D’ailleurs, des connaisseurs pourraient nous expliquer le fonctionnement dans d’autres pays ?
Pour avoir discuté avec un anglais récemment, chez eux il y a un fond au BMC (unique fédé … pas comme chez nous!) qui se finance par des dons. A priori ça marche pas si mal …
https://www.thebmc.co.uk/support-your-local-bolt-fund
Il y a aussi les recettes issues de Rockfax (y compris pour les sites français …)
Comment ça marche en suisse, espagne, autriche, allemagne, slovénie, US, etc ?
L’équipement et l’entretien sont financés (jamais suffisamment, bien sûr ) par la fédération/union des clubs (commission pour l’escalade sportive).
Je ne comprends pas le sens de ta question. Pour l’exemple cité, les 2 topos du 63 sont source de financement pour le ré-équipement. Celui de la Fédé, via la fédé et l’autre via le club SancyGrimpe. Le site précité étant plutôt le rayaume du club Sancygrimpe.
Qu’est ce qui te gène ? Que les schémas soient « schématiques » ? Que les numéros tombent pas en face des bonnes voies ?
Je pense qu’il n’est pas bien dur de se retrouver là bas, t’as bien du reussir à grimper.
Je comprends mieux ce que tu veux dire, mais on ne peut pas compter que sur la Fédé.
Pour simplifier mettons des prix en face, 2€ le point et 350€/jour le BE. pour notre club de 60 licenciés, si individuellement on donne 50€ chaque année à la fédé et qu’elle en investi la moitié dans l’équipement (hors JO, bureaux, frais de structure) ça fait 1500€ de « trésor » ré-équipement, par an, pour le club, mais il y a 2 façons de penser :
- le temps passer à équiper est gratuit et bénévole : ça fait 750 ponits pour le club/an soit 60 voies (1 voie de couenne par licencié FFME/an ) - mais ce n’est pas le cas, ni le destin de la voie Fédérale
- le temps passer à équiper est rémunéré et c’est fait de manière « pro » : ça ça fait 1 jour à 2 BE de ré-équipement / an + les points pour 25 voies (0,5 voie par licencié FFME)…bref soit c’est des perforators soit c’est plutôt 0,25 voie par licencié.
et pour l’équipement via les topos, c’est plus simple si tu comptes 5€ / topo acheté qui repars en points. 4 topo / personne et par an et tout en bénévole. x 60 pour un club.
ça fait 1200€ de « trésor » ré-équipement, par an, pour le club, donc plus ou moins la même somme que la somme fédérale, mais qui part au rééquipement bénévole,
soit 0,75 voie/ client de topo papier/an
Donc à la grosse, le systeme fonctionne avec 2 jambes (la part fédérale, la part bénévole), à peu près équilibrée qu’il ne faut pas surtout pas couper pour maintenir cet équilibre précaire.
Mais le dire ici semble être un blasphème, on est accusé de tous les mots à le défendre, et on risque l’exclusion si on l’écrit… voir la fermeture de 5 ou 6 sujets connexes…
je pense que dans ces pays , les grimpeurs sont plus volontiers licenciés et acteurs de leur pratique et de leurs terrains de jeu.
le financement fédéral via les topos et subventions locales fonctionne quand l’initiative de l’équipement d’un site de couennes est d’origine associative ( club, CR…). Par contre, cela fonctionne mal lorsque des équipeurs demandent à valoriser leur travail d’initiative individuel. Le topo rentre alors dans une sorte de financement marron. Et ça devient sportif lorsqu’un nouvel équipeur ressort un nouveau topo d’un ancien site réactualisé.
On est le seul pays où les gens ne se licencient pas ? Pourquoi ?
Est-ce mal si un ouvreur à des comptes à rendre à une fédé, plutôt que de faire sa tambouille dans son coin ? Cela n’évite-t-il pas des dérive, avec équipement de TA, non respect de sites (zones protégées, historique, etc), voies simplement pourries …
Pas si tout revient de toute façon dans le même fond fédéral ? Et avec le fonctionnement actuel ce n’est pas également problématique ?
Oui enfin comparons ce qui est comparable. Soit dans ton exemple:
et
Dégainer le fait de payer un DE quand c’est la fédé qui paye mais pas quand c’est les topos, ça biaise l’exemple. Au final et selon ton calcul, l’apport financier d’une cotisation fédérale est bien meilleur que l’apport des topos.
Maintenant, je ne crois pas que quiconque considère qu’il faille mettre à la benne le financement via les topos. Que ça reste une source supplémentaire de brouzoufs, très bien. Mais tuer d’autres initiatives comme C2C sous couvert de protéger cet unique système de financement bancal, c’est je crois une mauvaise idée.
je me suis mal expliqué. Je suis d’accord avec toi. C’est un pb quand des ouvreurs demandent à valoriser leur travail à postériori auprès du CR, après equipement d’un site sur initiative perso.
on pourrait aussi parler du droit d’auteur à un ouvreur qui réalise le topo via un financement de collectivité pour un equipement payé également par cette même collectivité.
Ce système est à bout de souffle.
je ne dégaine rien…je ne biaise rien…
c’est un fait et puis c’est tout !
parles en à Christophe H, Bubu & consors…je ne suis pas certain que certains activistes C2C n’aient pas en tête l’éradication du topo papier, ou à minima une posture genre, je m’en fous, je lui marche dessus, en proposant mieux, gratuit en open-source.
Tu fais quand même des miracles, le budget de 1500€ via la fédération fait 2/3 moins de voies que les 1200€ via les topo. Je veux bien pas être expert comptable mais tout le monde sait faire une règle de trois. Faut arrêter de prendre les gens pour des cons.
l’un (la fédé) paye son personnel, l’autre (le bénévole) pas…
donc ou avec moins de sous, mais sans payer tes heures tu produis plus…c’est la « mane » du bénévolat et de l’associatif…
je ne prend personne pour un con…désolé
détendez vous les gars
Mais pourquoi la fédération devrait s’imposer de passer par des DE ?
Elle ne peut pas simplement distribuer des points aux personnes qu’elle estime compétentes sur la thématique équipement (connaissance du matériel ET du contexte local) ?
C’est peut être aussi de ce côté là qu’il faudrait faire bouger les lignes, alors…
Ton développement est intéressant puisqu’il tente de définir le fond du problème. C’est à saluer dans ce débat.
Ça serait bien d’intégrer un modèle type ECI dans ton exemple puisque c’est de là qu’est parti la grogne. Probablement ton modèle fédéral avec des équipeurs bénévoles et donc le fonctionnement le plus efficient.
Après ma perception du problème « c2c » pour ce club en particulier est plutôt un problème lié à la diffusion de l’info que du financement.
L’appel des ouvreurs est d’ailleurs orienté dans ce sens mais le problème spécifique à l’ECI n’est pas clairement énoncé. Les 3 premiers points visent à l’évidence à freiner la diffusion de l’info. Seul le 4ème concerne le financement. Le problème, c’est que l’appel engrange à mon sens beaucoup de signatures sur ce dernier point.
Et il y a aussi eu aussi beaucoup de jalousie quand c2c à touché 200 000 € de petzl. Tu veux régler le problème ? La fondation petzl a qu’à filer la même somme répartie aux plus grosses représentations d’équipeurs et le tour est joué. …