Quelles précautions après opération canal carpien?

La sécu a raison, il n’y a rien a faire d’autre qu’ attendre
Aucun exercice particulier n’est requis !
Patience

Posté en tant qu’invité par campingcar:

[quote=« pignarèche, id: 1749749, post:16, topic:106383 »]Bonjour,

Je me suis faite opérer du canal carpien le 24 avril de cette année et j’ai bien suivi les recommendations du chirurgien. A savoir, 6 semaines mini sans rien porter. C’est loin d’être marrant mais il faut être patient. De toutes façons je me suis vite aperçue que je n’avais aucune force dans les doigts et que ma main me rappellerait vite à l’ordre si je faisais du zèle. Donc j’ai été très sage et pourtant…petit bémol après l’opération et encore aujourd’hui… Mes quatre doigts ont vite retrouvés leur mobilité sauf le pouce, très douloureux, complètement bloqué, comme si le cerveau ne voulait pas donner l’information à mes doigts…et puis un léger œdème. Je ne me suis pas trop affolée. L’infirmier m’a dit que j’étais une peu fainéante et que je ne faisais pas aller assez mes doigts, alors on m’a conseille du kiné. 10 séances de kiné qui n’ont rien changé pour mon pouce…il y a 3 semaines j’ai fini aux urgences chez SOS MAINS car ma main s’est mise à gonfler, coups de marteaux dans le pouce à hurler, douleurs atroces sous la peau comme une sensation de brûlures et impossible de bouger le fameux pouce. Et là on m’annonce une algodystrophie…Je fais une scyntigraphie pour confirmer le diagnostic…mais c’est pas clair, le médecin hésite. Je retourne voir le chirurgien en urgence pour lui demander son avis…Monsieur me prend de haut et avec un air de suffisance me fait comprendre qu’il a bien fait son travail et que la douleur n’a rien à voir avec l’opération, dès fois que j’aurai l’idée de l’accuser d’avoir mal fait son boulot et de le traîner devant les tribunaux…pffff oui il fait 8 opérations par jour mais je voudrais bien le voir à ma place le chir!!! Il me conseille de rapidement consulter un rhumatologue. Et me voilà vendredi dernier chez le rhumato. Verdict : tendinite de DE QUERVAIN. Les symptômes sont presque les mêmes que l’algodystrophie, à savoir sensation de chaleur sous la peau, gonflement du pouce avec changement de couleur (la peau palie et devient rosée à la base du pouce)… Alors à tous ceux qui ce sont fait opérer et qui présentent les mêmes symptômes, attention!!! Repos absolu et vite consulter car c’est long à guérir. Sans la flexibilité de mon pouce gauche je ne sais plus rien faire. Je suis contente de l’opération du canal carpien mais je ne pensais pas me récolter autre chose après. Je suis déprimée!! En attendant mon échographie de la main le 04 septembre prochain (j’ai le temps de mourir entre-deux!!!), on ne m’a donné aucun conseil à part le port d’une atèle qui me fait plus de mal que de bien. Pour ma part j’ai pris l’initiative de prendre des plantes contre l’inflammation de l’harpagophytum pour les tendons et puis de l’homéopathie (Ruca graveolens 5CH) pour info et pour ceux qui souffrent comme moi. Il faut aussi bien alterner chaud et froid pour diminuer l’inflammation. tremper sa main dans de l’eau chaude 10min puis mettre de la glace sur la zone douloureuse après. Puis massage avec une crème à base d’Arnica ou autre anti-inflammatoire. Et enfin être patient…bien que je n’en ai plus beaucoup.[/quote]

Posté en tant qu’invité par sabrina:

Bonjour,
moi je me suis faite operer le 14 décembre 2015, j’ai parfois du mal a ouvrir la main, une douleur dans la paume de la main et un pouce qui lui a du mal a bouger, retrait des fils dans 1 semaine je crois, le chirurgien ne m’a donné que 3 semaine d’arrêt oui ok on bouge les doigts mais après… je n’arrive même pas e tenir un verre d’eau… trop mal. Je vais être obligé d’aller voir mon généraliste pour qu’il me prolonge l’arrêt. Le pire ok je me repose mais j’ai aussi le canal carpien a la main gauche que je ne ménage pas puisque je ne peu utiliser la droite… pas facile, franchement j’etais presque limite mieux avant l’opération, je n’en vois pas encore les résultats… courage et oui en effet chacun a son rythme. Chapeau quand je lis que d’autre on pu conduire 3 jours apres et même skier lol !

Posté en tant qu’invité par patricia 86:

bonjour, je me suis fait opéré le 21/12/2015 sous anesthésie locorégionale du nerf ulnaire au niveau du coude ainsi qu une compression du nerf médian,et en même temps du canal carpien, tous ces très bien passe pratiquement pas de douleur pour l anesthésie,ont sens un peu les aiguille mais ces supportable car je suis très douillette .pour ce qui et de l opération du coude ,je l ai bouger le lendemain après le drain retire,pas trop de douleur sauf que je ne peu pas l ouvrir a font et que mes deux doigt sont toujours engourdie comme avant je sais pas si ces normal doit revoir le chirurgiens le 18/01/2016.pour le carpien ont ma enlever les fils ce matin la plais et belle ,un peu gonfler pas de douleur mes doigts bouge bien et j ai toujours l attelle ,je sais pas pour combien de temps je vais mettre a me rétablir car je suis en accident de travaille depuis le mois de juillet et ces long,ce petit mot pour vous dire qu il ne faut pas appréhender ces intervention car ces vraiment indolore quand ces bien fait par le chirurgiens et l anesthésiste,pour moi sa était le cas une équipe formidable ,que je remercie j espère que cela réconfortera les personne qui doive le faire je sais ont ne réagis pas tous pareille aller bon courage

Bonjour,

Je souhaite aussi apporter mon témoignage, car j’ai stressé avant mon opération par rapport à la récup pour l’escalade car on trouve des horreurs sur internet, alors que dans la majorité des cas ça se passe bien (du moins pour les grimpeurs qui ont subit l’opération.

J’ai commencé l’escalade en novembre 2014, et le syndrome s’est déclaré quelques mois plus tard, main droite, début 2015, fourmis nocturnes et sur le vélo et décharge sur certain mouv’ d’escalade. Examen, les deux mains étaient atteintes et à opérer (même si pour la gauche, aucun symptôme gainant). Opération planifiée début septembre, j’ai continué à grimper jusqu’au début de l’été, avec une cotation max que je pouvais passer à 5C. Opération de la main droite version grosse cicatrice sur la main, infiltration à la main gauche. Les premiers jours ont été douloureux, puis ça allait mieux. Par crainte, j’ai très peu mobilisé ma main au début, j’ai perdu toute ma force de serrage, et en particulier ma « pince ». J’ai repris l’escalade au bout de 2 mois comme préconisé par le chirurgien, sans trop forcer. Ayant des douleurs persistantes au pouce, je suis allée chez le kiné (prescrit par mon généraliste et remboursé par la sécu), qui m’a réappris les bons mouvements. A cause de la douleurs et la peur, je ne mobilisais pas correctement mon pouce, ce qui avait pour conséquence d’être douloureux et de n’avoir plus aucune pince. Pas mal le kiné, dans le cas où on sent qu’on ne récupère pas comme on veut!
1 mois après la reprise, je passais du 6A sans problème, donc je m’étais améliorée. Et je n’ai pas vu la différence entre le avant, et après l’opération coté sensation de grimpe.
Le problème, c’est qu’en économisant ma main droite, j’ai flingué la gauche, j’ai pas traîné et me suis faite opérée directe (ya 2 semaines, le 6 janvier). L’avantage de la deuxième fois, c’est qu’on sait ce qu’on a fait mal la première fois, donc on le refait pas. A peine sortie de l’hôpital, je me suis forcée à détendre ma main, faire des étirements très doux et la mobilisée (pour la première, j’étais terrorisée à l’idée de bouger un doigt!). Entre cela le fait qu’elle était moins atteinte que l’autre, et le fait d’avoir grimpé jusqu’à 2 jours avant l’opération, j’ai autant de force au bout de 2 semaines qu(au bout de 5 ou 6 semaines pour l’autre main. A mon avis, je vais pouvoir reprendre l’escalade plus tôt…Déjà assurer dès ce week-end afin de travailler ma force de serrage de façon ludique!

Voilà, les gens se rétablissent bien, avec un bon chirurgien de la main, et un respect de la période de récupération, et plus vite avec une ré-éducation adéquate (massage et exercices pour la force).

Salut à tous
Un témoignage de grimpeur/vttiste sur le syndrome du canal carpien et son opération.
Sports pratiqués avant l’opération : escalade (7a-7b à vue), vtt enduro, surf. Age 45 ans.
Septembre 2015 : j’ai des fourmis dans les doigts depuis presque un an, dans la nuit, et quand je vais au travail en moto le matin, surtout après de grosses séances de pan. Je mets ca sur le compte de l’age, du manque d’étirements, du sac à dos, surtout que ça passe en secouant les doigts et que ça ne m’a jamais empêché de dormir. Je ne fais pas attention à un détail : les fourmis ne concernent que le pouce, l’index et le majeur. J’ai aussi des douleurs dans les tendons de l’index et du majeur quand je fais du VTT en station. Je gère les freins avec ces deux doigts.
Mi septembre : je grimpe le samedi et fais deux 7a et deux 7b à vue. J’enchaine cette grosse journée d’escalade avec une journée en station le dimanche. Le télésiège me permet d’enchainer les descentes. J’enchaine les pistes de DH avec mon enduro. Lundi matin : je n’arrive pas à couper la baguette du petit déjeuner ! Je peux à peine serrer le pain et je suis incapable de tenir le couteau à pain. Il faut que je m’échauffe les doigts et que je m’étire les poignets pour arriver à faire ces simples gestes. Ces mouvements de réveil musculaire et articulaire seront désormais nécessaires quotidiennement. Je me mets au repos toute la semaine. Le WE suivant est consacré à la descente VTT. C’est le we de fermeture, il faut en profiter ! Ça sera un calvaire. J’ai l’impression d’avoir des tendinites de malade aux index et majeurs. La séance d’escalade sur mur qui suivra ce WE me confirme que quelque chose ne va pas. J’ai perdu en force et j’ai des douleurs très fortes dans les doigts. J’ai l’impression d’avoir des tendinites aux index et de m’être claqué les poulies des majeurs… Mes petits doigts me génèrent des douleurs électriques. Je ne peux ni les étirer, ni les plier. Je découvre que si je mets les doigts en pistolet pour faire pan, pan, comme les enfants, je génère des décharges électriques à crier de douleur. En discutant à droite et à gauche de mes soucis, en cherchant sur internet, un thème revient : le syndrome du canal carpien.
Fin septembre : je consulte un chirurgien de la clinique de la main. Il me prescrit un électromyogramme. Il m’explique le principe du syndrome, la phase ou le nerf est comprimé, induisant des fourmis, et les risques qu’il y a à ne rien faire. Il est étonné par les douleurs des petits doigts, qui ne sont normalement pas affectés par la compression du nerf médian. Comme je suis un grimpeur, il m’informe que l’infiltration est à éviter absolument. Cela augmente les risques de rupture de tendon et surtout d’effilochage de ceux-ci. Il m’informe que si l’électromyogramme est positif, l’opération me fera perdre de la force. A ce stade, je m’en fous, à cause des douleurs, ma dernière sortie en falaise a consisté à monter des moulinettes pour mes amis dans un niveau 6a max. Il me prescrit des orthèses à porter la nuit et des patches anti inflammatoire. J’en profite aussi pour passer chez un osthéo. Les fourmis disparaissent, les douleurs restent.
Fin octobre EMG : le passage chez le rhumatologue est rapide, efficace et piquant ! Le test consiste à mesurer les vitesses de propagation des influx nerveux et la qualité de ceux-ci dans le nerf médian. Il m’explique aussi que l’origine des douleurs peut être dû au fait que le nerf est blessé, qui est le stade qui suit les fourmis. Le stade d’après est la paralysie du pouce. Le bilan est sans appel : je dois me faire opérer des deux mains.
Je décide de me faire opérer le plus rapidement possible. Sur internet, les délais donnés de reprise d’activité de force parlent d’un minimum de 2 mois… Des témoignages parlent d’une semaine pour reprendre la conduite. Le chirurgien ne se prononce pas. Il présente les risques opératoires, et explique que la reprise se fera en fonction de la douleur. Chaque cas est donc unique en fonction de ses capacités et de l’état initial de nerf médian. Il m’explique aussi la technique utilisée : l’endoscopie.
Habitant à proximité de Marseille, je choisi d’être opéré en clinique par un bon chirurgien. Cela me permet de gagner du temps. Je peux me faire opérer à 3 semaines d’intervalle, très rapidement. Ca me coutera par contre 2 dépassements d’honoraire de 200 €. Je me dis aussi qu’à ce prix-là, je ne serai pas opéré par un interne.
3ième semaine de novembre : opération de la main droite en ambulatoire. C’est rapide. J’avais regardé une vidéo endoscopique de l’opération sur youtube et donc visualiser l’écran de contrôle ne m’a poser aucun problème. Je négocie un arrêt de travail limité à une semaine (3 semaines m’était proposées). Pendant une semaine, en attendant la visite de contrôle, une infirmière passe pour refaire le pansement. Elle est étonnée par la qualité du travail réalisé : pas d’œdème, une toute petite cicatrice. Tous mes doigts bougent. Je me rends à la visite de contrôle en voiture. Je reprends le travail (enseignant) le lendemain.
2ième semaine de décembre : le protocole et le résultat est identique pour la main gauche. A la visite de contrôle, une semaine après, le chirurgien m’explique que pour ma main droite (+3 semaines) il n’y a plus de danger. C’est la douleur et les symptômes qui doivent guider la reprise des activités. J’ai le droit de serrer une balle en mousse et de reprendre progressivement les exercices. Il me tarde les +3 semaines de la main gauche…
Au niveau du sport, j’ai continué l’escalade et le vtt à très faible intensité jusqu’à l’opération de la main droite. La rame en surf me provoquait des décharges électriques, et le take off était très douloureux pour les poignets…
Les semaines post opératoire, je n’ai strictement rien fait.
Je me suis inscrit dans une salle de musculation. J’y ai fait uniquement les jambes jusqu’aux termes des +3 semaines de la main gauche. J’ai fait de la randonnée les WE les BRAS EN L’AIR. Avec le froid et le sac à dos, les mains ont tendances à gonfler. Cela avait pour moi comme conséquences d’avoir des décharges électriques de malade dans l’index et le majeur. Pour éviter les gonflements, il suffit de lever les bras régulièrement… A partir de +3 semaines de la main gauche, j’ai commencé à utiliser les machines pour les bras, le dos, les pecs… L’avantage de la salle de musculation est que l’on peut charger très progressivement. L’appui paume est impossible. Mais on peut quand même faire plein d’exercices de gainages. J’ai aussi repris le VTT, mais sur route. Je pédale le plus possible en alternant les mains, ou sans tenir le guidon, pour pouvoir faire des sorties digne de ce nom. Mais au bout de 2 heures, ça commence à être un calvaire. La zone opérée, en appui sur le guidon, devient extrêmement douloureuse.
Le bilan n’est toujours pas bon. J’ai beaucoup moins de douleurs électriques qu’avant l’opération, mais les sensations de poulies douloureuses sont toujours là. Mes petits doigts ne m’embêtent presque plus. Je peux commencer à les étirer et à faire pan, pan !
Main gauche + 2 mois : d’après la sécu, les maçons peuvent reprendre le travail ! Mais Je ne peux toujours pas m’appuyer sur mes paumes. Mes petits doigts ne me font plus mal et les sensations de poulies douloureuses ont disparu dans la main droite. Les sorties en vélo, toujours sur route, font trois heures et j’arrive à tenir le guidon sur quasiment tout le trajet. Je reprends l’escalade ! Une séance en mur et en falaise en 5c max. C’est trop bon, trop kiffant ! Mais la douleur m’arrête. Au niveau du ligament coupé lors de l’opération, et au niveau des doigts, ou les douleurs reviennent. Et surtout l’utilisation du pouce est très douloureuse.
A ce stade, je suis malade pendant une semaine. Un bon rhume avec fièvre. Et fait troublant, alors que je ne fais rien, les douleurs reviennent en force… Ca m’interpelle et me dis que qu’il doit y avoir un phénomène inflammatoire. Je décide donc d’appliquer des patchs anti inflammatoire sur la zone la nuit comme me l’avait fait faire le premier chirurgien que j’avais consulté.
Main gauche + 3 mois : je grimpe une fois sur mur et une fois en falaise par semaine. Je patche tous les soirs. J’ai retrouvé un niveau 6a-6b à vue. Je ne travaille pas les voies et ne fais pas de pan. J’ai toujours des douleurs sur les ligaments sectionnés mais elles sont de plus en plus faibles. Je n’ai plus de douleurs aux doigts. Par contre, la pince est toujours douloureuse, même si ça va mieux.
Main gauche + 4 mois. Les douleurs sont maintenant très faibles, mais présentent. L’appui paume est toujours sensible. Ces douleurs m’incitent à y aller mollo. Je reprends le vtt enduro au rythme d’une sortie par semaine. Les sensations de pilotages sont la immédiatement. Quel bonheur ! Je continue au rythme d’une séance sur mur et sur falaise pour l’escalade. A la salle de musculation, je reprends les tractions. Avant l’opération, mes avants bras étaient aussi volumineux que mes biceps. A cette date, après avoir fondu dans le mois qui a suivi l’opération, ils sont toujours fins. D’ailleurs, les « tractions », c’est une traction… J’attaque aussi les pompes. Je m’appuie sur des tapis pour pouvoir supporter l’appui paume. Je continue de patcher la nuit.
Main gauche + 6 mois. Ca fait maintenant 1 mois que je n’éprouve plus le besoin de patcher, les petites douleurs disparaissant d’elles-mêmes. Je peux désormais enchainer les activités, comme avant. Je fais désormais des séries de 10 tractions, des séries de 15 pompes. Ces gestes ne me déclenchent plus de douleur dans les ligaments sectionnés par les opérations. Mes avants bras reprennent doucement du volume. Première séance de pan. Aucune douleur ! Malgré un niveau 6c-7a à vue, je grimpe « sans force ». Ce niveau est donc celui que je peux atteindre dans des voies homogènes. Le moindre pas de bloc me stoppe. Après un vol dans un dévers, j’ai énormément de mal à pomper !
Mais maintenant, je peux m’entrainer. Enfin, je pourrais. Mais c’est la pleine saison des sorties falaises. Les longues journées permettent aussi les virées VTT du soir. Difficile de s’enfermer en salle. Je pratique donc, ça m’a tellement manqué. Le niveau reviendra…

Bonjour,
J’ai parcouru les témoignages et je me retrouve parmi certains à savoir que je me suis fais opérer en novembre 2016 du canal carpien D par voie endoscopique et à ce jour je suis toujours douloureuse mais plutôt maintenant au niveau du nerf cubital. Quand j’appuie côté g de la paule c’est super douloureux. Je suis toujours en arrêt de travail et suis fonctionnaire donc plus que la moitié du salaire, c’est dure très dure. Quand au chirurgien je ne peux même pas aller le revoir car dépassement d’honoraires 80 euros la consultation et l’intervention 330 euros dépassement d’honoraire (négocier à 200 euros) en lui laissant entendre que j’étais auxiliaire de vie. Enfin bref, je dois revoir mon médecin demain je vais lui demander de faire une échographie de la paume de la main. J’ai compensé avec la main G du coup plus douloureuse qu’avant sans compter les engourdissements des deux mains et perte de force de la main D opérée. De plus quand j’applique du déodorant à D je ressens une décharge électrique jusqu’aux doigts. Voilà bon courage à tout le monde…