Quelle précision!

#1

Posté en tant qu’invité par Charles:

Dans cette sortie :http://alpinisme.camptocamp.com/guide.html?reason=sdetail&ids=7166 j’adore l’indication concernant l’inclinaison de la pente : 59° . On sent l’âme du topographe sommeillant sous ce si banal pseudo : admin c2c . Je l’imagine arpentant la totalité de la pente , recherchant méthodiquement le ressaut le plus escarpé . Le voici mesurant avec son théodolyte (ça s’écrit comment ce machin ?) sa mire et autres goniomètres, la pente maximale du coup de Sabre . Après 6 pages de calculs trigonométriques ainsi que la résolution algébrique d’une équation du 3ème degré afin de tenir compte de la gravité engendrée par la masse rocheuse du Pelvoux tout proche , il s’écria victorieusement : 59° !

#2

Posté en tant qu’invité par Fantomas:

c’est un 1er avril anvant l’heure ??

#3

Posté en tant qu’invité par Tréminisous:

T’as p’t’ être raison sur la méthode utilisée mais laisse moi en envisager une autre…

Adminc2c a peut être prit sa montre (par exemple suunto X6HR comme la mienne) et l’a mit en position SLOPE ce qui lui a permit de mesurer l’inclinaison de la pente simplement en orientant sa montre parallèlement à la pente !
Pour le choix de l’endroit le plus pentu, l’oeil expert du type doit suffire ainsi que la sensation de difficulté…

Pour certains Caïds, le moindre degré de pente est important (59° et pas 60°) !!!

Pour moi l’inclinaison de la pente me sert surtout à savoir si j’emmène la luge pour la descente !!

Aller, vaut mieux mesurer les degrés de pente que les degrés d’alcoolémie dans une soirée bien arrosée…

Salutations

#4

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

Et des pentes, dans le Trièves, c’ est pas ce qui manque !!!
( Des degrès d’ alcoolo non plus !!! ) LOL + LOL + RE-LOL !!!

#5

Posté en tant qu’invité par Tréminisous:

Tout petit déjà on nous initie à la beuverie… afin de concerver les traditions…

Ensuite, si tu veux vraiment connaitre mon parcours (si si tu veux !!! lol) je suis allé au lycée de La Mure et j’ai fréquenté avec assiduité la rue du Breuil (pour ceux qui ne connaissent pas cette rue, il y a plus de bars que de magasins !) !

Pourtant je ne me considère pas comme un alcoolique des pentes !! LOL

Quand on part avec mon pote de cordée, on emmène juste 1 bouteille de rouge et 2 bières de 50 cl… C’est bien assez lourd ! LOL

Dans les pentes ça vas toujours mieux ainsi; ça compense les deséquilibres, ça permet de mesurer 59° et pas 60° ! Précision et meilleurs sensations !

Conclusion, en Matheysine et Trièves, ne roulez pas bourré, marchez bourré ! LOL LOL

Dis le Matheysin, si tu vas en montagne, tu dois connaitre Toto l’alcoolo non ?
Si on se croise, je prévois donc un éthylo… on mesurera les degrés LOL LOL

#6

Posté en tant qu’invité par strider [mod]:

bon ok, effectivement, les gars c’est modifié!
c’est clair qu’ on ne peut avoir un compas dans les yeux, et puis comme ça change tous les ans suivant la quantité de glace, il est plus universel d’opter pour un 60° qui donnera un ordre de grandeur…tout le monde est content, maintenant, j’espère? entre nous, on va pas faire dans la culotte pour un petit degré :wink: :o)

#7

Posté en tant qu’invité par Bubu [mod]:

J’ai remodifié à 55°, car il n’y a pas de 59 ou 60° dans le couloir !
Il fait 52° de moyenne sur 300m (cf itinéraire à ski).
Le 59° est dû au copiage sans vérification de la valeur du premier topo (dans le Devies je crois), par les topos suivants.
Auparavant, il y avait peut être une sortie à près de 60°, si une accumulation de glace augmentait la pente sur 20 à 50m sous la sortie.
Mais aujourd’hui le couloir sèche entièrement en été, et même en 2001 cette accumulation ne s’était pas reformée temporairement.
Donc n’y allez surtout pas pour faire un couloir à 55° et plus, vous serez déçus.
De plus, la remarque du topo « On peut se rapprocher des rochers de la rive droite si besoin est, mais on perd un peu d’ambiance. » me fait sourire: en 2005, dans le couloir on touchait les 2 rives rocheuses en écartant les bras, alors se rapporcher plus d’un côté que de l’autre… C’était une année sèche, mais même une année normale, la partie enneigée du couloir fait guère plus de 10m de large au plus.
Mais bon je ne l’ai pas gravi personnellement, je ne modifierai pas ce point sans y être allé.

#8

Posté en tant qu’invité par strider:

de toute façon le but du jeu c’est de donner un ordre de grandeur en prenant une petite marge au-dessus, ce que tu as fait, Bubu.
les degrés ne sont que des repères, les alpinistes font le reste! une pente de neige/glace varie forcément, parfois au mètre près et change suivant les conditions neige/glace.

#9

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

Dans les années 60 / 70, il y avait plus 60 débits de boissons rien qu’ à La Mure, auxquels il faut rajouter le cercle du Villaret, le café Revol à Nantizon ( j ’ allais à l’ école à Nantizon, pour le 11 novembre, après la comémo, la commune ( très très rouge ), de Susville nous offrait un grog au fameux café Revol… ), à ça, tu comptes encore Les Rioux, ( 1 cercle + 1 bistrot ) puis les communes environnantes…

Le nombre élevé de Polaks et l’ ambience " puit de mine " ont grandement favorisés l’ idée qu’ à La Mure on naissait déjà bourré…

Malgrè tout, je ne pense pas qu’ il y ait eu plus d’ ivrognes là-bas qu’ ailleurs…

Je confesse tout de même un réel plaisir à m’ enfiler une bonne bout’ avec mes potes, surtout autour d’ un bon repas…

Car ça, la fête , entre Matheysine et Trièves, on sait ce que c’ est !!!

#10

Posté en tant qu’invité par Francois:

Bon, alors, c’est quoi la pente?
59, 60, 55, 52?
On ne peut plus se fier à personne, alors?
Qu’est-ce qu’on va faire?

#11

Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:

« « le but du jeu c’est de donner un ordre de grandeur en prenant une petite marge au-dessus » »

ds le même principe, tu surcotes les voies ou cas où qqun qui n’ai pas le niveau ne prenne pas de but ? faut savoir, c’est pas vraiment l’optique que j’ai en lisant un topo, c2c ou autre !

je préviens, elle est vraiment pas top, dsl d’avance : « Charles, tu es un petit rapporteur… »
[]—> ok, je sors ;o)

#12

Posté en tant qu’invité par strider:

p’tetbenquoui a écrit:

« « le but du jeu c’est de donner un ordre de grandeur en prenant
une petite marge au-dessus » »

ds le même principe, tu surcotes les voies ou cas où qqun qui
n’ai pas le niveau ne prenne pas de but ? faut savoir, c’est
pas vraiment l’optique que j’ai en lisant un topo, c2c ou autre
!

:smiley:
politique 0 but!!!

en fait, il ne s’agit pas de se prendre la tête…on parlait d’inclinaison de pente, pas de cots globales qui de toute façon sont relatives.

on se simplifie l’esprit (!!!) par des observation générales :
1.les dégrés de pente sont relatifs à la structure du relief et aux conditions climatiques
2.les cotations globales sont relatives à la fois au style de la voie qui est elle-même relative aux conditions mais aussi à l’appréciation du grimpeur qui est elle-même relative à son niveau, sa forme du jour, sa motiv.

moralité : il s’agit simplement de donner des repères, une estimation, un ordre de grandeur…comme c’est une estimation et de sorte à éviter les mauvaises surprises (et dieu sait si on en a en montagne) vaut mieux juger un peu plus à la hausse qu’à la baisse…

#13

Posté en tant qu’invité par fabrice:

tant qu’on y est, on homogénéiser les cotes des couloirs classiques comme le coup de sabre et les courses de goulottes qui sont cotés avec la cotation cascade… Bon courage :slight_smile:

#14

Posté en tant qu’invité par kidi a maninga:

pour reussir dans la vie?