Quel type de Bâton?

Posté en tant qu’invité par pingre05:

Oui, bonne idée…

au pire, le tube doit pouvoir se fendre en deux, dans le sens de la longueur. Il suffit ensuite de le coller.

C’est déjà moins cher que le bâton x de marque y à 3000000000 euros (a peu près).

Posté en tant qu’invité par Collant-Pipette:

A ton avis, pourquoi en course de ski alpinisme, ou tout est optimisé, personne n’utilise des bâtons télescopiques ?
Car c’est trop lourd, plutôt fragile, que le réglage en longueur est trop long à mettre en œuvre, que la pointe manque d’accroche et que la rondelle est peut pratique…
Un bon panier de ski de fond (adapté au ski-alp) est nettement plus performant qu’une pointe de bâtons télescopique, sauf lorsque l’on descend à pied face à la pente (raide) car dans ce cas il faut tourner le bâton d’un 1/2 tour pour faire mordre la pointe.

Posté en tant qu’invité par Garfield:

Le Blaireau a écrit:

Faut vraiment être Suiiisse pour prendre en course de ski
alpinisme, des bâtons à 70% de sa taille (les grands bâtons
sont au même prix), ce qui correspond à la taille que l’on
choisi en ski de piste…

Puisque les grands bâtons sont au même prix, pourquoi ne pas prendre des 170cm (bâtons de skating par exemple…)???En cherchant bien je suis sur qu’on peut même trouver plus grand! C’est vrai que le prix au kilo deviens avantageux!

Sérieux, les compétiteurs ont tendance (en course comme à l’entraînement) à monter un peu plus ‹ ‹ dru dans le pentu › › que monsieur et madame tout-le-monde…Pour le plat et la montée légère je suis d’accord, des grands bâtons sont un avantage…mais dès que tu commences à monter ‹ ‹ vraiment › › tu ne peux pas pousser sur les bras avec des bâtons trop grands pour avancer plus vite…

En plus c’est moins traumatisant pour le dos qui peux rester +/- droit…et plus confort pour les bras d’être à bonne hauteur que de les avoir constamment 1m au-dessusde la tête…

Suis à court d’argument, aurais dû en garder pour plus tard :wink:

Garfield

Posté en tant qu’invité par Bubu:

Garfield a écrit:

…mais dès que tu commences à monter ‹ ‹ vraiment › › tu
ne peux pas pousser sur les bras avec des bâtons trop grands
pour avancer plus vite…

En plus c’est moins traumatisant pour le dos qui peux rester
+/- droit…et plus confort pour les bras d’être à bonne
hauteur que de les avoir constamment 1m au-dessusde la tête…

Gné ?
Au contraire, plus c’est raide, plus les batons doivent être grands…
Je ne dois pas m’en servir comme tout le monde visiblement.
Mais juste une idée : le but est de pousser dans le sens du déplacement, donc parallèle à la pente (comme une rampe d’escalier). Donc l’angle entre le baton et la pente doit être le plus petit possible. Et cela implique que le baton touche le sol le plus en arrière possible, donc qu’il soit le plus long possible.
Sur trace raide, pour une même distance pied > pointe, la pente fait que la pointe est en dessous du pied : le poignet est aussi plus bas que sur trace plate. Donc pour une longueur de baton donnée, sur trace raide, pour avoir une hauteur de poignet identique à une trace plate, il faut réduire la distance pied > pointe. Ou si on veut conserver cette distance, il faut allonger le baton.
Mais si la longueur convient pour la plat, c’est inutile de l’allonger sur le raide car si la diminution de la distance pied > pointe change l’angle avec la verticale, l’angle avec la pente est conservée : on a le même rendement.
Pour optimiser le rendement, le baton doit être le plus grand possible, mais la longueur est limitée par d’autres problème : inertie (en montée), ergonomie dans les passages non idéaux (conversion, trace étroite, végétation, …), et autres.

Par expérience, une longueur identique à celle utilisée en skating est pas mal. Mais il faut pouvoir le régler pour la descente : incompatible avec la compet.

Voilà donc un domaine où la compèt n’a pas n’a pas permis d’atteindre le top, et pour la montée en plus ! Mouarf ! :-))
Déjà que la low-tech n’a pas été inventé par un compétiteur (ni pour non plus, c’est juste que le gars ne voulait plus trainer des enclumes en rando)…
Sans rancune :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par raph:

Ben pour une fois que je suis pas d’accord avec Bubu !!!
Plus c’est raide, plus tu te mets a plat en perpendiculaire par rapport a la pente.
Tu ne te sers quasiment pas du baton aval, le baton amont est le plus important pour assure la stabilite. Si tu le prends en haut, t’es desequilibre (moi en tout cas !).
Donc, pour ma part, je le prends sur le tuyeau (en fait sur la mousse) en dessous de la poignee, avec hauteur reglable.

Posté en tant qu’invité par Bubu:

raph a écrit:

Plus c’est raide, plus tu te mets a plat en perpendiculaire par
rapport a la pente.
Tu ne te sers quasiment pas du baton aval, le baton amont est
le plus important pour assure la stabilite. Si tu le prends en
haut, t’es desequilibre (moi en tout cas !).
Donc, pour ma part, je le prends sur le tuyeau (en fait sur la
mousse) en dessous de la poignee, avec hauteur reglable.

Je parlais de trace raide, indépendemment du dévers : l’idéal est une piste forestière damée (ou une piste de ski).
Lorsqu’il y a du dévers, on peut s’en affranchir en tenant le baton amont au milieu. Mais c’est juste pour retrouver la bonne hauteur pour les poignets : on peut toujours pousser sur les 2 batons.
Ah evidemment, le baton aval est plus bas, il faut donc encore l’allonger :slight_smile: Ou si on est déjà à la taille maxi, accepter de perdre un peu de rendement avec un angle plus grand entre la trace et le baton.

Posté en tant qu’invité par alex:

j’ai trouvé mon bonheur chez « troc de l’ile », une vieille paire, avec poignée fine et rondelle large pour 2 euros. J’ai coupé la lagnière et ai rajouté une mousse d’isolation en dessous de la poignée. Pas terrible l’essai…mais je m’oriente maintenant vers des gaines de cyclisme. Si mon experience peut aider…

Posté en tant qu’invité par raph:

Je me disais bien qu’on etait d’accord. C’est vrai que dans ce cas la, les batons le plus haut possible pour pousser fort.

Posté en tant qu’invité par Gaston:

il y a bien mieux que les moussettes, tubes de mousse, guidoline de vélo, tissus adhésifs ou rondelles intermédiaires pour tenir les batons par le milieu, lors des traversées. (en général, on tient le baton amont plus bas que la poignée, dans les traversées n’est ce pas ?) :

moi, je rallonge les dragonnes avec une sangle étroite, qui se termine par une boucle à la hauteur que je souhaite.
En traversée, mon poignet (du bras amont) repose sur cette « dragonne basse », et je prends appui sur le baton sans même avoir à serrer le tube avec la main. Pas besoin de tube antidérapant, et c’est trés confortable.
En plus pas de risque de perte du baton, vu que la main est dans la dragonne.
J’utilise ce système depuis prés de 10 ans.

hé hé … 30 ans d’expérience en ski de rando, faut bien que ça profite !