Rappel sur relais non couplé

Posté en tant qu’invité par Alexandre:

entièrement d’accord avec l’abus des chutes (habitude de l’école) qui ne sont jamais banales en montagne, j’en ai fait l’expérience (en tant qu’assureur) il y a une semaine

en plus c’est moi qui fournit la corde alors les chutes je n’aime pas ça ;o)

Alexandre

Posté en tant qu’invité par nico:

Pour cas extrème solution extrème…

Dans l’extrème, y’a aussi la manip’ du noeud coincé dans une fissure… que l’on débloque en tirant dessus ensuite… ;o)

Manip’ a utilisé réelement et uniquement dans les cas extrèmes : J’ai un pote plutôt expérimenté qui en a fait l’amère experience récement : Bilan, près de 20m de chute pour se retrouvé avec les doigts en lambeaux… avis aux amateurs…

Posté en tant qu’invité par Célou:

je pense que c’est à moi que tu t’adresse ,
Dommage, j’avais modéré ma remarque !

Comme ça tu envoies des posts direct en falaise, toi !
fortiche !

Ma réaction ,un peu vive (je m’en suis excusé, j’te signale !) est justifiée par le fait que les encadrants te repête à l’envie que corde abimée = corde foutue.
alors ok pour ta solutions en cas extremes mais faut quand meme temperer, et je ne crois pas que ce soit la question posée.
Je pêche beaucoup d’info sur ce forum que je teste ensuite en falaise, en faisant le tri.

Quand j’ai à faire à une demande émanant d’un débutant et que je ne sais pas je ne dit rien ou alors j’emet des réserves.

Posté en tant qu’invité par Bubu:

Ce texte a été publié dans la plaquette de présentation de
l’assemblée générale 2002 de la Fédération des CAF.

Tu n’es pas obligé de tout recopié, le lien suffit :slight_smile:
En plus, cela permet d’en savoir plus sur l’auteur…

Posté en tant qu’invité par Alexandre:

je ne trouvais plus le lien, mais j’avais copié le texte…
je me disais bien que ça venait d’une personne éminente ;o)

Alexandre

Posté en tant qu’invité par brobodoblom:

Les chutes, en escalade, ne sont banalisées qu’à partir d’un certain niveau. Si tu veux progresser, tu es obligé, à un moment, d’accepter la possibilité de chute.
Deux cas de figure se présentent alors : ou le grimpeur ne fréquente que les milieux aseptisés et la chute n’est alors pas grave, ou il a une lourde expérience et sait évaluer les terrains où la chute est autorisée. Le plus dangereux est le cas de figure du grimpeur de salle quiu se met à la montagne avec un niveau technique important mais une connaissance du milieu insuffisante.
Ensuite, je ne vois pas pourquoi en montagne, on ne peut pas chuter. Sinon, autant grimper comme Paul Preuss et ne pas mettre de point. L’important est de savoir évaluer. Il y a des passages où on n’a pas le droit de tomber, des fois même en couennes mais un grimpeur habitué à la chute sait comment tomber, où il va tomber et comment. On peut apprendre à voler et à assurer le vol.