Je cite le passage écrit par Doug Scott lui-même dans « La première ascension de l’Ogre » :
Il vient d’effectuer un rappel depuis proche du sommet, en tirant sur la gauche pour essayer d’atteindre une fissure qu’il avait gravie. Il tente alors de mousquetonner deux pitons laissés en place dans la fissure, mais …
Mes pieds ripent sur la glace, je perds le contact avec la paroi, repars en pendule inverse, de plus en plus vite; cramponné aux cordes de toutes mes forces, je tente de contrôler le pendule et de l’arrêter, mais je me mets à tournoyer follement dans le vide sans pouvoir m’arrêter. Je ne comprends pas pourquoi je n’arrête pas de penduler ; je n’avais pas réalisé à quel point je m’étais éloigné à gauche de l’anneau de rappel